Background This article addresses the question of productive labour in the information sector. Based on Marxian political economy, it provides a critical assessment of Dan Schiller’s (2007) arguments on productive and unproductive labour. Unproductive labour, it argues, is not something a) unnecessary, b) morally inferior, c) outside of a wage relationship, or d) unprofitable. Analysis Following an orthodox Marxian interpretation, this article claims that unproductive labour is a category that revolves exclusively around the concept of surplus value, and that this recognition is vital to understanding the type of labour that takes place in those businesses whose main commodity is information. Conclusions and implications The article ends with a more sophisticated account of how to apply the category of productive labour to the information sector. Contexte Cet article traite de la problématique du travail productif dans le secteur de l’information. Sur la base de l’économie politique marxiste, les arguments autour du travail productif et improductif de Dan Schiller ont été évalués de façon critique. Je soutiens que le travail improductif n’est pas quelque chose a) d’inutile b) ni moralement inferieur, c) ni exempt d’un rapport de salaire, d) ni lucratif. Analyse Suivant une interprétation marxiste orthodoxe, je postule que le travail productif est une catégorie en rapport exclusivement avec la production de plus-value et cette reconnaissance est vitale pour comprendre les types de travaux qui se réalisent dans les secteurs où la principale marchandise est l’information. Conclusions et implications Pour conclure j’apporte une explication plus sophistiquée pour appliquer la catégorie de travail productif au secteur de l’information.