animaux domestiques
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182
(FIVE YEARS 14)

H-INDEX

9
(FIVE YEARS 1)

2021 ◽  
Vol 26 (3) ◽  
pp. 466-478
Author(s):  
Elena D. Galtsova

The article deals with the use of French expressions in the text of F. Dostoevskys Notes from Underground . On the one hand, various semantic nuances of bilingualism and associations with some cultural contexts are revealed. On the other hand, translations and explanations of these expressions given by translators of the novella are analyzed. While lhomme de lа nature et de la vrit is a citation which shows that it is impossible to render French character into Russian culture, aux animaux domestiques carries this idea to the point of absurdity.


2021 ◽  
Vol 48 (5) ◽  
pp. 77-89
Author(s):  
G. Odafe Shalome ◽  
L. I. Nojuvwevwo

Quails are small sized pheasants having a long history of domestication and utilization. The management and welfare systems of Quail production at Songhai Delta farm were surveyed and reviewed. The young quails were sexed by the feather and vent methods when at 6 weeks old and they begin to lay eggs at about that age. Fertile eggs are managed in hatchery until chicks are hatched. Other set of eggs laid are also collected and sold in the farm shop. The quails were fed three types of ration - starter mash at 1-4 weeks of age, grower mash 4-6 weeks and layer mash as from 6 weeks of age. Quails are susceptible to some common poultry diseases; but good management and welfare practices ensure safety and healthy birds. A ratio of 1male to 3 females is the stocking rate in breeder cages in the farm, to obtain fertile eggs. High feed cost and poor market for farm products were the most significant problems of the enterprise. The cost and return estimate for quail bird production indicate that quail venture is highly profitable. The bird has early sexual maturity resulting in a short generation intervals and high rate of lay. Thus, raising quail offers many advantages when compared to producing other domestic or food animals. Quail venture is excellent and recommended for beginners in poultry business, because the birds begin to lay eggs at young age of about 6weeks; and can be slaughtered for food at 5weeks of age. Many developing countries presently faced with problem of inadequate supply of animal protein should find quail production a viable industry. The study recommends a step up of extension services to enlighten farmers and the populace on the importance of quail meat and eggs and the profitability of quail farming.     Les cailles sont de petite taille ayant une longue histoire de domestication et d'utilisation. Les systèmes de gestion et de bien-être de la production de cailles à la ferme du delta de Songhai ont été considéré et examinés. Les jeunes cailles sont sexées par les méthodes de 'feather and vent' lorsqu'elles ont 6 semaines et qu'elles commencent à pondre des œufs vers cet âge. Les œufs fertiles sont gérés dans l'écloserie jusqu'à ce que les poussins soient éclos. D'autres œufs pondus sont également recueillis et vendus dans la boutique de la ferme. Les cailles ont été nourries de trois types de ration - purée de démarrage à l'âge de 1-4 semaines, purée de grower 4-6 semaines et purée de couche à partir de 6 semaines d'âge. Les cailles sont sensibles à certaines maladies courantes de la volaille ; mais de bonnes pratiques de gestion et de bien-être assurent la sécurité et la santé des oiseaux. Un rapport de 1male à 3 femelles est le taux de stockage dans les cages d'élevage dans la ferme, pour obtenir des oeufs fertiles. Le coût élevé des aliments pour animaux et le mauvais marché des produits agricoles ont étéles problèmes les plus importants de l'entreprise. L'estimation du coût et du rendement de la production d'oiseaux caille indique que l'entreprise de cailles est très rentable. L'oiseau a une maturité sexuelle précoce résultant en un intervalle de génération court et un taux élevé de produire des oeufs. Ainsi, l'élevage de cailles offre de nombreux avantages par rapport à la production d'autres animaux domestiques ou alimentaires. L'entreprise de caille est excellente et recommandée pour les débutants dans le secteur de la volaille, parce que les oiseaux commencent à pondre des œufs à un jeune âge d'environ 6 semaines ; et peut être abattu pour la nourriture à l'âge de 5 semaines. De nombreux pays en voie du développement confrontés à un problème d'approvisionnement insuffisant en protéines animales devraient trouver la production de cailles une industrie viable. L'étude recommande une augmentation des services d'extension pour éclairer les agriculteurs et la population sur l'importance de la viande et des œufs de caille et la rentabilité de l'élevage de cailles.


2021 ◽  
Vol 74 (2) ◽  
pp. 121-126
Author(s):  
Ahlem Atoui ◽  
María Jesús Carabaño ◽  
Moldi Abdennebi ◽  
Sghaier Najari
Keyword(s):  

La nature et la distribution des phénotypes quantitatifs représentent une connaissance de base pour l’application des méthodologies génétiques dans les plans de sélection des animaux domestiques. Afin d’illustrer l’action de facteurs non génétiques d’aridité sur la distribution phénotypique des performances individuelles de la croissance des chevreaux de la population locale élevés dans des conditions restrictives et irrégulières, 945 chevreaux issus de 285 chèvres et 19 boucs, nés durant la période 1998–2014, ont été étudiés par l’analyse des distributions des poids jusqu’à 150 jours d’âge. La dispersion des poids représentait une expression collective des génotypes des chevreaux dans les conditions de l’étude avec des variations dues à la fois aux effets génétiques et environnementaux. L’hypothèse de la normalité n’a été vérifiée qu’aux âges de 10 jours et 30 jours quand les chevreaux étaient surtout nourris sous la mère et n’étaient pas directement dépendants des ressources alimentaires du parcours aride. Durant une année défavorable, les performances enregistrées ont suivi une distribution particulière expliquée par le fait que les chevreaux performants ont été incapables d’extérioriser leur supériorité. Par conséquent, le milieu aride a réduit les performances de la population caprine locale. En outre, il a limité l’expression de quelques génotypes fortement productifs. Cette spécificité de l’action du milieu aride incite à un approfondissement indispensable pour ajuster les méthodes de sélection aux conditions des milieux restrictifs et des groupes génétiques adaptés.


2021 ◽  
Vol 4 (1) ◽  
pp. 65
Author(s):  
Gil Dutra Furtado ◽  
Soraya Abrantes Pinto de Brito ◽  
Magnolia Ouriques de Oliveira

Les CoV (coronavirus) appartiennent à la des virus de l’acide ribonucléique (ARN) et sont connus sous le nom de coronavirus parce que la particule virale a une caractéristique « couronne ». Les infections au CoV sont courantes chez les humains et les animaux, dont certaines sont zoonotiques. Le CoV peut provoquer des pathologies allant du rhume à des maladies plus graves, telles que le syndrome respiratoire du Moyen-Orient (causé par le MERS-CoV) et le syndrome respiratoire aigu sévère (causé par le SRAS-CoV) chez l'homme. Certains travaux scientifiques montrent que le SRAS-CoV a été transmis des civettes aux humains et le MERS-CoV des dromadaires aux humains. Le CoV qui cause le COVID-19 a été nommé SARS-CoV-2 par le Comité international de taxonomie des virus (ICTV). Selon la recherche scientifique, les preuves actuelles suggèrent que le SRAS-CoV-2 a émergé d'une source animale, et les informations sur la séquence génétique révèlent que le SRAS-CoV-2 est similaire à d'autres CoV trouvés dans les populations de chauves-souris fer à cheval (Rhinolophus Ferrumequinum). Pas encore assez de preuves scientifiques pour mettre en évidence la source réelle du SRAS-CoV-2 ou pour expliquer quelle était la voie initiale de transmission de celui-ci aux humains (qui peut avoir impliqué un hôte intermédiaire). Étant donné que l'infection par le SRAS-CoV-2 est si largement répandue dans la population humaine, on observe qu'il est possible que certaines espèces animales soient infectées par contact avec des humains infectés. Les animaux infectés par le SRAS-CoV-2 peuvent créer des situations inattendues pour la santé animale et humaine, ainsi que pour le bien-être animal, la préservation de la faune et la recherche biomédicale. Quant aux animaux domestiques tels que les chats et les chiens, ils ont été testés positifs pour le SRAS-CoV-2 après avoir eu des contacts avec des êtres humains infectés par ce virus. Au cours des travaux d'observation réalisés avec ces animaux, les chats ont présenté des signes cliniques de la maladie tels que des problèmes respiratoires et gastro-intestinaux. Bien qu'il ait été confirmé que des animaux ont été infectés par le SRAS-CoV-2, il n'est pas confirmé, à ce jour, que ces animaux aient transmis le COVID 19 à l'homme, mais il est bien observé que la pandémie est due à la transmission de l’homme à l’homme. Comme les animaux et les humains peuvent être affectés par ce virus zoonotique, il est recommandé aux personnes suspectées ou confirmées d'infection par le SRAS-CoV-2 de limiter le contact avec leurs animaux de compagnie.


Author(s):  
Emmanuelle Robardet ◽  
Nathalie Charbonnel ◽  
Jean-François Guégan ◽  
Elodie Monchâtre-Leroy ◽  
André Parodi ◽  
...  

Les auteurs réunis sous l’égide de l’Académie vétérinaire de France ont étudié comment la littérature scientifique interroge le rapport entre l’émergence de zoonoses ou de nouvelles maladies infectieuses humaines et animales, d’une part et les pertes de biodiversité observées sous l’effet des pressions humaines d’autre part. L’examen de la littérature consultée décrit comment certains agents pathogènes peuvent passer du « réservoir » naturel sauvage à celui des animaux domestiques et aux populations humaines. L’exploitation et la destruction des milieux naturels comme les forêts primaires et les zones humides tropicales, ainsi que le rapprochement d’espèces consécutif, favorisent des contacts permettant le passage (direct ou via des réservoirs intermédiaires) d’agents pathogènes du réservoir sauvage aux humains, qui propagent ensuite ces agents sur la planète. Il existe toutefois une importante variabilité des modalités permettant le passage, puis la propagation locale et planétaire des agents pathogènes issus de la biodiversité. Il est prématuré de tirer des conclusions générales sur les relations que cette revue scientifique a examinées. L’article suggère néanmoins que l’approche pluridisciplinaire doit progresser tant dans le domaine de la recherche que dans celui des pratiques et de l’enseignement. Cette pluridisciplinarité implique une étroite collaboration entre les médecines vétérinaires et humaines, l’écologie de la santé, d’autres disciplines biologiques et environnementales, et les sciences humaines.


Author(s):  
Serge Morand

Le présent article a pour objet de résumer les connaissances sur les dynamiques d’émergence et d’épidémies de zoonoses liées. Premièrement, en reconnaissant que le processus de domestication est structurant de l’écologie et de l’épidémiologie des zoonoses passées comme des émergences et épidémies actuelles. Deuxièmement, en montrant comment l’augmentation de l’élevage semble être un facteur essentiel dans les dynamiques épidémiologiques et d’émergences de nouvelles zoonoses. Le lien entre élevage, biodiversité et zoonoses s’explique par le fait que les animaux domestiqués sont des ponts épidémiologiques entre la faune sauvage et les humains. Toute augmentation des densités d’animaux de rente et particulièrement dans des pays hébergeant une forte biodiversité est donc supposée accroître les risques d’émergences et d’épidémies de zoonoses. L’absence d’une bonne compréhension de l’émergence et de la transmission des zoonoses ne doit cependant pas nous empêcher de mieux agir afin de prévenir les risques zoonotiques locaux comme les crises sanitaires globales.


Author(s):  
Jean-Louis Guénet
Keyword(s):  

En utilisant les techniques modernes d'ingénierie de l'ADN, les généticiens sont aujourd'hui capables de modifier précisément la structure du génome des animaux domestiques et, pour qualifier ce genre de modifications, il est désormais convenu de parler "d'édition génique" ou "d'édition génomique". Dans la plupart des cas ces modifications se traduisent par des modifications plus ou moins importantes du phénotype : c'est pourquoi le sujet intéresse la profession vétérinaire et beaucoup d'autres professions du monde rural. Cependant, si cette nouvelle approche ouvre assurément des perspectives nouvelles et intéressantes, elle soulève aussi des controverses. Sur la base d'exemples publiés, cette revue présente un inventaire des moyens utilisables pour modifier la structure du génome des mammifères domestiques et discute l'intérêt d'une telle entreprise. La dernière partie est un plaidoyer pour inciter les législateurs, notamment européens, à reconsidérer les directives en vigueur, depuis plus de vingt ans, à la lumière de données récentes. Le statu quo actuel est devenu difficilement acceptable.


2020 ◽  
Vol 21 (4) ◽  
pp. 258-271
Author(s):  
A.A. Joseph ◽  
A.H. Fagbami

Human coronaviruses, which hitherto were causative agents of mild respiratory diseases of man, have recently become one of the most important groups of pathogens of humans the world over. In less than two decades, three members of the group, severe acute respiratory syndrome (SARS) coronavirus (CoV), Middle East respiratory syndrome (MERS)-CoV, and SARS-COV-2, have emerged causing disease outbreaks that affected millions and claimed the lives of thousands of people. In 2017, another coronavirus, the swine acute diarrhea syndrome (SADS) coronavirus (SADS-CoV) emerged in animals killing over 24,000 piglets in China. Because of the medical and veterinary importance of coronaviruses, we carried out a review of available literature and summarized the current information on their properties and diversity. Coronaviruses are single-stranded RNA viruses with some unique characteristics such as the possession of a very large nucleic acid, high infidelity of the RNA-dependent polymerase, and high rate of mutation and recombination in the genome. They are susceptible to a number of physical agents and several chemical agents used for disinfection procedures in hospitals and laboratories. They exhibit considerable genetic and host diversity, causing diseases of gastrointestinal and respiratory system in a wide range of vertebrate hosts including humans. The high prevalence of coronaviruses in domestic and wild animals, especially bats and birds, and the propensity for their genomes to undergo mutation and recombination may lead to emergence of new coronaviruses that could pose a serious threat to human and animal health. Keywords: coronaviruses; SARS-CoV; MERS-CoV; SARS-Cov-2; properties; diversity; review French Title: Coronavirus: revue de leurs propriétés et de leur diversité Les coronavirus humains, qui étaient jusqu'à présent des agents responsables de maladies respiratoires bénignes de l'homme, sont récemment devenus l'un des groupes les plus importants d'agents pathogènes humains dans le monde entier. En moins de deux décennies, trois membres du groupe, le coronavirus (CoV) du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS), le syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS)-CoV et le SRAS-COV-2, sont apparus, provoquant des épidémies qui ont touché des millions et des personnes. a coûté la vie à des milliers de personnes. En 2017, un autre coronavirus, le coronavirus du syndrome de la diarrhée aiguë du porc (SADS) (SADS-CoV) est apparu chez des animaux tuant plus de 24000 porcelets en Chine. En raison de l'importance médicale et vétérinaire des coronavirus, nous avons effectué une revue de la littérature disponible et résumé les informations actuelles sur leurs propriétés et leur diversité. Les coronavirus sont des virus à ARN simple brin avec certaines caractéristiques uniques telles que la possession d'un très grand acide nucléique, une infidélité élevée de la polymérase dépendante de l'ARN, et un taux élevé de mutation et de recombinaison dans le génome. Ils sont sensibles à un certain nombre d'agents physiques et à plusieurs agents chimiques utilisés pour les procédures de désinfection dans les hôpitaux et les laboratoires. Ils présentent une diversité génétique et hôte considérable, provoquant des maladies du système gastro-intestinal et respiratoire dans un large éventail d'hôtes vertébrés, y compris les humains. La forte prévalence des coronavirus chez les animaux domestiques et sauvages, en particulier les chauves-souris et les oiseaux, et la propension de leurs génomes à subir des mutations et des recombinaisons peuvent conduire à l'émergence de nouveaux coronavirus qui pourraient constituer une menace sérieuse pour la santé humaine et animale. Mots-clés: coronavirus; SARS-CoV; MERS-CoV; SRAS-CoV-2; Propriétés; la diversité; la revue    


2020 ◽  
Vol 28 (5) ◽  
pp. 399-410 ◽  
Author(s):  
I. VEISSIER ◽  
M. MIELE

Les origines des sciences du bien-être animal peuvent être trouvées dans le débat sur le statut moral des animaux en philosophie, l’introduction de la notion de stress en physiologie et la description du comportement des animaux par les éthologues. Dans les années 1970, le bien-être animal est devenu un objet pour la recherche appliquée dans le but d’améliorer la qualité de vie des animaux domestiques. Il a été d’abord étudié au sein de disciplines, par exemple les éthologues ont comparé le comportement des animaux domestiques à celui de leurs homologues sauvages et des besoins comportementaux ont été identifiés. Il est ensuite apparu que le stress est plus un concept psychologique que physiologique. Des liens entre le stress, les besoins comportementaux et les préférences ont été établis. De même, les liens entre le bien-être et la santé animale ont été étudiés : un comportement de malaise a été identifié et des relations entre stress et immunité ont été relevées. Plus récemment, les cadres élaborés en psychologie humaine ont été appliqués aux animaux afin d’identifier les émotions qu’ils peuvent éprouver. Cela a nécessité que les chercheurs d’une discipline interagissent avec des chercheurs d’autres disciplines, ce qui a permis une fertilisation croisée des concepts. Les chercheurs en bien-être animal ont rapidement compris l’intérêt d’utiliser une gamme d’indicateurs couvrant un large éventail de troubles possibles tels que les comportements anormaux, les maladies, les défauts de production, les états émotionnels, etc. L’approche interdisciplinaire est illustrée par le projet Welfare Quality® au sein duquel un outil d’évaluation globale du bien-être animal a été élaboré sur la base de ce qui importe aux animaux, tel qu’identifié par les chercheurs en sciences animales, et de ce que la société considère comme un bon traitement des animaux, étudié par les chercheurs en sciences sociales. Nous pensons que la question du bien-être animal nécessite de briser les frontières entre disciplines et, au-delà des disciplines, d’engager les porteurs d’enjeux et la société dans son ensemble, afin de construire une approche holistique et être en mesure d’améliorer efficacement le bien-être des animaux.


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