scholarly journals Problem Electronic Device Use in a Representative Sample of Adults in Ontario

2021 ◽  
Vol 46 ◽  
Author(s):  
Mark Van der Maas ◽  
Hayley A Hamilton ◽  
Jacob Wolpin ◽  
Anca R Ialomiteanu ◽  
Jürgen Rehm ◽  
...  

There is growing evidence of correlations between the amount of time spent using electronic devices in leisure and negative health outcomes. However, studies often lack indicators of problematic technology use, rarely investigate relationships between such problem use patterns and indicators of poor mental health, and use samples that are unrepresentative of the adult population. Using a representative telephone survey of adults, we applied the Problem Electronic Device Use (PEDU) scale to estimate the level of PEDU in Ontario, Canada, and the associations between PEDU scores and a wide range of outcomes with a series of multivariate logistic regressions. We found an average weekly electronic device use of 15.57 hr, excluding work or school, and moderate to severe problem technology use among 7.9%  of the adult population. Moderate to severe PEDU was significantly associated with suicidal ideation, serious psychological distress, problem alcohol use, and treatment for anxiety. Implications for the findings are discussed.RésuméIl existe des preuves croissantes de corrélations entre la durée d’utilisation d’un appareil électronique à des fins de divertissement et les conséquences négatives sur la santé. On note souvent l’absence d’indicateurs de l’usage problématique des technologies dans les études qui examinent les corrélations entre cet usage et les indicateurs de troubles de santé mentale ou qui utilisent des échantillons représentatifs de la population adulte. À partir des résultats d’un sondage téléphonique représentatif mené auprès d’adultes, la présente étude a eu recours à l’échelle d’évaluation de l’usage problématique des appareils électroniques (Problem Electronic Device Use ou PEDU) pour estimer l’ampleur de ce phénomène dans la province (Ontario) et a appliqué une série de régressions logistiques multivariées pour établir des liens entre les résultats PEDU et un large éventail de conséquences sur la santé mentale. L’étude a révélé que l’usage hebdomadaire moyen des appareils électroniques chez les adultes sondés était de 15,57 heures et que 7,9 % d’entre eux rapportaient un niveau modéré à sévère d’usage problématique de la technologie. Des liens significatifs ont été établis entre l’usage problématique des appareils électroniques et plusieurs indicateurs de troubles de santé mentale et de consommation de substances psychoactives. Les implications de ces constats sont discutées ici.

2020 ◽  
Vol 46 (3) ◽  
pp. 242-251
Author(s):  
Stephanie Griggs ◽  
Robin Whittemore ◽  
Nancy S. Redeker ◽  
Margaret Grey

Purpose The purpose of this study was to explore the perceived facilitators and barriers for obtaining sufficient sleep in young adults with type 1 diabetes (T1D). Methods A qualitative descriptive approach was used to generate data. In-depth semi-structured interviews with 30 young adults with T1D (66.7% female, mean age = 22.1 years) were conducted. Interviews were transcribed verbatim and coded using NVivo. Results Young adults with T1D reported feeling challenged at bedtime and overnight by the demands of a complex disease management regimen. General and diabetes-specific barriers and facilitators to obtaining sufficient sleep were the overarching themes in the present study. Young adults perceived that electronic device use was a facilitator for relaxation before bed and a barrier to sleep by some participants. Delays in bedtime or disruptions in sleep were common diabetes-specific barriers. Conclusions When designing sleep-promoting interventions for young adults with T1D, researchers should consider diabetes-specific challenges and solutions in addition to those present in the general young adult population.


2020 ◽  
Vol 13 ◽  
pp. 2-11
Author(s):  
Danielle De Moissac ◽  
Candice Waddell ◽  
Nadine Smith ◽  
Rhéa Rocque

With the increased incidence of poor mental health in young adults, health promotion strategies are needed on campuses. World Cafés were held to facilitate discussion around three main topics: thoughts about findings emerging from a recent health survey; resources currently available on campus; and strategies or resources needed to improve student well-being. Participants readily provided insight into mental health concerns among students, and their recommendations focused primarily on creating a culture of well-being in the university, with more professional support services and greater health promotion. Overall, the World Café approach provided an effective method to engage students and discuss possible strategies to promote better mental health on campus.   Étant donné l’augmentation des problèmes de santé mentale chez les jeunes adultes, il faut adopter des stratégies de promotion de la santé à l’université. Des conversations de type Café du monde – World Café – ont eu lieu autour de trois sujets : 1) des réflexions autour des résultats provenant d’un sondage récent pourtant sur la santé; 2) les ressources qui sont actuellement offertes à l’université; 3) les stratégies et les ressources nécessaires à l’amélioration du bien-être des étudiants. Les participants n’ont pas hésité à témoigner des enjeux de santé mentale dans la communauté étudiante. Leurs recommandations ont convergé principalement vers la création d’une culture du bien-être à l’université, ce qui suppose un accroissement des services d’aide professionnelle et de la promotion de la santé. Dans l’ensemble, la méthode de type Café du monde a permis de faire participer les étudiants et de discuter des stratégies potentielles pour la promotion de la santé mentale à l’université.


Praxis ◽  
2020 ◽  
Vol 109 (1) ◽  
pp. 9-12
Author(s):  
Martin Preisig ◽  
Marie-Pierre F. Strippoli ◽  
Caroline L. Vandeleur

Résumé. PsyCoLaus, comportant une investigation de la santé mentale et du fonctionnement cognitif, vise à déterminer la prévalence et l’évolution des troubles mentaux et à étudier les mécanismes qui sous-tendent l’association entre ces troubles et les maladies cardiovasculaires. Cette investigation a mis en évidence un taux de prévalence vie-entière très élevé de 43,6 % pour les troubles dépressifs majeurs à Lausanne. Nous avons également observé que l’association entre la dépression et les facteurs de risque cardio-métaboliques est essentiellement attribuable au sous-type de dépression atypique, caractérisé par une augmentation de l’appétit, une lourdeur dans les membres, une hypersomnie et une réactivité affective conservée. Les patients présentant ce type de dépression ont un risque élevé de développer du surpoids, du diabète et un syndrome métabolique et méritent une attention particulière au niveau métabolique.


2020 ◽  
Vol 59 (3) ◽  
pp. 248-255
Author(s):  
Jean-Marc Guilé ◽  
Nicolas Benard ◽  
Olivier Bourdon ◽  
Yann Griboval ◽  
Hélène Lahaye ◽  
...  

Une intervention psychothérapeutique protocolisée a été mise au point par Stanley et associés pour aider à prévenir de futurs comportements suicidaires chez les personnes qui ont déjà fait une tentative de suicide. Le plan de sécurité (PS) fournit aux suicidants une planification écrite, personnalisée, étape par étape, des stratégies de protection et d’adaptation (coping) à mettre en œuvre en cas de crise suicidaire. Le PS comprend six éléments informatifs : (1) les signes avant-coureurs liés à une augmentation des impulsions suicidaires; (2) les stratégies d’adaptation internes que l’individu est capable de mettre en œuvre par lui-même; (3) les stratégies d’adaptation à mettre en œuvre avec le soutien d’amis et de parents; (4) les moyens qu’il/elle peut employer pour contacter les personnes significatives au sein de son réseau de soutien social; (5) les professionnels de la santé mentale et les services d’assistance téléphonique à éventuellement contacter en cas d’urgence suicidaire; et (6) les stratégies pour obtenir un environnement plus sûr au domicile. Les PS sont élaborés avec les suicidants au décours de la crise suicidaire. Les suicidants sont encouragés à partager le SP avec un proche de leur réseau de soutien. Ceci est obligatoire avec un suicidant mineur. Le parent ou le responsable légal doit être impliqué dans la préparation et le suivi du PS. Afin d’évaluer en permanence le risque suicidaire de l’individu, les PS sont revus tout au long du suivi thérapeutique. Le SP est une brève intervention, facile à mettre en œuvre à la suite d’une tentative de suicide. On dispose de résultats de recherche prometteurs concernant son efficacité dans la prévention des récidives de conduites auto-agressives.


2018 ◽  
Vol 57 (4) ◽  
pp. 302-306
Author(s):  
Véronique Delvenne

Au cours des 50 dernières années, la psychiatrie belge a évolué parallèlement aux autres pays vers une différenciation progressive des cursus de formation de psychiatrie et de pédopsychiatrie. Bien que des stages spécifiques existent depuis plus de 30 ans, c’est en 2003 qu’un arrêté royal introduit des modalités de formation spécifiques. Des socles de compétences à la psychiatrie et à la pédopsychiatrie existent et doivent être enseignés. La spécificité de l’une et l’autre des spécialités doit être respectée afin de développer un dispositif de soins qui répond au mieux aux besoins de santé publique ainsi qu’aux nouvelles politiques en santé mentale.


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