Introduction: The cost of surveillance strategies in patients afterradical nephrectomy for localized primary renal cell carcinoma(RCC) has not been evaluated. We compared the costs of 2 differentsurveillance strategies, the new Canadian Urological Association(CUA) guidelines and the old strategy implemented in our institution. Methods: Seventy-five patients who underwent radical nephrectomyfor primary non-metastatic renal cancer were retrospectivelyreviewed. The direct cost of surveillance was determined and comparedwith the theoretical cost which would have been accruedusing the CUA guidelines. Results: Our mean follow-up was 31.1 (SD ± 20.4) months. Theoverall and disease-free survival endpoints were 87.7% and 85.2%,respectively. Total medical costs were higher for our old institutionalsurveillance strategy than the CUA guidelines ($181 861vs. $135 054). For the complete follow-up of 75 patients, a costsavingsof $46 806 could have been achieved following the CUAguidelines (p = 0.002). Of recurrences, 7 of 8 were detected by routinescreening, only 1 recurrence was identified by symptoms. Thecost per recurrence detected in our old protocol was $9 812.92.The increased cost of our institution was due to more visits withbasic testing, symptomatic investigation, and follow-up of imagingtests. The median percent cost attributable to these extra tests was15% (range 0 to 59). Conclusion: Based on our results, we endorse the new CUA surveillancestrategy in RCC follow-up as appropriate and cost effective incomparison with previous follow-up strategies used at our institution.Can Urol Assoc J 2010;4(5):322-326Introduction : Le coût associé aux stratégies de surveillance despatients ayant subi une néphrectomie radicale en raison d’un hypernéphromeprimitif localisé n’a jamais été évalué. Nous avons comparéles coûts de deux stratégies de surveillance différentes, soitles nouvelles lignes directrices de l’Association des urologues duCanada (AUC) et l’ancienne stratégie utilisée à notre établissement. Méthodologie : Soixante-quinze patients qui ont subi une néphrectomieradicale en raison d’un néphrome primitif non métastatiqueont été passés en revue de façon rétrospective. Les coûts directs dela surveillance ont été déterminés et comparés avec le coût théoriquequi aurait été comptabilisé en suivant les lignes directrices de l’AUC. Résultats : La durée moyenne du suivi était de 31,1 mois (ÉT ± 20,4).La survie globale et la survie sans maladie étaient de 87,7 % et 85,2%, respectivement. Les coûts médicaux totaux étaient plus élevés avecl’ancienne stratégie de surveillance de notre établissement par rapportaux lignes directrices de l’AUC (181 861 $ contre 135 054 $). Deséconomies de 46 806 $ auraient pu être réalisées en suivant leslignes directrices de l’AUC pour le suivi complet des 75 patients(p = 0,002). Quant aux récurrences, 7 sur 8 ont été décelées lorsde tests de routine, et une seule a été décelée par la présence desymptômes. Le coût d’une récurrence décelée selon notre ancienprotocole était de 9 812,92 $. Le coût plus élevé lié au protocole denotre établissement est attribuable à un nombre plus élevé de visitesavec épreuves de routine, vérification des symptômes et suivi desépreuves d’imagerie. Le pourcentage médian du coût attribuable àces épreuves supplémentaires était de 15 % (0 à 59 %). Conclusion : En fonction de nos résultats, nous appuyons la nouvellestratégie de surveillance de l’AUC pour le suivi des casd’hypernéphrome; cette stratégie nous semble approprié et rentableen comparaison avec les stratégies auparavant utilisées à notre