scholarly journals How VA Psychiatry Residents Can Help Veterans Establish Service Connection for Schizophrenia When the First Episode Was After Military Service

2021 ◽  
Vol 17 (2) ◽  
pp. 2-4
Author(s):  
Lee Hiromoto ◽  
Alanna Mari Kaufman Dubrovsky
2017 ◽  
Vol 48 (5) ◽  
pp. 728-736 ◽  
Author(s):  
S. Dimitrakopoulos ◽  
S. Vitoratou ◽  
T. Mougiakos ◽  
N. Bogeas ◽  
O. Giotakos ◽  
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Since the seminal study of Steinbeck and Durell (1968), few epidemiological studies have attempted to replicate whether psychosocial stress precipitates the onset of a first psychotic episode. Our aim was to support or refute the finding of elevated psychosis incidence in the first month of army induction and to examine factors impacting the timing of onset. Data were collected from medical files of 186 army conscripts, hospitalized with a diagnosis of First Episode Psychosis (FEP) between 2005 and 2014 in the Psychiatric Military Hospital in Athens, Greece. FEP rates were at least 4.5 times higher in the first month of military service, compared with any other month. Earlier FEP onset was associated with rural environment at the time of birth, multiple drug use and service away from home. Psychosocial stress precipitates FEP, particularly in those exposed to other risk factors.


2011 ◽  
Vol 44 (18) ◽  
pp. 17
Author(s):  
NASEEM S. MILLER
Keyword(s):  

VASA ◽  
2015 ◽  
Vol 44 (4) ◽  
pp. 313-323 ◽  
Author(s):  
Lea Weingarz ◽  
Marc Schindewolf ◽  
Jan Schwonberg ◽  
Carola Hecking ◽  
Zsuzsanna Wolf ◽  
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Abstract. Background: Whether screening for thrombophilia is useful for patients after a first episode of venous thromboembolism (VTE) is a controversial issue. However, the impact of thrombophilia on the risk of recurrence may vary depending on the patient’s age at the time of the first VTE. Patients and methods: Of 1221 VTE patients (42 % males) registered in the MAISTHRO (MAin-ISar-THROmbosis) registry, 261 experienced VTE recurrence during a 5-year follow-up after the discontinuation of anticoagulant therapy. Results: Thrombophilia was more common among patients with VTE recurrence than those without (58.6 % vs. 50.3 %; p = 0.017). Stratifying patients by the age at the time of their initial VTE, Cox proportional hazards analyses adjusted for age, sex and the presence or absence of established risk factors revealed a heterozygous prothrombin (PT) G20210A mutation (hazard ratio (HR) 2.65; 95 %-confidence interval (CI) 1.71 - 4.12; p < 0.001), homozygosity/double heterozygosity for the factor V Leiden and/or PT mutation (HR 2.35; 95 %-CI 1.09 - 5.07, p = 0.030), and an antithrombin deficiency (HR 2.12; 95 %-CI 1.12 - 4.10; p = 0.021) to predict recurrent VTE in patients aged 40 years or older, whereas lupus anticoagulants (HR 3.05; 95%-CI 1.40 - 6.66; p = 0.005) increased the risk of recurrence in younger patients. Subgroup analyses revealed an increased risk of recurrence for a heterozygous factor V Leiden mutation only in young females without hormonal treatment whereas the predictive value of a heterozygous PT mutation was restricted to males over the age of 40 years. Conclusions: Our data do not support a preference of younger patients for thrombophilia testing after a first venous thromboembolic event.


Author(s):  
Outi Kalla ◽  
Jarl Wahlström ◽  
Jukka Aaltonen ◽  
Juha Holma ◽  
Pentti Tuimala ◽  
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Identifier avec précision les troubles schizophréniques a toujours été un problème complexe et controversé. Les caractéristiques psychologiques de la schizophrénie ont donné lieu à un volume considérable de travaux et de débats. Ces dernières années sont apparus un nombre croissant d'articles portant sur les différences et similitudes des manifestations de la psychose selon les cultures, partant de l'idée que les caractéristiques de personnalité nationales pourraient contribuer aux tableaux psychopathologiques. Le but premier de cette étude est de mieux comprendre les troubles psychotiques par l'investigation de la structure de personnalité et du fonctionnement de patients faisant un premier épisode psychotique. Le second objectif est de décrire les différences et similitudes observées dans les réponses au Rorschach de patients finlandais et espagnols afin de mettre en évidence des caractéristiques nationales et de contribuer ainsi à la recherche Rorschach interculturelle. Ont été inclus 41 protocoles de patients finlandais hospitalisés de manière consécutive pour premier épisode psychotique, et 32 en Espagne. Le travail a porté sur un certain nombre d'indicateurs de difficultés d'ajustement tirés du résumé formel du Rorschach en Système intégré ( Weiner & Exner, 1991 ). Tous les patients avaient été diagnostiqués comme schizophrènes ou souffrant d'autres troubles fonctionnels psychotiques non affectifs selon le DSM-IV. Les Rorschach ont été administrés en Système intégré aussitôt que possible après leur admission mais après la phase aiguë. La comparaison des groupes finlandais et espagnol, loin de montrer des différences significatives, étaient similaires sur beaucoup de points. Ces résultats confirment des données déjà bien établies sur les structures et mécanismes des patients psychotiques, mais ils en interrogent d'autres. Les patients obtiennent plus de styles ambiéquaux et moins d'introversifs que prévu. Beaucoup d'entre eux manquent de compétences sociales, d'intérêt pour les relations interpersonnelles et semblent avoir une vie sociale insatisfaisante. On observe des signes de difficultés dans le contrôle émotionnel et de modulation des affects, des traits dépressifs, une détresse émotionnelle, et peu de capacités de coping. Les résultats soulignent la notion que les problèmes affectifs et les traits dépressifs devraient être considérés comme un élément important dans un premier épisode psychotique, et ils confirment la présence de déficits cognitifs survenants tôt dans l'histoire d'un trouble psychotique. On a rencontré moins de dysfonctionnements idéationnels que prévu. Les deux groupes de patients se différenciaient sur certaines variables Rorschach, en particulier celles qui concernent la perception de soi. Les patients finlandais sont plus souvent centrés sur eux-mêmes de faç on excessive, plus préoccupés d'eux-mêmes et plus enclins M l'introspection. La majorité des patients espagnols manifestent un sentiment de valeur de soi négatif. Ils disposent de moins de ressources et ont plus souvent des déficits en capacité de coping. En admettant que ces résultats sont dus à des différences dans les caractéristiques de personnalité des patients psychotiques en Finlande et en Espagne, plutôt que des différences nationales dans la manifestation au Rorschach de structures de personnalité en fait identiques, alors ces données pourraient bien nous permettre de repérer des différences interculturelles de personnalité. Toutefois, l'impact des facteurs culturels est difficile M évaluer, surtout s'agissant d'une psychopathologie aussi sévère que la psychose, et la seule faç on d'avancer dans la compréhension de cette question serait de recueillir plus de données Rorschach interculturelles sur des patients psychotiques.


2020 ◽  
Vol 88 (6) ◽  
pp. 516-525 ◽  
Author(s):  
Miriam Salas-Sender ◽  
Raquel López-Carrilero ◽  
Ana Barajas ◽  
Esther Lorente-Rovira ◽  
Esther Pousa ◽  
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