Rorschach Characteristics and Comparison of First-Episode Psychotic Patients in Finland and Spain

2004 ◽  
Vol 26 (1) ◽  
pp. 63-84 ◽  
Author(s):  
Outi Kalla ◽  
Jarl Wahlström ◽  
Jukka Aaltonen ◽  
Juha Holma ◽  
Pentti Tuimala ◽  
...  
Keyword(s):  
First Episode ◽  
Dsm Iv ◽  
Troubles Psychotiques ◽  
Premier Épisode Psychotique ◽  
Phase Aiguë ◽  
Cette Question ◽  
Donne Lieu ◽  
Système Intégré ◽  
Relations Interpersonnelles

Identifier avec précision les troubles schizophréniques a toujours été un problème complexe et controversé. Les caractéristiques psychologiques de la schizophrénie ont donné lieu à un volume considérable de travaux et de débats. Ces dernières années sont apparus un nombre croissant d'articles portant sur les différences et similitudes des manifestations de la psychose selon les cultures, partant de l'idée que les caractéristiques de personnalité nationales pourraient contribuer aux tableaux psychopathologiques. Le but premier de cette étude est de mieux comprendre les troubles psychotiques par l'investigation de la structure de personnalité et du fonctionnement de patients faisant un premier épisode psychotique. Le second objectif est de décrire les différences et similitudes observées dans les réponses au Rorschach de patients finlandais et espagnols afin de mettre en évidence des caractéristiques nationales et de contribuer ainsi à la recherche Rorschach interculturelle. Ont été inclus 41 protocoles de patients finlandais hospitalisés de manière consécutive pour premier épisode psychotique, et 32 en Espagne. Le travail a porté sur un certain nombre d'indicateurs de difficultés d'ajustement tirés du résumé formel du Rorschach en Système intégré ( Weiner & Exner, 1991 ). Tous les patients avaient été diagnostiqués comme schizophrènes ou souffrant d'autres troubles fonctionnels psychotiques non affectifs selon le DSM-IV. Les Rorschach ont été administrés en Système intégré aussitôt que possible après leur admission mais après la phase aiguë. La comparaison des groupes finlandais et espagnol, loin de montrer des différences significatives, étaient similaires sur beaucoup de points. Ces résultats confirment des données déjà bien établies sur les structures et mécanismes des patients psychotiques, mais ils en interrogent d'autres. Les patients obtiennent plus de styles ambiéquaux et moins d'introversifs que prévu. Beaucoup d'entre eux manquent de compétences sociales, d'intérêt pour les relations interpersonnelles et semblent avoir une vie sociale insatisfaisante. On observe des signes de difficultés dans le contrôle émotionnel et de modulation des affects, des traits dépressifs, une détresse émotionnelle, et peu de capacités de coping. Les résultats soulignent la notion que les problèmes affectifs et les traits dépressifs devraient être considérés comme un élément important dans un premier épisode psychotique, et ils confirment la présence de déficits cognitifs survenants tôt dans l'histoire d'un trouble psychotique. On a rencontré moins de dysfonctionnements idéationnels que prévu. Les deux groupes de patients se différenciaient sur certaines variables Rorschach, en particulier celles qui concernent la perception de soi. Les patients finlandais sont plus souvent centrés sur eux-mêmes de faç on excessive, plus préoccupés d'eux-mêmes et plus enclins M l'introspection. La majorité des patients espagnols manifestent un sentiment de valeur de soi négatif. Ils disposent de moins de ressources et ont plus souvent des déficits en capacité de coping. En admettant que ces résultats sont dus à des différences dans les caractéristiques de personnalité des patients psychotiques en Finlande et en Espagne, plutôt que des différences nationales dans la manifestation au Rorschach de structures de personnalité en fait identiques, alors ces données pourraient bien nous permettre de repérer des différences interculturelles de personnalité. Toutefois, l'impact des facteurs culturels est difficile M évaluer, surtout s'agissant d'une psychopathologie aussi sévère que la psychose, et la seule faç on d'avancer dans la compréhension de cette question serait de recueillir plus de données Rorschach interculturelles sur des patients psychotiques.

Rorschach Findings and Neuropsychological Comparison of First-Episode Psychotic Depression with First-Episode Nonpsychotic Depression and Schizophrenia: A Preliminary Report

1997 ◽  
Vol 22 (1) ◽  
pp. 198-210 ◽  
Author(s):  
Tuula Ilonen ◽  
Carl-Erik Mattlar ◽  
Raimo K. R. Salokangas
Keyword(s):  
Nous Avons ◽  
Preliminary Report ◽  
First Episode ◽  
Psychotic Depression ◽  
Fonctions Cognitives ◽  
Dsm Iv ◽  
Nonpsychotic Depression ◽  
Système Intégré

Dans cette étude nous avons tenté de clarifier les traits neuropsychologiques et l’organisation psychologique qui différencient la dépression psychotique. Nous avons comparé 17 psychotiques unipolaires déprimés dans leur premier épisode avec 14 patients non psychotiques déprimés dans leur premier épisode et 20 patients schizophrènes, en utilisant une batterie de tests neuropsychologiques et le Rorschach en Système Intégré. Tous les sujets répondaient aux critères diagnostics de la DSM-IV et de l’ICD-10, obtenus par consensus entre quatre psychiatres expérimentés. Les patients à dépression psychotique ne différaient pas significativement des patients déprimés non psychotiques ni des patients schizophrènes sur les mesures neuropsychologiques. On a trouvé des différences entre les déprimés non psychotiques et le groupe schizophrène, ce dernier obtenant de moins bons résultats sur la plupart des mesures. Toutefois, la dépression était aussi associée avec un certain nombre de déficits cognitifs, particulièrement dans les secteurs de la mémoire, de l’attention, de la vitesse psychomotrice et de la fonction exécutive. Les trois groupes ne différaient pas de manière significative sur le DEPI. On trouvait des traits dépressifs chez les schizophrènes comme chez les patients déprimés, et seulement 35% des patients à dépression psychotique avaient un DEPI > 5. Bien que le diagnostic de dépression psychotique exige la présence de délire et/ou d’hallucinations, seuls les schizophrènes présentaient des problèmes caractéristiques de troubles de la pensée et de perception inadéquate qui reflétaient un système délirant et/ou hallucinatoire. Les patients à dépression psychotique tout comme les schizophrènes présentaient une caractéristique stylistique de sur-simplification des stimuli et un stress situationnel. Nos résultats ne permettent pas d’affirmer avec certitude que la dépression psychotique est une catégorie diagnostique séparée de la dépression non psychotique bien que l’on trouve effectivement certaines tendances qui pourraient le permettre. Identifier la dépression psychotique est difficile parce ce trouble semble présenter des caractéristiques mixtes et hétérogènes non seulement en termes de signes et de symptômes, mais aussi au regard des fonctions cognitives. Enfin, nos résultats suggèrent que les critères du délire et/hallucinations sont peut-être surévalués pour le diagnostic d’une dépression psychotique.

scholarly journals Characterization of depressive syndrome in schizophrenic outpatients

2002 ◽  
Vol 24 (1) ◽  
pp. 18-25 ◽  
Author(s):  
Flávio Soares de Araújo ◽  
Kátia Petribú ◽  
Othon Bastos
Keyword(s):  
Clinical Features ◽  
Clinical Picture ◽  
Depression Scale ◽  
Cross Sectional Study ◽  
Depressive Syndrome ◽  
Psychosocial Stressors ◽  
First Episode ◽  
Psychotic Episode ◽  
Cross Sectional ◽  
Dsm Iv

OBJECTIVE: The authors carried out a cross-sectional study with the aim of characterizing and describing depressive pictures in schizophrenic patients seen at the Psychiatry Outpatient Clinic of the Federal University of Pernambuco (HC-UFPE). The patients had the diagnosis of schizophrenia confirmed on the basis of the operating criteria of the DSM-IV. METHODS: Those who where in the period of stabilization of the clinical picture were selected for the study defined according the following criteria:the last psychotic episode must be happened two months before at least, and during this period the alterations of the antipsychotics doses had been lower than 5 mg of haloperidol or equivalent doses of others neuroleptics. A total of one hundred and four patients took part. Following the identification of the depressive symptoms using the Calgary Depression Scale for Schizophrenia (CDSS), thirty-one patients (29.8%) fulfilled the diagnostic criteria described in the DSM-IV. Of these, 22.1% had the diagnosis of major depression and 7.7% of minor depression according the DSM-IV. Two groups were constituted: Group A, schizophrenics with a depressive syndrome, and Group B, schizophrenics without such a syndrome. An assessment was made of the distribution of the symptoms of the CDSS scores in both groups, the sociodemographic, clinical and therapeutic variables in relation to the frequency of the depressive syndrome, and the patients clinical course. For the investigation of certain clinical features, the following tools were used: problem list (psychosocial stressors) contained in axis IV of the DSM-IV intended to detect the presence of factors triggering the initial episode of schizophrenia and the Global Assessment of Functioning (GAF -- Axis V -- DSM-IV) to characterize the current functioning of the patients. CONCLUSIONS: The results obtained allowed the authors to draw the following conclusions: all the items that comprise the Brazilian version of the CDSS were statistically significant in characterizing the depressive syndrome; a comparison of the sociodemographic and therapeutic variables revealed no statistically significant differences between the two groups, and this was also the case with the majority of the clinical features. Statistically significant differences, however, were found in relation to the greater frequency of life events (psychosocial stressors) in triggering the first episode of schizophrenia and the higher incidence of affective disorders antecedents in family members (first and second degree) among the depressed patients. The mean duration of the depressive syndrome during follow-up of the patients was 5.30 months. The patients in whom there was a recurrence of the psychotic episode presented a delusional-hallucinatory clinical picture. This study seeks to contribute to the inclusion of the Postpsychotic Depressive Disorder (PSD) of Schizophrenia (DSM-IV), in the group of Schizophrenic Disorders.

Predictors of outcome in first-episode schizophrenia over the first 4 years of illness

2008 ◽  
Vol 38 (8) ◽  
pp. 1141-1146 ◽  
Author(s):  
P. Whitty ◽  
M. Clarke ◽  
O. McTigue ◽  
S. Browne ◽  
M. Kamali ◽  
...  
Keyword(s):  
Negative Symptoms ◽  
First Episode ◽  
Global Assessment Of Functioning ◽  
Methodological Issues ◽  
Course Of Illness ◽  
Dsm Iv ◽  
First Episode Schizophrenia ◽  
The Relationship ◽  
Positive And Negative Symptoms

BackgroundThe outcome of schizophrenia appears to be more favourable than once thought. However, methodological issues, including the reliance on diagnosis at first presentation have limited the validity of outcome studies to date.MethodWe conducted a first-episode follow-up study of 97 patients with DSM-IV schizophrenia over the first 4 years of illness. First presentation and follow-up assessments were compared using paired t tests and a forced-entry regression analysis was used to determine prognostic variables.ResultsThere were significant improvements in positive and negative symptoms and global assessment of functioning between first presentation and follow-up. At first presentation, fewer negative symptoms (t=−3.40, p<0.01), more years spent in education (t=3.25, p<0.01), and a shorter duration of untreated psychosis (DUP) (t=−2.77, p<0.01) significantly predicted a better outcome at follow-up.ConclusionsThe outcome of schizophrenia may not be as pessimistic as once thought and most patients did not display a downward deteriorating course of illness. This study supports the relationship between DUP and outcome beyond the early stages of illness.

The Inter-Rater and Test-Retest Reliabilities of Prodromal Symptoms in First-Episode Psychosis

1996 ◽  
Vol 30 (4) ◽  
pp. 498-504 ◽  
Author(s):  
Henry J. Jackson ◽  
Patrick D. McGorry ◽  
Susan Harrigan ◽  
Jenepher Dakis ◽  
Lisa Henry ◽  
...  
Keyword(s):  
Field Trial ◽  
American Psychiatric Association ◽  
Psychotic Disorders ◽  
First Episode Psychosis ◽  
World Health ◽  
First Episode ◽  
Prodromal Symptoms ◽  
Episode Psychosis ◽  
Dsm Iv ◽  
Health Organization

Objective: As part of the DSM-IV field trial for psychotic disorders, the authors endeavoured to determine the reliability of the DSM-IV prodromal features for schizophrenia in a first-episode sample. Method: Fifty first-episode psychotic patients were assessed using a semi-structured instrument to determine the presence/absence of nine prodromal symptoms. Inter-rater reliability data were calculated for 25 of the patients, and test-retest data were calculated for the remaining 25 patients. Results: Levels of reliability were poor. Conclusions: The results lend some support to American Psychiatric Association and World Health Organization decisions to omit specific criteria for prodromal features from their respective nosologies.

Psychoendocrine antecedents of persistent first-episode major depression in adolescents: a community-based longitudinal enquiry

2003 ◽  
Vol 33 (4) ◽  
pp. 601-610 ◽  
Author(s):  
I. M. GOODYER ◽  
J. HERBERT ◽  
A. TAMPLIN
Keyword(s):  
High Risk ◽  
Major Depression ◽  
Life Events ◽  
First Episode ◽  
Community Based ◽  
Morning Cortisol ◽  
Regression Techniques ◽  
Dsm Iv ◽  
Endocrine Features

Background. This longitudinal study investigated whether patterns of cortisol and DHEA that precede the onset of an episode of major depression influence time to recovery in a community ascertained sample of adolescents meeting DSM-IV criteria for major depression.Method. Sixty adolescents aged 12 to 16 at high risk for psychiatric disorders were followed for 24 months. At 12 months, 30 had experienced an episode of major depression and 30 had not. The second follow-up repeated the psychiatric evaluations with all participants completing the Kiddie-SADS Schedule for Schizophrenia and Affective Disorders. Hormone characteristics and self-reports completed at entry (the Mood and Feelings questionnaire and the Ruminations scale) together with intervening undesirable life events in the 12 months prior to onset, were used to determine the best pattern of psychosocial and endocrine features to predict persistent major depression.Results. Compared to the never depressed (N=30) and remitted adolescents (N=19), persistently depressed cases (N=11) had a raised morning cortisol/DHEA ratio at entry. Only persistent cases had higher levels of self-reported depressive symptoms and ruminations at entry compared to never depressed. There was no difference in exposure to undesirable life events before onset of disorder between remitted and persistent groups. Logistic regression techniques showed that only the cortisol/DHEA ratio predicted persistence.Conclusions. In community adolescents at high risk for psychiatric disorder persistent major depression may be distinguished from sporadic forms by the 08.00 h salivary cortisol/DHEA ratio prior to onset.

scholarly journals Basic symptoms in early psychotic and depressive disorders

2007 ◽  
Vol 191 (S51) ◽  
pp. s31-s37 ◽  
Author(s):  
Frauke Schultze-Lutter ◽  
Stephan Ruhrmann ◽  
Heinz Picker ◽  
Heinrich Graf Von Reventlow ◽  
Anke Brockhaus-Dumke ◽  
...  
Keyword(s):  
Early Detection ◽  
Depressive Disorders ◽  
Multivariate Analyses ◽  
Group Classification ◽  
First Episode ◽  
Psychotic Depression ◽  
Basic Symptoms ◽  
Dsm Iv ◽  
Identification Of Persons ◽  
First Episode Schizophrenia

BackgroundDepression is a frequent condition in early psychosis. Therefore, early detection instruments should distinguish depression from beginning psychosisAimsTo examine whether basic symptoms, i.e. subtle subjective deficits, differ between participants suffering from a potential prodrome (n = 146), first-episode schizophrenia (n= 153) and non-psychotic depression (n = 115)MethodBasic symptoms were assessed with the Schizophrenia Proneness InstrumentResultsThe prodrome and schizophrenia groups did not differ in level of basic symptoms but both had higher levels than the depression group. DSM – IV depression was frequent in those suffering from a potential prodrome (38%) and first-episode schizophrenia (21%). In both groups, participants with and without depression did not differ in basic symptoms. In multivariate analyses, consideration of current depression generally facilitated correct group classification, except for participants suffering from both a potential prodrome and depressionConclusionsCognitive basic symptoms distinguished well between all three groups. However, identification of persons suffering from a potential prodrome might be enhanced by considering current affective status

scholarly journals A Comparison of Thioredoxin 1 Gene Expression in Schizophrenia Patients before and after Treatment with Risperidone

2021 ◽  
Vol 15 (5) ◽  
pp. 1551-1563
Author(s):  
E. Azizi ◽  
M. Hosseinzadeh ◽  
P. Vahdatian ◽  
A. Adibi ◽  
A. Azizifar ◽  
...  
Keyword(s):  
Gene Expression ◽  
Rna Extraction ◽  
Serum Levels ◽  
Key Words Schizophrenia ◽  
First Episode ◽  
Control Group ◽  
Blood Leukocytes ◽  
Before And After ◽  
Schizophrenic Patients ◽  
Dsm Iv

Background: Schizophrenia is a mental disorder characterized by distortions in thinking, perception, emotions, language, self-sense, and behavior. Recent research suggests that Reactive Oxygen Species (ROS) are involved in the pathophysiology of schizophrenia. Studies have also shown the increased plasma and serum levels of the Trx1 molecule in schizophrenia patients. In the present study, the researchers compared the expression levels of Trx1 mRNA in peripheral blood leukocytes of Iranian schizophrenia patients compared to healthy controls. Methods: First-episode patients (n=35) who met DSM-IV criteria for schizophrenia were recruited from patients referred to psychiatrists in the city of Ilam and Farabi Hospital in Kermanshah. Healthy people were also selected by recruiting people who, according to a psychiatrist, did not have any mental illness. Diagnoses were made for each patient by two independent experienced psychiatrists and confirmed by the Structured Clinical Interview for DSM-IV (SCID). Patients were treated with risperidone for three months and then compared with thirty- five healthy volunteers. Patients were sampled before and after treatment and then by RNA Extraction and DNA synthesis, Trx1 gene expression was performed by real-time PCR method. Results: Comparison of Trx1 gene expression in PBMCs of schizophrenic patients before and after treatment with the control group showed that the expression of Trx1 gene of the “before” treatment group was significantly increased compared with that of the control group (P= 0.0007). Also, Trx1 gene expression in PBMCs of “before” and “after “groups showed that Trx1 gene expression of “after” group was significantly decreased compared to the “before” group (P= 0.014). These results showed that the mean of positive, negative, and general psychopathology was reduced significantly in schizophrenic patients before and after treatment in all three cases (P <0.001). Conclusion: the expression of TRX in PBMCs of schizophrenic patients decreased after risperidone treatment. This reduction of expression was statistically significant and indicates the possible effect of risperidone on the expression of the TRX gene in PBMCs of these patients and decreased gene expression is associated with reduced symptoms. Confirmation of the achievement of this study requires further research. Key words: Schizophrenia, Thioredoxin, Risperidone

scholarly journals Parkinsonisme induit par les antipsychotiques

2021 ◽  
Vol 11 (2) ◽  
pp. 20-22
Author(s):  
Lily Bellehumeur-Béchamp ◽  
Anne-Sophie Grenier ◽  
Adéline Nolin ◽  
Anne-Marie Essiambre ◽  
Marc-André Roy
Keyword(s):  
Rating Scale ◽  
Troubles Psychotiques ◽  
Premier Épisode Psychotique ◽  
Symptom Rating

Les antipsychotiques de première génération (APG) et les antipsychotiques de seconde génération (ASG) aident au traitement symptomatique des troubles psychotiques. Or, ils peuvent parfois induire des réactions extrapyramidales, notamment le parkinsonisme, lesquelles peuvent exacerber les déficits cognitifs déjà présents. La présente étude explore la relation entre la mémoire de travail et le parkinsonisme induit par des antipsychotiques chez les personnes composant avec un trouble psychotique. Sept participants de 20 à 35 ans traités avec des antipsychotiques de seconde génération pour un trouble psychotique sont recrutés. La MATRICS Consensus Cognitive Battery (MCCB) et l’Extrapyramidal Symptom Rating Scale (ESRS) sont utilisés pour évaluer la mémoire de travail et le parkinsonisme induit par des antipsychotiques. Il est attendu qu’une corrélation significative et négative s’observe entre la mémoire de travail et le parkinsonisme induit par des antipsychotiques. Toutefois, les résultats suggèrent une corrélation non significative, ρ = 0,273, p = 0,554. En ce sens, le parkinsonisme ne serait pas significativement associé à la mémoire de travail. La présente étude favorise la compréhension de l’effet du parkinsonisme induit par des antipsychotiques chez une jeune population présentant un premier épisode psychotique. L’utilisation d’un outil plus sensible serait à considérer dans l’évaluation du parkinsonisme de faible amplitude.

scholarly journals Phénomènes et processus intervenant dans les rapports aux savoirs de la physique: cas d’élèves français en 10ième année de formation

2005 ◽  
Vol 27 (1) ◽  
pp. 103-122
Author(s):  
Patrice Venturini
Keyword(s):  
Cette Question ◽  
Donne Lieu

Cet article concerne l’implication des élèves dans leur travail scolaire en physique. Cette question, qui a donné lieu dans les pays anglo-saxons à de très nombreux travaux sur les attitudes envers les sciences, est ici envisagée en utilisant le rapport au savoir comme cadre théorique. Des travaux réalisés précédemment avaient permis de construire cinq rapports idéal-typiques aux savoirs de la physique, caractérisés par la nature de la mobilisation associée à chacun d’eux. L’étude présentée ici poursuit ce travail et a permis d’identifier une partie des phénomènes et des processus intervenant dans ces rapports aux savoirs. Ces phénomènes concernent l’environnement scolaire, les représentations liées à la physique académique et le projet professionnel. Elle a aussi permis d’examiner l’articulation des rapports aux savoirs de la physique avec les rapports au savoir scolaire.

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