scholarly journals Prévalence du syndrome métabolique et de ses facteurs de risque chez les enfants et les adolescents canadiens : Enquête canadienne sur les mesures de la santé, cycle 1 (2007-2009) et cycle 2 (2009-2011)

Author(s):  
M. MacPherson ◽  
M. de Groh ◽  
L. Loukine ◽  
D. Prud'homme ◽  
L. Dubois

Introduction Nous avons étudié la prévalence du syndrome métabolique (SMet) et de ses facteurs de risque ainsi que l’influence du statut socioéconomique chez les enfants et les adolescents canadiens. Méthodologie Nous avons inclus dans notre étude les 1228 répondants de l’Enquête canadienne sur les mesures de la santé, cycle 1 (2007-2009) et cycle 2 (2009-2011), âgés de 10 à 18 ans et ayant fourni un échantillon de sang à jeun. Nous avons utilisé les définitions consensuelles du SMet proposées par la Fédération internationale du diabète (FID) pour les enfants et adolescents (10 à 15 ans) et pour les adultes (16 ans et plus). Nous avons mesuré la prévalence du SMet et de ses facteurs de risque ainsi que les différences en fonction du statut socioéconomique au moyen de tests du χ2. Résultats La prévalence du SMet était de 2,1 %. Le tiers (37,7 %) des répondants présentaient au moins un facteur de risque, les plus répandus étant l’obésité abdominale (21,6 %), un faible taux de C-HDL (19,1 %) et un taux de triglycérides élevé (7,9 %). Cette combinaison d’obésité abdominale, de faible taux de C-HDL et de taux élevé de triglycérides correspondait à 61,5 % des cas de SMet. Les participants des ménages de la tranche supérieure de revenu et bénéficiant d’un niveau de scolarité élevé présentaient la plus faible prévalence d’un ou de plusieurs facteurs de risque du SMet, d’obésité abdominale et de faible taux de C-HDL. Conclusion La prévalence du SMet (2,1 %) s’est révélée inférieure à celle mesurée auparavant pour le Canada (3,5 %) et les États-Unis (4,2 % à 9,2 %), sans doute en raison de l’application stricte des critères de la FID pour l’étude du SMet. Le tiers des enfants et des adolescents canadiens présentaient au moins un facteur de risque de SMet. Comme le risque de SMet augmente avec l’âge, ces estimations de la prévalence, couplées à une prévalence nationale de l’obésité d’environ 10 % chez les jeunes, laissent entrevoir un accroissement du risque de SMet et d’autres maladies chroniques chez les jeunes Canadiens.

Author(s):  
Deepa Rao ◽  
Erin Kropac ◽  
Minh Do ◽  
Karen Roberts ◽  
Gayatri Jayaraman

Introduction L’obésité est un facteur de risque complexe des maladies chroniques associé à un certain nombre de déterminants socioécologiques. Ce rapport d’étape fournit un aperçu du cadre socioécologique qui guide actuellement nos efforts de suivi de l’embonpoint et de l’obésité chez les enfants. Ce cadre intègre différents facteurs de risque et de protection (facteurs sociodémographiques, liés au mode de vie, psychosociaux et en début de vie) et tient compte de l'étape de vie, des niveaux d’influence et de l'environnement au sein desquels ces facteurs jouent un rôle. Méthodologie Nous avons effectué des analyses univariées et bivariées fondées sur les données de l’Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes et de l’Enquête canadienne sur les mesures de la santé pour rendre compte des facteurs comportementaux, des facteurs psychosociaux et des facteurs en début de vie associés à un surplus de poids chez les enfants canadiens. Résultats Les estimations liées aux facteurs en début de vie (p. ex. l’allaitement), aux facteurs comportementaux (p. ex. l’activité physique) et aux facteurs psychosociaux (p. ex. le sentiment d’appartenance à la collectivité) sont présentées en fonction du groupe d’âge, du sexe, de la suffisance du revenu et du poids. Conclusion Cette étude, qui s’appuie sur notre publication récente sur les tendances en matière d’obésité chez les enfants au Canada et les facteurs sociodémographiques qui y sont associés, présente les facteurs de risque et de protection intégrés à notre cadre de surveillance. D'après notre analyse, une évaluation plus globale des déterminants associés au maintien d’un poids santé est nécessaire.


2014 ◽  
Vol 34 (1) ◽  
pp. 40-49
Author(s):  
DP Rao ◽  
S Dai ◽  
R Lagacé ◽  
M Krewski

Introduction Le syndrome métabolique (SMét) est un ensemble de marqueurs de risques qui semble favoriser l'apparition de maladies chroniques. Nous avons examiné le fardeau lié au SMét au Canada et son association actuelle et projetée avec les maladies chroniques. Méthodologie Nous avons utilisé les données de l'Enquête canadienne sur les mesures de la santé 2007-2009 pour déterminer la prévalence du SMét chez les adultes canadiens et pour examiner les associations entre divers facteurs sociodémographiques et les principales maladies chroniques. Nous avons estimé l'incidence cumulative projetée du diabète et le risque, en pourcentage, d'événements cardiovasculaires mortels en utilisant l'algorithme DPoRT (Diabetes Population Risk Tool) et l'algorithme de Framingham. Résultats Après ajustement en fonction de l'âge, nous avons pu déterminer que 14,9 % des adultes canadiens présentaient un SMét. Les taux étaient similaires pour les deux sexes, mais ils étaient plus élevés chez les non-Blancs et chez les personnes présentant un embonpoint ou obèses (p $lt; 0,001 dans les trois cas). L'importance du SMét sur le plan de la santé publique découle du fait qu'il est associé de manière statistiquement significative avec des maladies chroniques, en particulier avec le diabète de type 2 diagnostiqué (11,2 % contre 3,4 %) et non diagnostiqué (6,0 % contre 1,1 %). Le taux estimé d'incidence sur 10 ans associé au diabète et le risque moyen en pourcentage d'événements cardiovasculaires mortels étaient plus élevés chez les personnes atteintes de SMét que chez celles qui ne l'étaient pas (18,0 % contre 7,1 % pour le diabète et 4,1 % contre 0,8 % pour les maladies cardiovasculaires). Conclusion Le SMét est répandu chez les adultes canadiens, et une forte proportion de personnes souffrant d'un SMét ont également des affections chroniques, diagnostiquées ou non. Les estimations projetées du taux d'incidence de maladies chroniques associées à un SMét sont plus élevées chez les personnes aux prises avec ce syndrome. Par conséquent, le SMét pourrait être un facteur de risque pertinent dans l'apparition de maladies chroniques.


Praxis ◽  
2020 ◽  
Vol 109 (1) ◽  
pp. 9-12
Author(s):  
Martin Preisig ◽  
Marie-Pierre F. Strippoli ◽  
Caroline L. Vandeleur

Résumé. PsyCoLaus, comportant une investigation de la santé mentale et du fonctionnement cognitif, vise à déterminer la prévalence et l’évolution des troubles mentaux et à étudier les mécanismes qui sous-tendent l’association entre ces troubles et les maladies cardiovasculaires. Cette investigation a mis en évidence un taux de prévalence vie-entière très élevé de 43,6 % pour les troubles dépressifs majeurs à Lausanne. Nous avons également observé que l’association entre la dépression et les facteurs de risque cardio-métaboliques est essentiellement attribuable au sous-type de dépression atypique, caractérisé par une augmentation de l’appétit, une lourdeur dans les membres, une hypersomnie et une réactivité affective conservée. Les patients présentant ce type de dépression ont un risque élevé de développer du surpoids, du diabète et un syndrome métabolique et méritent une attention particulière au niveau métabolique.


2014 ◽  
Vol 29 (S3) ◽  
pp. 554-555
Author(s):  
P. Courtet

La dépression, deuxième source de handicap, constitue le principal facteur de risque de suicide. Il a été proposé à juste titre que le traitement de la dépression soit une stratégie efficace de prévention du suicide. Pourtant la dernière décennie a été marquée par les controverses sur le risque suicidaire potentiel des antidépresseurs, qui ont eu des effets néfastes sur la prise en charge des patients. Puisque les alertes sur ce risque ont été proposées à partir des résultats d’études qui n’avaient pas comme objectif de s’intéresser au processus suicidaire, nous avons réalisé une étude destinée à évaluer la survenue d’idées et de tentatives de suicide chez 4357 patients déprimés ambulatoires traités par antidépresseur et suivis 6 semaines en condition naturelles. Une idéation suicidaire est apparue de novo chez 9 % des patients qui n’en avaient pas à l’inclusion. Les critères prédictifs étaient l’aggravation de la symptomatologie anxieuse ou dépressive et l’instauration d’un nouveau traitement après échec antérieur. Deux pour cent des patients ont réalisé une TS au cours des 6 semaines de suivi. Les critères prédictifs étaient l’aggravation de la symptomatologie dépressive ou du désespoir, l’instauration d’un nouveau traitement après échec antérieur, et l’existence de mésusage d’alcool et d’antécédents de TS. Ces résultats suggèrent que le risque suicidaire en début de traitement soit lié aux facteurs de risque suicidaires, dont l’inefficacité du traitement antidépresseur. Par ailleurs, nous avons montré que l’initiation d’un traitement par non ISRS ou d’un traitement ISRS à forte dose augmente le risque d’aggravation des idées de suicide. L’ensemble de ces données, confortées par la littérature, nous indique que les médecins possèdent les outils de prévention en évaluant précisément et régulièrement la dépression et le risque suicidaire au cours du traitement antidépresseur.


2014 ◽  
Vol 34 (4) ◽  
pp. 229-237
Author(s):  
SG Bruce ◽  
ND Riediger ◽  
LM Lix

Introduction Les populations autochtones du Nord canadien subissent des changements rapides dans leur environnement, ce qui peut avoir des effets nuisibles sur leur état de santé. Nous avons voulu comparer les maladies chroniques et les facteurs de risque des populations autochtones du Nord canadien, à savoir les Premières nations, les Inuits et les Métis, avec les populations non autochtones de la même zone. Méthodologie Les données sont tirées de l'Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes de 2005 à 2008. Des modèles de régression logistique multiple pondérée ont servi à analyser l'association entre les groupes ethniques et les résultats de santé. Les covariables du modèle étaient l'âge, le sexe, le territoire de résidence, le niveau de scolarité et le revenu. Nous présentons les rapports de cotes (RC) et nous avons utilisé la méthode d'échantillonnage bootstrap pour calculer les intervalles de confiance (IC) à 95% et les valeurs p. Résultats La probabilité d'avoir au moins une maladie chronique était significativement plus faible chez les Inuits (RC = 0,59; IC à 95 % : 0,43 à 0,81) que chez les non-Autochtones, mais elle était similaire chez les Premières nations, les Métis et les non-Autochtones. La prévalence de nombreux facteurs de risque était significativement différente chez les Inuits, les membres des Premières nations et les Métis. Conclusion Les Autochtones du Nord canadien ont des états de santé hétérogènes. Le maintien d'une surveillance continue des maladies chroniques et des facteurs de risque va jouer un rôle important dans la mesure des évolutions et dans l'évaluation de l'impact des interventions en santé publique les concernant.


2021 ◽  
Vol 8 (1) ◽  
pp. 9-12
Author(s):  
Samir Bouras ◽  

Introduction. Selon les données de l'Organisation mondiale de la santé 2018, le cancer du rein occupe en Algérie le 20eme rang chez les deux sexes. L'objectif de cette étude est d'évaluer nos résultats oncologiques de la néphrectomie partielle. Patients et méthodes. Étude rétrospective mono centrique, de juin 2012 à mars 2020. 50 patients ont bénéficié d'une néphrectomie partielle pour cancer du rein. Parmi ces patients, 37 (74%) cancer ont été confirmés par la pathologie. L'étude statistique a été réalisée à l'aide du logiciel SPSS 20. Résultats. L'âge moyen était de 55,1 ans et les femmes étaient majoritaires 23 (62,2%). Le carcinome à cellules claires prédominait : 21 cas (56,8%). Les marges chirurgicales étaient positives dans 06 cas (16,2%) et le stade pT1 était majoritaire dans 29 (78,3%). Après un suivi moyen de 55,7 mois, nous avons eu un taux de récidive global de 10,8% (04 patients). Aucun facteur de risque probable n’a été statistiquement significatif. Discussion. Nos résultats carcinologiques sont comparables aux données de la littérature (des taux de récidives jusqu’à 10,6%). Malgré un taux relativement élevé de marges chirurgicales positives, 80% des récidives sont survenus sur des marges négatives. En effet, les marges chirurgicales positives ne sont pas considérées comme un facteur de risque de récidive indépendant. Plusieurs facteurs de risque de récurrence ont été rapportés ; cependant dans cette série, nul n’a été identifié. Le cancer du rein est connu pour des récidives très tardives. Conclusion. La néphrectomie partielle est réalisée dans notre service depuis plus de 08 ans en toute sécurité, avec des résultats oncologiques satisfaisants. Mots clés : cancer du rein, néphrectomie partielle, résultats oncologiques.


2011 ◽  
Vol 31 (3) ◽  
pp. 120-132
Author(s):  
R Pineault ◽  
S Provost ◽  
M Hamel ◽  
A Couture ◽  
JF Levesque

Objectifs Déterminer dans quelle mesure l’expérience de soins varie selon les maladies chroniques et analyser la relation entre les modèles d’organisation de soins de santé primaires (SSP) et l’expérience de soins rapportée par des patients atteints de différentes maladies chroniques. Méthodologie Nous avons jumelé les résultats d’une enquête populationnelle et d’une enquête organisationnelle menées dans deux régions du Québec. Nous avons ciblé cinq groupes de maladies chroniques et les avons comparés à un groupe sans maladie chronique. Résultats L’accessibilité des soins est faible pour tous les groupes de maladies chroniques et présente peu de variation selon les maladies. Les modèles de contact et de coordination intégré sont les plus accessibles, tandis que le modèle à prestataire unique est le moins accessible. Les indices du processus et des résultats de soins sont beaucoup plus élevés que l’indice de l’accessibilité, et ce, pour tous les groupes. De plus, ils varient selon les maladies, les plus élevés se trouvant dans le groupe des facteurs de risque cardiovasculaires, et les plus faibles, dans le groupe des maladies respiratoires (patients âgés de 44 ans et moins). Toutefois, lorsqu’on passe du groupe des facteurs de risque aux groupes de maladies chroniques plus graves, on observe que le modèle de coordination intégré et le modèle communautaire affichent en général une meilleure performance quant au processus de soins, ce qui met en lumière le plus grand potentiel de ces deux modèles pour répondre aux besoins des personnes atteintes des maladies chroniques les plus graves dans le système de soins de santé canadien.


2014 ◽  
Vol 29 (S3) ◽  
pp. 571-571
Author(s):  
P.-M. Astorg ◽  
A. Moroy ◽  
S. Lamy ◽  
L. Jehel ◽  
J.-M. Sigward

ContexteLes malades de psychiatrie meurent 25 ans plus tôt que la population générale, en particulier de maladies cardiovasculaires dont un des facteurs de risque est le syndrome métabolique. Les psychiatres sont souvent les seuls médecins à prendre en charge les patients hospitalisés dans des services psychiatriques, avec une approche somatique limitée.MéthodologieNous avons réalisé une étude observationnelle de novembre 2013 à juillet 2014 afin d’établir un profil des sujets pris en charge en psychiatrie au CHU de Martinique (CHUM).ObjectifNotre objectif principal est de décrire le profil des personnes hospitalisées dans le service de Psychiatrie du CHUM : comorbidités somatiques (dont syndrome métabolique) et psychiatrique, niveau socio-économique, histoire de vie (avec recherche de traumatisme).RésultatsCent quarante-quatre dossiers ont été documentés ; 62 % de femmes et 38 % d’homme avec une moyenne d’âge de 46 ans [18 ; 79]. 68 % de la population est créoles martiniquais et 17 % métropolitains. 85,7 % présentent des troubles somatiques (moyenne 2,2) et se répartit comme suit : 31 % problème cardiaque, 26 % endocrinologique, 16 % respiratoire, 25 % appareil locomoteur, 17 % maladie du système nerveux, 16 % appareil génito-urinaire et 28 % autres. 18 % présentent un syndrome métabolique. Nous ne retrouvons pas dans cette étude préliminaire de maladies psychiatriques prédisposantes pour développer un syndrome métabolique. Nous ne retrouvons pas non plus de lien entre l’histoire de vie traumatique avec diagnostic d’état de stress post-traumatique et la présence d’un syndrome métabolique (Chi2 et tests exact de Ficher).ConclusionsCes résultats soulignent la nécessité de sensibiliser les professionnels en psychiatrie sur la nécessité d’identifier les facteurs de risque de pathologie somatique (notamment métabolique et cardio-vasculaire) et de développer un réseau de prise en charge multidisciplinaire pour les patients hospitalisés en psychiatrie.


2013 ◽  
Vol 28 (S2) ◽  
pp. 49-49
Author(s):  
L. Christen ◽  
D. Detue ◽  
Y. Yeuillaz

Le syndrome métabolique est défini par une obésité abdominale et la présence d’au moins deux facteurs de risque parmi une hypertriglycéridémie, une diminution des HDL-cholestérol, une hypertension artérielle ou une augmentation de la glycémie à jeun (ou un diabète traité). Le syndrome métabolique augmente le risque cardiovasculaire par 1,76 [1] et le risque de voir apparaître un diabète par deux [2]. Nous avons inclus dans notre modeste étude cinquante patients qui bénéficient d’un neuroleptique d’action prolongée. Les résultats sont proches de ceux de l’étude CATIE [3]. Le syndrome métabolique est plus fréquent chez nos patients qu’en population générale. La fréquence du syndrome métabolique chez la femme de 51,6 % contre 25,1 % en population générale et chez l’homme respectivement de 36,0 % contre 19,7 %. Notre étude a permis un dépistage systématique de l’hypertension artérielle, du diabète, d’une dyslipidémie souvent asymptomatiques et surtout de proposer un traitement adéquat grâce à la participation des endocrinologues et cardiologues. Un CATTP de psychoéducation à la santé a été mis en place en complément d’un atelier de rééducation par le sport pour lutter durablement contre la sédentarité. En conclusion, le suivi somatique de nos patients est indispensable pour rapprocher leur espérance de vie à celle de la population générale. Nous constatons que l’échantillon des cas est petit, que cette étude n’apporte pas d’hypothèse à la sur-représentation du syndrome métabolique chez les patients souffrant d’une maladie psychiatrique. Par ailleurs nous observons que certains patients ont de grosses difficultés à accepter un régime alimentaire et un traitement médicamenteux supplémentaire à visée cardio protectrice. Enfin, notre étude devrait s’élargir aux nombreux patients qui bénéficient d’un antipsychotique per os.


Author(s):  
Deepa P. Rao ◽  
E. Kropac ◽  
Minh T. Do ◽  
K. C. Roberts ◽  
G. C. Jayaraman

Introduction L’excès de poids est un facteur de risque important de maladies chroniques. La collecte, l’analyse et la diffusion systématiques des tendances clés dans ce domaine sont importantes pour la surveillance de l’embonpoint et de l’obésité. Méthodologie L’excès de poids est un facteur de risque important de maladies chroniques. La collecte, l’analyse et la diffusion systématiques des tendances clés dans ce domaine sont importantes pour la surveillance de l’embonpoint et de l’obésité. Résultats Près d’un enfant ou jeune sur sept est obèse. Les taux varient en fonction de facteurs sociodémographiques comme l’âge, le sexe, le statut socioéconomique et le lieu de résidence. Dans l’ensemble, les taux d’excès de poids sont demeurés relativement stables depuis dix ans. Conclusion Faire le suivi de l’obésité juvénile fournit des renseignements utiles à la prise de mesures à long terme pour la promotion d’un poids santé.


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