scholarly journals Oncological outcomes of partial nephrectomy

2021 ◽  
Vol 8 (1) ◽  
pp. 9-12
Author(s):  
Samir Bouras ◽  

Introduction. Selon les données de l'Organisation mondiale de la santé 2018, le cancer du rein occupe en Algérie le 20eme rang chez les deux sexes. L'objectif de cette étude est d'évaluer nos résultats oncologiques de la néphrectomie partielle. Patients et méthodes. Étude rétrospective mono centrique, de juin 2012 à mars 2020. 50 patients ont bénéficié d'une néphrectomie partielle pour cancer du rein. Parmi ces patients, 37 (74%) cancer ont été confirmés par la pathologie. L'étude statistique a été réalisée à l'aide du logiciel SPSS 20. Résultats. L'âge moyen était de 55,1 ans et les femmes étaient majoritaires 23 (62,2%). Le carcinome à cellules claires prédominait : 21 cas (56,8%). Les marges chirurgicales étaient positives dans 06 cas (16,2%) et le stade pT1 était majoritaire dans 29 (78,3%). Après un suivi moyen de 55,7 mois, nous avons eu un taux de récidive global de 10,8% (04 patients). Aucun facteur de risque probable n’a été statistiquement significatif. Discussion. Nos résultats carcinologiques sont comparables aux données de la littérature (des taux de récidives jusqu’à 10,6%). Malgré un taux relativement élevé de marges chirurgicales positives, 80% des récidives sont survenus sur des marges négatives. En effet, les marges chirurgicales positives ne sont pas considérées comme un facteur de risque de récidive indépendant. Plusieurs facteurs de risque de récurrence ont été rapportés ; cependant dans cette série, nul n’a été identifié. Le cancer du rein est connu pour des récidives très tardives. Conclusion. La néphrectomie partielle est réalisée dans notre service depuis plus de 08 ans en toute sécurité, avec des résultats oncologiques satisfaisants. Mots clés : cancer du rein, néphrectomie partielle, résultats oncologiques.

2021 ◽  
Vol 11 (1) ◽  
pp. 56-68
Author(s):  
Dadé Ben Sidi Haidara

INTRODUCTION : Les infections nosocomiales représentent un véritable problème de santé publique. L’objectif de cette étude était de déterminer les principaux facteurs de risque associés aux infections des plaies opératoires à l’hôpital zone de Ouidah de 2006 à 2007. MATERIEL et METHODES : Il s’agissait d’une étude rétrospective, descriptive et analytique. Une régression logistique a été effectuée pour étudier les facteurs de risque de l’infection de la plaie opératoire. RESULTATS: Au total 521 dossiers ont été dépouillés entre 2006 à 2007. L’âge médian des opérés était de 26 ans avec un minimum de 1 an et un maximum de 90 ans. 54,7 % des opérés étaient hospitalisés dans le service de Gynéco-obstétrique. Le sexe ratio était de 2 Femmes pour un Homme. La prévalence de l’infection a été 22,8%. Le risque de survenue de l’infection de la plaie opératoire est plus élevé chez les opérés ˃60 ans (OR = 3,61 ; IC à 95% = [1,66 – 7,84]). Ce risque est plus élevé (OR = 10,78 ; IC à 95% = [5,33 – 21,79]) chez les opérés ayant séjourné plus d’une semaine en analyse multivariée. L’analyse qualitative montrait des facteurs dépendant à la fois des malades, du personnel et de l’organisation des services. CONCLUSION: La prévalence de l’infection de la plaie opératoire a été de 22, 8%. Les principaux facteurs de risques associés ont été : la durée de l’intervention chirurgicale, la durée d’hospitalisation, le rythme du pansement et la classe d’antibiotique utilisée en per opératoire. MOTS CLES: Prévalence, Infection de la plaie opératoire, facteurs associés.


2014 ◽  
Vol 29 (S3) ◽  
pp. 554-555
Author(s):  
P. Courtet

La dépression, deuxième source de handicap, constitue le principal facteur de risque de suicide. Il a été proposé à juste titre que le traitement de la dépression soit une stratégie efficace de prévention du suicide. Pourtant la dernière décennie a été marquée par les controverses sur le risque suicidaire potentiel des antidépresseurs, qui ont eu des effets néfastes sur la prise en charge des patients. Puisque les alertes sur ce risque ont été proposées à partir des résultats d’études qui n’avaient pas comme objectif de s’intéresser au processus suicidaire, nous avons réalisé une étude destinée à évaluer la survenue d’idées et de tentatives de suicide chez 4357 patients déprimés ambulatoires traités par antidépresseur et suivis 6 semaines en condition naturelles. Une idéation suicidaire est apparue de novo chez 9 % des patients qui n’en avaient pas à l’inclusion. Les critères prédictifs étaient l’aggravation de la symptomatologie anxieuse ou dépressive et l’instauration d’un nouveau traitement après échec antérieur. Deux pour cent des patients ont réalisé une TS au cours des 6 semaines de suivi. Les critères prédictifs étaient l’aggravation de la symptomatologie dépressive ou du désespoir, l’instauration d’un nouveau traitement après échec antérieur, et l’existence de mésusage d’alcool et d’antécédents de TS. Ces résultats suggèrent que le risque suicidaire en début de traitement soit lié aux facteurs de risque suicidaires, dont l’inefficacité du traitement antidépresseur. Par ailleurs, nous avons montré que l’initiation d’un traitement par non ISRS ou d’un traitement ISRS à forte dose augmente le risque d’aggravation des idées de suicide. L’ensemble de ces données, confortées par la littérature, nous indique que les médecins possèdent les outils de prévention en évaluant précisément et régulièrement la dépression et le risque suicidaire au cours du traitement antidépresseur.


2020 ◽  
Vol 54 (4) ◽  
pp. 369-380
Author(s):  
Camille Servant ◽  
Loïc Chane ◽  
Jean-Pascal Kily ◽  
Gianni Marangelli ◽  
Sarah Gebeile-Chauty

La prévalence des dysfonctions somatiques cervicales (DSC) est temporairement augmentée durant le traitement orthodontique. L’objectif de cette étude est de rechercher les facteurs prédictifs des DSC inhérents au patient et au traitement. Matériel et méthodes : Nous avons réalisé une étude rétrospective comparative sur 68 patients en cours de traitement multi-attache entre un groupe ayant développé des DSC sévères versus un groupe témoin (DSC absentes, légères à modérées). Les critères étudiés étaient la typologie verticale et la classe molaire, le disjoncteur, le ressort ouvert, les cales de surélévation, les extractions. Nous avons effectué une étude uni- et multivariée. Résultats : Les facteurs de risque pourvoyeurs de DSC sont l’hypo ou l’hyperdivergence, la classe II molaire, les cales de surélévation molaire, les ressorts ouverts. Le disjoncteur serait protecteur. Les extractions constituent un facteur non significatif. Conclusion : L’étude corrobore l’importance de la classe I molaire et de la normodivergence. Une étude complémentaire est nécessaire pour évaluer si ce sont les dispositifs de traitement ou les caractéristiques diagnostiques qu’ils traitent qui sont reliés aux DSC.


2018 ◽  
Vol 5 (1) ◽  
pp. 57-59
Author(s):  
Abdelkrim MESSAOUDI ◽  
◽  
Sofiane ZEGGANE ◽  
◽  

Les conduites suicidaires constituent un problème majeur de santé publique à travers le monde. Selon l’OMS, il s’agit de l’une des principales causes de mortalité. Nous nous sommes intéressés à l’état des lieux de ces conduites dans la wilaya de Batna, en Algérie, à travers une étude rétrospective utilisant des paramètres standardisés, pour une durée de 39 mois. Nous avons enregistré 123 cas de tentatives de suicide, une prévalence de 10,48 pour 100000 habitants ; il s’agit surtout d’adultes jeunes de sexe féminin. Le but de cette étude est de faire ressortir les facteurs de risque et de vulnérabilité pour asseoir une stratégie de prévention primaire adaptée et pertinente.


Author(s):  
Deepa Rao ◽  
Erin Kropac ◽  
Minh Do ◽  
Karen Roberts ◽  
Gayatri Jayaraman

Introduction L’obésité est un facteur de risque complexe des maladies chroniques associé à un certain nombre de déterminants socioécologiques. Ce rapport d’étape fournit un aperçu du cadre socioécologique qui guide actuellement nos efforts de suivi de l’embonpoint et de l’obésité chez les enfants. Ce cadre intègre différents facteurs de risque et de protection (facteurs sociodémographiques, liés au mode de vie, psychosociaux et en début de vie) et tient compte de l'étape de vie, des niveaux d’influence et de l'environnement au sein desquels ces facteurs jouent un rôle. Méthodologie Nous avons effectué des analyses univariées et bivariées fondées sur les données de l’Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes et de l’Enquête canadienne sur les mesures de la santé pour rendre compte des facteurs comportementaux, des facteurs psychosociaux et des facteurs en début de vie associés à un surplus de poids chez les enfants canadiens. Résultats Les estimations liées aux facteurs en début de vie (p. ex. l’allaitement), aux facteurs comportementaux (p. ex. l’activité physique) et aux facteurs psychosociaux (p. ex. le sentiment d’appartenance à la collectivité) sont présentées en fonction du groupe d’âge, du sexe, de la suffisance du revenu et du poids. Conclusion Cette étude, qui s’appuie sur notre publication récente sur les tendances en matière d’obésité chez les enfants au Canada et les facteurs sociodémographiques qui y sont associés, présente les facteurs de risque et de protection intégrés à notre cadre de surveillance. D'après notre analyse, une évaluation plus globale des déterminants associés au maintien d’un poids santé est nécessaire.


Author(s):  
M. MacPherson ◽  
M. de Groh ◽  
L. Loukine ◽  
D. Prud'homme ◽  
L. Dubois

Introduction Nous avons étudié la prévalence du syndrome métabolique (SMet) et de ses facteurs de risque ainsi que l’influence du statut socioéconomique chez les enfants et les adolescents canadiens. Méthodologie Nous avons inclus dans notre étude les 1228 répondants de l’Enquête canadienne sur les mesures de la santé, cycle 1 (2007-2009) et cycle 2 (2009-2011), âgés de 10 à 18 ans et ayant fourni un échantillon de sang à jeun. Nous avons utilisé les définitions consensuelles du SMet proposées par la Fédération internationale du diabète (FID) pour les enfants et adolescents (10 à 15 ans) et pour les adultes (16 ans et plus). Nous avons mesuré la prévalence du SMet et de ses facteurs de risque ainsi que les différences en fonction du statut socioéconomique au moyen de tests du χ2. Résultats La prévalence du SMet était de 2,1 %. Le tiers (37,7 %) des répondants présentaient au moins un facteur de risque, les plus répandus étant l’obésité abdominale (21,6 %), un faible taux de C-HDL (19,1 %) et un taux de triglycérides élevé (7,9 %). Cette combinaison d’obésité abdominale, de faible taux de C-HDL et de taux élevé de triglycérides correspondait à 61,5 % des cas de SMet. Les participants des ménages de la tranche supérieure de revenu et bénéficiant d’un niveau de scolarité élevé présentaient la plus faible prévalence d’un ou de plusieurs facteurs de risque du SMet, d’obésité abdominale et de faible taux de C-HDL. Conclusion La prévalence du SMet (2,1 %) s’est révélée inférieure à celle mesurée auparavant pour le Canada (3,5 %) et les États-Unis (4,2 % à 9,2 %), sans doute en raison de l’application stricte des critères de la FID pour l’étude du SMet. Le tiers des enfants et des adolescents canadiens présentaient au moins un facteur de risque de SMet. Comme le risque de SMet augmente avec l’âge, ces estimations de la prévalence, couplées à une prévalence nationale de l’obésité d’environ 10 % chez les jeunes, laissent entrevoir un accroissement du risque de SMet et d’autres maladies chroniques chez les jeunes Canadiens.


2020 ◽  
Vol 12 (2) ◽  
pp. 139-150

Ce travail se donne pour but de comparer les communications publicitaires faites par deux marques autour de produits similaires (le café) dans deux communautés sociolinguistiques différentes (en France et en Jordanie). La publicité a ses caractéristiques propres, liées, notamment à ses visées et à la configuration énonciative dans laquelle ce discours s’insère, caractéristiques qui, dans les cas que nous avons choisis, transcendent les communautés susnommées et constitueraient un socle général de spécificités universelles propres à ce genre discursif. Une telle uniformité pourrait également découler du phénomène de mondialisation qui englobe ce discours et les médias qui le relaient. Nous verrons par ailleurs que si les stratégies discursives déployées sont comparables, les effets sur les représentations de la marque et du produit varient et ce en adéquation avec les normes de représentations socioculturelles partagées entre les individus d’une même communauté linguistique (mais qui divergent entre les deux communautés qui nous intéressent). Un ethos de la marque se construit alors selon ces spécificités culturelles pour activer un réseau de représentations chez le récepteur-consommateur-potentiel afin de créer un sentiment de familiarité qui traduit un « effet de connivence » adapté au public constitué de consommateurs-potentiels de la communauté linguistique (speech community) ciblée. Mots-clés: scénographie énonciative, analyse du discours, discours publicitaires, représentations socioculturelles, ethos


2021 ◽  
Vol 11 (1) ◽  
pp. 81-84
Author(s):  
A Bah

Introduction : les pays en développement sont confrontés à de nombreuses difficultés dans le domaine de la santé.. Objectif : Ce travail visait à étudier la morbidité et la mortalité des enfants de 1 mois à 15 ans hospitalisés dans le service de pédiatrie de l’hôpital Nianankoro Fomba de Ségou. Matériel et Méthodes : Notre étude s’est déroulée du 1er janvier au 31 décembre 2016 dans le service de Pédiatrie de l’Hôpital Nianankoro Fomba. Il s’agissait d’une étude rétrospective, descriptive. Ont été inclus tous les enfants de 1 mois à 15 ans hospitalisés. Résultats : Nous avons inclus 862 enfants de 1 mois à 15 ans. 70,10% des patients avaient moins de 5 ans. Les garçons représentaient 60,30%. La majorité des patients (75,90%) résidaient dans le district sanitaire de Ségou. Les principaux diagnostics retrouvés étaient le paludisme (53,20%), la malnutrition aiguë sévère avec complications (17,90%) et les infections respiratoires aiguës (10,20%). Les patients guéris représentaient 86,08% et le taux de décès était de 6,61%.La majorité des patients décédés était des garçons (57,89%). Les trois principales causes de décès étaient le paludisme grave (42,10%), la malnutrition aiguë sévère avec complications (35,09%) et les sepsis sévères (7,02%) et les décès concernaient les enfants de moins de 5 ans (71,93%). Conclusion : La morbidité et la mortalité en pédiatrie restent préoccupantes dans nos structures malgré les efforts. Cependant les causes sont évitables par le changement de comportement à tous les niveaux. Mots Clés : morbidité, mortalité, enfants, Ségou.


2019 ◽  
Vol 14 (2) ◽  
pp. 2-5
Author(s):  
Moussa Salifou Diallo ◽  
Mamadou Tidiane Coulibaly ◽  
Dramane Cissé ◽  
Honore Berthé ◽  
Amadou Kassogué ◽  
...  

Objectif : Etudier les aspects épidémiologiques, cliniques et thérapeutiques des gangrènes de Fournier dans le service d'urologie du CHU du Point G à Bamako (Mali).Patients et Méthodes : Nous avons effectué une étude rétrospective transversale et descriptive de tous les patients admis pour Gangrène de Fournier et pris en charge dans le service d'urologie du C.H.U de Point G sur une période de quatre ans allant du 1er Janvier 2009 au 31 Décembre 2012. Les paramètres étudiés étaient : l'âge, le sexe, le motif de consultation, les facteurs de risque, l'étendue des lésions, les méthodes thérapeutiques utilisées et le résultat des traitements. Résultats : La fréquence de la gangrène de Fournier représentait 1,2 % des pathologies urologiques enregistrées. La moyenne d'âge était de 49 ans avec des extrêmes de 22 et 76 ans. Une cause urinaire était notée dans 26% des cas. Les germes rencontrés étaient Escherichia coli dans 26% des cas suivi de Klebsiella pneumonie et Staphylococcus aureus. La tuméfaction des organes génitaux externes a été l'expression clinique la plus fréquente dans 56 % des cas. Les lésions avaient une étendue périnéo-scrotale dans 65 % des cas. Les patients étaient traités par une triple antibiothérapie dans 87% des cas suivie d'une excision des tissus nécrotiques avec mise à plat et drainage urinaire. Conclusion: La gangrène de Fournier est une affection rare mais très grave. Une prise en charge médico-chirurgicale intensive et précoce améliore le pronostic de façon spectaculaire.


2019 ◽  
Vol 9 (3) ◽  
pp. 156-162
Author(s):  
C. Gerlier ◽  
T. Poinsat ◽  
M. Sitbon ◽  
H. Beaussier ◽  
J. Corny ◽  
...  

Introduction : Les patients hospitalisés au décours d’un passage aux urgences sont à risque d’erreur médicamenteuse. Le déploiement de l’activité de conciliation médicamenteuse à l’admission en unité d’hospitalisation de courte durée (UHCD) permet d’identifier les divergences non intentionnelles (DNI) de prescription médicamenteuse hospitalière en comparaison avec le traitement pris à domicile, puis de les corriger. L’objectif de l’étude était d’identifier les facteurs prédictifs d’erreurs de prescription médicamenteuse aux urgences, afin de mieux prioriser la conciliation médicamenteuse pour les patients admis à l’UHCD. Méthode : Nous avons mené une étude rétrospective, monocentrique et observationnelle incluant tous les patients ayant bénéficié d’une conciliation médicamenteuse à l’admission à l’UHCD pendant six mois. L’association entre les caractéristiques des patients et la survenue d’au moins une DNI a été étudiée à l’aide d’une régression logistique en ajustant sur les facteurs de confusion (analyse multivariée). Résultats : Parmi 200 patients inclus, 111 étaient concernés par la survenue d’au moins une DNI (56 %) avec une médiane de deux par patient. Les erreurs étaient principalement des omissions, en majorité pour des traitements à visée cardiovasculaire et du système nerveux central. La majorité des patients étaient exposés à un potentiel événement indésirable lié aux soins (n = 70, 63 %), mais aucun à un événement indésirable de gravité potentielle catastrophique. Dans l’analyse multivariée, la présence d’au moins cinq lignes de traitement dans l’observation médicale de l’urgentiste était très prédictive de la survenue d’au moins une DNI (OR : 1,30 ; IC 95 % : [1,15–1,26] ; p < 0,01). Cette variable concernait principalement un groupe de patients distincts d’âge supérieur ou égal à 75 ans et connus pour au moins deux comorbidités dont la majorité a été concernée par au moins une DNI (69 %). Les facteurs organisationnels propres à l’hospitalisation en situation urgente n’étaient pas prédictifs de la survenue de DNI. Conclusion : Pour le pharmacien de l’UHCD, la présence d’au moins cinq lignes de traitement dans l’observation médicale d’un patient doit être considérée comme une alerte et déclencher l’activité de conciliation médicamenteuse, en priorisant les patients âgés de plus de 75 ans et polypathologiques.


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