scholarly journals Utilisation des plantes médicinales pour prévenir et guérir les morsures de serpents : état des lieux et perspectives(synthèse bibliographique)

2021 ◽  
pp. 57-70
Author(s):  
Ayékotchami Jacques Dossou ◽  
Adandé Belarmain Fandohan

Introduction. L’envenimation ophidienne constitue un problème de santé publique, social et économique dans les régions tropicales et subtropicales. Le cout onéreux des sérums antivenimeux rend le recours à ce traitement, qui reste pourtant le seul cliniquement approuvé, inaccessible à la majorité de la population dans ces pays. Pour y faire face, les habitants de ces régions ont donc souvent recours à des plantes reconnues comme médicinales par les connaissances traditionnelles. Le présent travail se propose de faire une synthèse de l’état des connaissances aussi bien traditionnelles que scientifiques sur les morsures de serpents et les plantes anti-morsure et antivenin de serpent à travers le monde. Il vise à la constitution d’une base de données des espèces de plantes utilisées pour prévenir et guérir les morsures de serpents et à la mise en évidence de potentielles futures pistes de recherche pour une valorisation de leur potentiel pharmaceutique. Littérature. La présente revue systématique a utilisé les bases de données Agora et Google Scholar comme moteurs de recherche pour recenser, à travers des critères d’inclusion et d’exclusion bien définis, toutes les études pertinentes portant sur les morsures de serpents et les plantes utilisées pour leur prévention ou traitement. Conclusions. La quasi-totalité des cas de morsures de serpents rapportées dans la littérature scientifique provient des pays chauds et/ou du Sud. Elles y constituent une maladie négligée parce qu’elles ne font pas objet de l’attention qu’elles méritent de la part des autorités et organismes en charge de la santé publique de ces pays. Cependant, 66 espèces de plantes regroupées en 31 familles sont utilisées pour prévenir la morsure des serpents et 1 127 espèces de plantes appartenant à 176 familles le sont pour le traitement des morsures de serpents dans le monde. Bien que l’efficacité de certaines de ces plantes ait été mise scientifiquement en évidence, des études pharmacologiques approfondies doivent encore être menées pour valider leur utilisation en vue de contribuer à améliorer le bien-être des communautés, et surtout les communautés rurales des pays en voie de développement.

Author(s):  
Ieda Bezerra Chaves ◽  
Amanda Alves Fecury ◽  
Euzébio de Oliveira ◽  
Carla Viana Dendasck ◽  
Claudio Alberto Gellis de Mattos Dias

Les virus sont un être vivant qui n’est pas formé par la structure cellulaire. Les virus peuvent être transmis par contact direct avec des personnes infectées ou indirectement à partir de surfaces contaminées. Défini comme une nouvelle variété de coronavirus, le COVID 19 a fait déclarer à l’Organisation mondiale de la santé (OMS) début 2020 une crise de santé publique mondiale. Compte tenu de la haute transmissibilité de ce virus, il était nécessaire d’adopter des mesures pour prévenir la transmission et l’infection. Les symptômes causés par la COVID-19 sont habituellement de la fièvre, de la toux sèche, de l’essoufflement (dyspnée), de la fatigue (fatigue), des maux de gorge, des maux de tête et de la diarrhée. D’autres symptômes, dans une moindre mesure, sont l’anosmie (perte de l’odorat), l’hyposmie (diminution de l’odorat) et l’ageusia (perte du sens du goût). L’objectif était de passer en revue les deux dernières années sur les séquelles de la COVID 19 dans le goût et l’odorat. Une brève revue de la littérature a été menée dans des articles scientifiques sur les séquelles du COVID 19 dans le goût et l’odorat, entre 2020 et 2021, en portugais, dans la base de données de recherche Google Scholar. Les femmes et les jeunes sont les plus touchés par les séquelles du goût et de l’odorat causées par la COVID-19. Il n’existe pas de traitements spécifiques et scientifiquement prouvés aux différents dysfonctionnements, mais le plus indiqué est la pratique de l’entraînement olfactif. Les études liées aux dysfonctionnements sont limitées, principalement, au Brésil et lorsqu’elles sont analysées comme des séquelles. La continuité de la recherche scientifique est indispensable, car seul ce processus permettra d’élucider les doutes qui subsistent et de générer des traitements appropriés pour les personnes ayant développé la COVID-19.


Author(s):  
S. M. Jack ◽  
N. Catherine ◽  
A. Gonzalez ◽  
H. L. MacMillan ◽  
D. Sheehan ◽  
...  

Introduction Le Nurse-Family Partnership (NFP) est un programme de visites à domicile destiné aux nouvelles jeunes mères défavorisées sur le plan socioéconomique. Les données issues de trois essais contrôlés randomisés (ECR) américains ont solidement démontré l’efficacité des interventions quant à l’amélioration de l’issue de la grossesse, de la santé et du développement des enfants ainsi que de l’autonomie économique des mères. Cependant, l’efficacité du NFP dans le contexte canadien des services de santé et des services sociaux, qui diffère de celui des États-Unis, reste à déterminer. Cet article vise à décrire le processus complexe suivi pour adapter la recherche sur le NFP et mettre ainsi en oeuvre ce programme au Canada. Méthodologie L’évaluation menée au Canada se divise en trois étapes : 1) adaptation de l’intervention, 2) mise à l’épreuve de l’intervention dans des études de faisabilité et d’acceptabilité à petite échelle et 3) réalisation d’un ECR et d’une évaluation du processus dans le cadre de l’étude intitulée British Columbia Healthy Connections Project (BCHCP). Cette évaluation à grande échelle permettra d’enrichir la base de données probantes du NFP par la tenue d’une étude supplémentaire sur les mécanismes biologiques susceptibles de témoigner de la relation entre l’intervention et les effets sur le comportement des enfants. Résultats L’adaptation de la documentation du NFP pour les visites à domicile est un processus continu. Un projet pilote a montré la faisabilité du recrutement des femmes admissibles au NFP. Il a aussi révélé qu’il était préférable au Canada que le NFP soit mis en oeuvre par les organismes de santé publique et que les infirmières et infirmiers en santé publique (ISP) s’occupent des interventions. Enfin, il a montré que ce programme intensif de visites à domicile a bénéficié d’une réception positive de la part des clientes, des membres de leur famille et des fournisseurs de soins de santé. Les prochaines étapes – à savoir l’ECR et l’évaluation du processus – ont été entamées dans le cadre du BCHCP. Ce projet jettera les bases d’une évaluation à long terme des principaux résultats en matière de santé publique concernant des familles hautement vulnérables.


Author(s):  
R. Skinner ◽  
S. McFaull ◽  
J. Draca ◽  
M. Frechette ◽  
J. Kaur ◽  
...  

Introduction Cette étude a pour objet de décrire, à l’aide de données administratives canadiennes, les tendances et les caractéristiques des blessures auto-infligées entre 1979 et 2014-2015, afin d’orienter et d’améliorer les mesures de prévention du suicide. Méthodologie Les données sur la mortalité par suicide et sur les congés des patients ont été extraites des fonds de données de l’Agence de la santé publique du Canada (ASPC) provenant de la Base canadienne de données sur l’état civil – Décès (BCDEC-D) de Statistique Canada (1979 à 2012), du Système canadien d’information socioéconomique (CANSIM 2011, 2012), de la Base de données sur la morbidité hospitalière (BDMH, 1994- 1995 à 2010-2011) et de la Base de données sur les congés des patients (BDCP, 2011-2012 à 2014-2015). Le nombre de cas et les taux de décès et d’hospitalisation ont été répartis par sexe, tranche d’âge de 5 ans et méthode. Résultats Le taux de suicide au Canada (hommes et femmes confondus, tous âges, et taux normalisé selon l’âge et le sexe) a diminué, passant de 14,4/100 000 (n = 3 355) en 1979 à 10,4/100 000 (n = 3 926) en 2012, soit une variation annuelle en pourcentage (VAP) de –1,2 % (IC à 95 % : –1,3 à –1,0). Cependant, cette tendance n’a pas été observée chez les deux sexes : chez les femmes, les taux de suicide se sont stabilisés vers les années 1990, tandis que chez les hommes, ils ont continué de décliner au fil du temps – malgré le fait que les suicides chez les hommes constituent toujours 75,7 % de tous les suicides en 2012. La suffocation (pendaison et strangulation) était en 2012 la principale méthode de suicide (46,9 %) chez les Canadiens de tous âges, suivie de l’intoxication (23,3 %). Au cours de l’exercice 2014-2015, il y a eu 13 438 hospitalisations au Canada (à l’exclusion du Québec) associées à des blessures auto-infligées – ce qui représente plus de trois fois le nombre de suicides. Au fil du temps, les femmes ont systématiquement présenté des taux d’hospitalisation plus élevés pour des blessures auto-infligées que les hommes, soit 63 % du total. L’intoxication a été la méthode la plus fréquemment déclarée de préjudice autoinfligé au cours de l’exercice 2014-2015, constituant 86 % de toutes les hospitalisations. Conclusion Les suicides et les blessures auto-infligées demeurent un problème de santé publique grave – mais évitable – qui exige une surveillance constante.


Author(s):  
Anja Bilandzic ◽  
Songul Bozat-Emre

En 2018, le gouvernement du Manitoba a créé un système de surveillance de santé publique en matière de cannabis en prévision de la légalisation du cannabis à des fins non médicales le 17 octobre 2018. Une première évaluation a été menée pour déterminer les caractéristiques d’utilité, de flexibilité et de simplicité du système, au moyen d’une enquête en ligne auprès d’intervenants, de paramètres du site Internet, d’une analyse du système et d’entrevues. Les recommandations qui ont pu en être tirées sont la création d’un plan de communication détaillé pour les rapports de surveillance, la modification du format et de la fréquence des rapports, le maintien de relations solides avec les partenaires et la mise en place d’une base de données provinciale centralisée de surveillance de la consommation de substances et d’un système de surveillance.


Author(s):  
Xiaoquan Yao ◽  
Robin Skinner ◽  
Steven McFaull ◽  
Wendy Thompson

Les blessures demeurent un sujet de préoccupation pour la santé publique au Canada. Disposer de données nationales sur les décès attribuables à des blessures est indispensable pour comprendre l’importance et le profil des blessures. Nous avons utilisé pour cet article la base de données sur les décès des statistiques de l’état civil pour examiner les décès associés aux blessures en 2015. Nous avons réparti les blessures par cause de décès et nous avons effectué une analyse plus approfondie par catégorie de blessure en fonction du sexe et de l’âge. Les blessures non intentionnelles étaient à la sixième place des causes de décès en général, ce classement variant selon le sexe. Les principales causes de décès attribuables à des blessures non intentionnelles étaient les chutes, les empoisonnements, les accidents de la route et la suffocation, avec des variations selon les groupes d’âge.


Author(s):  
Minh T. Do ◽  
Greg Furlong ◽  
Micah Rietschlin ◽  
Matthew Leyenaar ◽  
Michael Nolan ◽  
...  

La nature de la crise des opioïdes au Canada nécessite des sources de données supplémentaires aptes à dresser un portrait plus fidèle de l’épidémie, afin de fournir aux responsables en santé publique et aux décideurs une base de données probantes solide. Les données des ambulanciers paramédicaux sont un point d’accès aux collectivités où les surdoses surviennent. Les événements préhospitaliers et les circonstances entourant les surdoses d’opioïdes offrent des occasions uniques de recueillir des données probantes pouvant contribuer à la prévention, à la réduction des méfaits et aux efforts de promotion de la santé. À l’aide de données extraites du Service paramédic d’Ottawa (SPO), cette étude de validation de principe a démontré que les données d’intervention ambulancière paramédicale étaient utiles pour obtenir des renseignements épidémiologiques en temps quasi réel (personne, heure et lieu) sur l’épidémie d’opioïdes et pour évaluer les tendances ainsi que les possibilités d’élaborer des déclencheurs d’alerte. Entre janvier et juin 2017, le SPO a répondu à une moyenne de quatre appels liés aux opioïdes par semaine. À chaque fois, 0,5 mg de naloxone ont en moyenne été administrés. Pour la période à l’étude, les tendances linéaires montrent une faible augmentation des appels, non significative (p = 0,18). Le volume d’appels a augmenté entre le 16 et le 29 avril 2017. Selon les médias locaux, ce pic dans les interventions ambulancières paramédicales est attribuable à l’arrivée de fentanyl de qualité supérieure à Ottawa. Avec une validation plus poussée, ces données paramédicales pourraient potentiellement constituer une nouvelle source de données pour la surveillance des surdoses liées aux opioïdes.


Author(s):  
José Valdeci Almeida Gitirana ◽  
Rosa Maria Batista Pinheiro da Fonseca ◽  
Fábio Marmentini Piloneto ◽  
Luis Felipe Gaia Bevilaqua ◽  
Ingrid de Assis ◽  
...  

Actuellement, les politiques publiques, les actions gouvernementales et les différents programmes impliquant l’éducation sanitaire (ES) sont mis en œuvre en faveur de la santé de la population. En ce qui concerne le thème de la ES, il s’agit d’un thème à multiples facettes, convergeant vers diverses conceptions personnelles, que ce soit dans le domaine de l’éducation ou de la santé, qui peuvent entraîner des compréhensions divergentes. En raison de la complexité du thème, le problème survient en raison du manque de compréhension de ce qui est réellement la ES face à la population, ce qui dissout l’importance de la ES pour les mesures préventives contre différentes maladies, ce qui génère un coût budgétaire élevé en santé publique. Dans ce contexte, cet article a pour question principale : comment l’éducation sanitaire peut-elle contribuer à la prévention des maladies dans la population ? L’étude visait à présenter l’ES pour la prévention des maladies (PD), en abordant ses concepts, ainsi qu’en soulignant les bases juridiques qui assurent l’ES à la population. À cette fin, l’étude a été menée par le biais d’une revue de la littérature par le site de recherche « Google Scholar », « Scielo » et « PubMed ». Par le biais des descripteurs : Éducation sanitaire; L’éducation sanitaire en tant que prévention des maladies; éducation sanitaire pour la population, où des études ont été choisies qui présentaient les ES axées sur la PD. Il est conclu que les ES sont l’éducation à la connaissance de soi et à la réflexion sur leur propre santé, ainsi que la pleine conscience que quelque chose ne va pas, attribuant la réflexion critique du sujet concernant leurs habitudes et leurs mesures préventives. Il est appliqué à travers le programme scolaire de l’école primaire ainsi que par les programmes gouvernementaux dans les centres de santé, afin d’éduquer la société à sensibiliser aux mesures préventives et à promouvoir une meilleure qualité de vie, empêchant ainsi la propagation des maladies.


Author(s):  
Jennifer Crain ◽  
Steven McFaull ◽  
Deepa Rao ◽  
Minh Do ◽  
Wendy Thompson

Introduction Bien que les taux de mortalité et d’hospitalisation associés à des brûlures au Canada aient diminué avec le temps1,2 des cas moins graves se présentent encore couramment aux services d’urgence. Methods Le Système canadien hospitalier d’information et de recherche en prévention des traumatismes (SCHIRPT), un système de surveillance des blessures et des empoisonnements administré par l’Agence de la santé publique du Canada, est en place dans les services d’urgence de 17 hôpitaux3. Nous avons fait des recherches dans la base de données électronique du SCHIRPT (eSCHIRPT) afin de connaître le nombre de personnes de tous âges s’étant présentées aux urgences après avoir subi des brûlures thermiques ou des échaudures en 2013. Les brûlures causées par la friction, par des agents chimiques ou caustiques ou par un contact direct avec la foudre ont été exclues parce qu’il s’agit de circonstances exceptionnelles. Results Au total, 1 682 cas ont été recensés, soit 1,2 % (1 682 sur 137 245; 1 226 pour 100 000 cas dans l’eSCHIRPT) des blessures déclarées en 2013. La moitié étaient des échaudures (52,3 %; 879 sur 1 682) et 29,9 % (503 sur 1 682) résultaient d’un contact avec un objet brûlant. Les deux principales causes d’échaudures étaient es boissons chaudes et l’eau chaude (excluant celle du robinet), avec respectivement 34,1 % (292 sur 856; information manquante dans 23 cas) et 28,9 % (247 sur 856; information manquante dans 23 cas) des cas. Les deux principales causes directes de brûlures par contact étaient les cuisinières et fours (22,0 %; 109 sur 495; information manquante dans 8 cas) et les foyers et leurs accessoires (19,6 %; 97 sur 495; information manquante dans 8 cas). Dans l’ensemble, 13,0 % des cas (218 sur 1 682) étaient assez graves pour nécessiter une hospitalisation, et la plus forte proportion d’hospitalisations a été enregistrée parmi les personnes exposées à un incendie, à des flammes ou à de la fumée, soit 38,9 % (72 sur 185). Si la proportion globale de brûlures était plus élevée chez les femmes, la proportion de brûlures autres que par échaudures était plus élevée chez les hommes.


2021 ◽  
Vol 47 (11) ◽  
pp. 517-524
Author(s):  
Megan Striha ◽  
Rojiemiahd Edjoc ◽  
Natalie Bresee ◽  
Nicole Atchessi ◽  
Lisa Waddell ◽  
...  

Contexte : Le syndrome inflammatoire multisystémique chez les enfants (MIS-C) associé à la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19) est une affection émergente qui a été identifiée pour la première fois en pédiatrie au début de la pandémie de COVID-19. Cette affection est également connue sous le nom de syndrome pédiatrique inflammatoire multisystémique associé temporairement au syndrome respiratoire aigu sévère à coronavirus 2 (SIMP-TS ou SIMP), et de multiples définitions ont été établies pour cette affection qui présente des caractéristiques communes avec la maladie de Kawasaki et le syndrome de choc toxique. Méthodes : Une revue a été menée pour déterminer la littérature décrivant l’épidémiologie du MIS-C, publiée jusqu’au 9 mars 2021. Une base de données établie à l’Agence de la santé publique du Canada avec la littérature sur la COVID-19 a été consultée pour obtenir des articles faisant référence à MIS-C, SIMP ou la maladie de Kawasaki en relation avec la COVID-19. Résultats : Au total, 195 articles sur 988 ont été inclus dans la revue. L’âge médian des patients atteints du MIS-C se situait entre sept et dix ans, bien que des enfants de tous âges (et des adultes) puissent être touchés. Le syndrome inflammatoire multisystémique chez les enfants touche de manière disproportionnée les garçons (58 % des patients), et les enfants noirs et hispaniques semblent présenter un risque élevé de développer le MIS-C. Environ 62 % des patients atteints du MIS-C ont dû être admis dans une unité de soins intensifs, un patient sur cinq nécessitant une ventilation mécanique. Entre 0 et 2 % des patients atteints du MIS-C sont décédés, selon la population et les interventions disponibles. Conclusion : Le syndrome inflammatoire multisystémique chez les enfants peut toucher des enfants de tous âges. Une proportion importante de patients a nécessité une admission à l’unité de soins intensifs et une ventilation mécanique et 0 à 2 % des cas ont été fatals. Il est nécessaire de disposer de plus de données sur le rôle de la race, de l’ethnicité et des comorbidités dans le développement du MIS-C.


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