Anterior and middle skull base meningiomas: experience from a sub-Saharan country of a series of 56 cases

2021 ◽  
Vol 18 (2) ◽  
pp. 30-35
Author(s):  
Mohameth Faye ◽  
Alioune Badara Thiam ◽  
Louncény Fatoumata Barry ◽  
Elhadj Cheikh Ndiaye Sy ◽  
Attoumane Fahad ◽  
...  

Introduction : Les méningiomes de la base du crâne représentent 25% de tous les méningiomes. La plupart du temps à croissance lente, le défi réside dans leur relation avec le cercle de Willis et les nerfs crâniens. L'objectif de notre étude était de rapporter et d'évaluer la prise en charge des méningiomes de la fosse crânienne antérieure et moyenne en milieu sub-saharien. Méthodes : Une série de 56 patients hospitalisés pour méningiomes de la fosse crânienne antérieure et moyenne dans notre service a été rétrospectivement revue et analysée, de janvier 2012 à décembre 2018.  Résultats : Les méningiomes de la fosse crânienne antérieurs et moyens représentaient 32,7% des méningiomes intracrâniens de notre service. L'âge moyen était de 50,5 ans et le sex-ratio de 0,3. Les manifestations cliniques étaient dominées par les troubles visuels (57,1%) et l'hypertension intracrânienne (26,8%). La taille moyenne de la tumeur était de 54,3 mm. L'approche ptérionnelle a été utilisée sur 94,6% des patients. La qualité de la résection était de SIMPSON grade II dans 71,4% des cas. La mortalité postopératoire était de 14,2%. La pathologie était de grade I dans 91,1% des cas. Dans un suivi de 3 ans, nous avons noté une guérison complète dans 67,8% des cas. Nous avons eu deux cas de récidive. Conclusion : Les méningiomes sont la tumeur la plus courante de la fosse crânienne antérieure et moyenne dans notre établissement. L'excision microchirurgicale était le seul traitement réalisé. Une guérison complète sans séquelle a été observée dans 67,8% des cas. L'amélioration de l'instrumentation et des soins neuro-intensifs a permis de réduire la mortalité et la morbidité, mais des efforts restent à faire, notamment dans le développement de traitements complémentaires.

2021 ◽  
Author(s):  
Sukwoo Hong ◽  
Kengo Sato ◽  
Kenji Kagawa ◽  
Shunsuke Ichi

Abstract Few reports exist demonstrating the effects of CyberKnife radiotherapy (CKRT) on the central skull base meningiomas (CSMs). Retrospective analysis of 113 patients were performed. The median age was 62 (IQR 50 – 72) years old, and 78 patients (69%) were female. Upfront CKRT was performed in 41 (36%), where 17 (15%) patients were asymptomatic. The other CKRT was for postoperative adjuvant therapy in 32 (28%), and for the recurrent or relapsed tumors in 40 (35%) patients. Previous operation was done in 74 patients (66%). Among the available pathology in 46 patients, 37 (80%) were WHO grade I, 8 (17%) were grade II, and 1 (2%) were grade III. The median prescribed dose covered 95% of the planning target volume was 2500 (IQR 2100 – 2500) cGy and the median target volume was 9.5 (IQR 3.9 – 16.9) cm3. The median PFS was 48 (IQR 23 – 73) months and 84% and 78% were free of tumor progression at five, and 10 years respectively. The median follow-up was 49 (IQR 28 – 83) months. PFS was better in grade I than grade II (p = 0.02). No other baseline factors including the history of previous operation was associated with PD or PFS. Adverse events of radiation therapy were radiation- induced optic neuropathy (0.9%), and cerebral edema (4.4%). Asymptomatic cavernous carotid stenosis was found in three (2.7%), five (4.4%) underwent ventriculoperitoneal shunt placement for normal pressure hydrocephalus, and five (4.4%) died. CKRT is useful for the management of CSMs with low rate of adverse events.


2019 ◽  
Vol 3 (2) ◽  
Author(s):  
Barka Bedrane Zahira ◽  
Karima Sifi ◽  
Yamina Bouchedjera ◽  
Khalida Boudaoud ◽  
Zekri Salima ◽  
...  

Introduction - La thrombose veineuse cérébrale est une affection rare liée à une occlusion isolée des sinus duraux ou à une occlusion des veines corticales. Elle se caractérise par un polymorphisme clinique et radiologique. Notre étude a pour objectifs de décrire les caractéristiques cliniques et radiologiques, d’identifier les différentes étiologies, et d’apprécier le profil évolutif de la thrombose veineuse cérébrale au CHU de Tlemcen. Méthodes - Il s’agit d’une étude descriptive effectuée entre Avril 2016 et avril 2018. Nous avons colligé 96 patients, âgés de plus de 18 ans, pour lesquels nous avons étudié les paramètres épidémiologiques, cliniques, paracliniques et évolutifs. Résultats - L’âge moyen était de 36,65 ± 6,1 ans avec une prédominance féminine (sex-ratio homme/femme = 0,1). La présentation clinique était subaiguë dans 74% des cas. Le syndrome d’hypertension intracrânienne était le plus fréquent (75,6%). Le siège principal du thrombus veineux était le sinus sagittal supérieur (45%). Un infarctus veineux hémorragique était retrouvé dans 74% au scanner cérébral. Les étiologies étaient multiples, dominées par le post-partum (37,5%). L’évolution était favorable dans 75% des cas. Conclusion - la thrombose veineuse cérébrale est une affection relativement fréquente à Tlemcen et constitue un groupe étiologique non négligeable des maladies thrombotiques nécessitant un diagnostic précoce et une prise en charge en urgence.


2018 ◽  
Vol 80 (05) ◽  
pp. 474-479
Author(s):  
Shinya Ichimura ◽  
Takeshi Kawase

AbstractWe reviewed the medical records of 392 patients who underwent initial surgery for skull base meningiomas between 1983 and 2008. Among them, 32 (8.2%) showed tumor recurrence. Risk factors for recurrence were analyzed clinically and biologically. Recurrent cases were treated with radiotherapy, surgery, or both. In reoperation cases, pathological and biological changes were analyzed and compared between groups with or without radiotherapy. The recurrence rate was statistically high in cases of partial tumor removal and in patients with tumor in the cavernous sinus, tumors with histological WHO (World Health Organization) grade ≥ II or MIB-1 index > 3. The local control rate of postoperative radiotherapy for recurrent cases was 66.7%. Malignant transformation and MIB-1 index elevation was observed more frequently in patients who underwent reoperation after radiotherapy than in the reoperation-only group. Risk factors for recurrence of skull base meningiomas are as follows: (1) partial tumor removal, (2) tumor in the cavernous sinus, (3) histological WHO grade ≥ II, or (4) MIB-1 index > 3. Postoperative radiotherapy might be effective for tumor recurrence. However, the indications for radiotherapy should be carefully considered because postsurgical radiotherapy may increase biological activity, inducing malignant transformation.


Author(s):  
O Diawara ◽  
B Ba ◽  
A Niang ◽  
M Kouyate ◽  
M Kouyate ◽  
...  

Objectif : L'objectif de cette étude était d'étudier les connaissances, les attitudes, et les pratiques sur les infections buccodentaires des élèves de trois écoles coraniques de Koutiala. Matériel et méthodes : Nous avons réalisé une étude prospective de type  descriptif qui a duré six mois allant du 20 Février au 20 Août 2015 sur 300 élèves  de trois écoles coraniques de la ville de  Koutiala. Les données ont été recueillies à partir des fiches d'enquêtes, saisies et analysées avec le logiciel Epi Info 3.5.4.Résultats : Le sexe masculin a été le plus représenté avec 57,67%. Le sex ratio = 0,73. La tranche d'âge la plus représentée était celle de 8 – 12 ans avec 52% avec un âge moyen  de 17 ans  et des extrêmes  de 8 et 26 ans. Dans notre étude 98,33% des élèves avaient une notion de connaissance sur les infections bucco-dentaires et ces informations étaient données par les parents/ainés dans  60% des cas. Les élèves définissaient la carie comme étant une sorte de cancer ou maladie contagieuse dans 60%des cas.  Ils affirmaient que les personnes qui ne se brossaient pas correctement les dents étaient les plus susceptibles de faire la carie dans  93,33% des cas. Dans notre étude 61,33% des élèves disaient que la carie se transmet par le manque d'hygiène buccodentaire (HBD) ; 33,33% des élèves disaient que l'utilisation des brosses à dent + bonne HBD sont les moyens de lutte contre les infections buccodentaires. Les élèves dans  66,67 % des cas conseillaient à leur ami d'aller lui-même au centre de santé et ils pensaient dans 93,33% des cas qu'une bonne HBD prévient les infections  buccodentaires. Les élèves disaient se brosser les dents tous les jours dans 98% des cas et ils avaient fait une consultation chez le chirurgien dentiste dans 8,67% des cas. Conclusion : Cette étude montre que les élèves avaient une connaissance sur les infections  buccodentaires, les causes et les préventions contre les maladies buccodentaires. Des efforts doivent être fournis en matière de promotion, de prévention, de dépistage et de prise en charge des infections en milieu scolaire et universitaire sans oublier les écoles coraniques tout en intégrant les parents d'élèves dans les processus


2020 ◽  
pp. 1-9
Author(s):  
Colin J. Przybylowski ◽  
Benjamin K. Hendricks ◽  
Fabio A. Frisoli ◽  
Xiaochun Zhao ◽  
Claudio Cavallo ◽  
...  

OBJECTIVERecently, the prognostic value of the Simpson resection grading scale has been called into question for modern meningioma surgery. In this study, the authors analyzed the relationship between Simpson resection grade and meningioma recurrence in their institutional experience.METHODSThis study is a retrospective review of all patients who underwent resection of a WHO grade I intracranial meningioma at the authors’ institution from 2007 to 2017. Binary logistic regression analysis was used to assess for predictors of Simpson grade IV resection and postoperative neurological morbidity. Cox multivariate analysis was used to assess for predictors of tumor recurrence. Kaplan-Meier analysis and log-rank tests were used to assess and compare recurrence-free survival (RFS) of Simpson resection grades, respectively.RESULTSA total of 492 patients with evaluable data were included for analysis, including 394 women (80.1%) and 98 men (19.9%) with a mean (SD) age of 58.7 (12.8) years. The tumors were most commonly located at the skull base (n = 302; 61.4%) or the convexity/parasagittal region (n = 139; 28.3%). The median (IQR) tumor volume was 6.8 (14.3) cm3. Simpson grade I, II, III, or IV resection was achieved in 105 (21.3%), 155 (31.5%), 52 (10.6%), and 180 (36.6%) patients, respectively. Sixty-three of 180 patients (35.0%) with Simpson grade IV resection were treated with adjuvant radiosurgery. In the multivariate analysis, increasing largest tumor dimension (p < 0.01) and sinus invasion (p < 0.01) predicted Simpson grade IV resection, whereas skull base location predicted neurological morbidity (p = 0.02). Tumor recurrence occurred in 63 patients (12.8%) at a median (IQR) of 36 (40.3) months from surgery. Simpson grade I resection resulted in superior RFS compared with Simpson grade II resection (p = 0.02), Simpson grade III resection (p = 0.01), and Simpson grade IV resection with adjuvant radiosurgery (p = 0.01) or without adjuvant radiosurgery (p < 0.01). In the multivariate analysis, Simpson grade I resection was independently associated with no tumor recurrence (p = 0.04). Simpson grade II and III resections resulted in superior RFS compared with Simpson grade IV resection without adjuvant radiosurgery (p < 0.01) but similar RFS compared with Simpson grade IV resection with adjuvant radiosurgery (p = 0.82). Simpson grade IV resection with adjuvant radiosurgery resulted in superior RFS compared with Simpson grade IV resection without adjuvant radiosurgery (p < 0.01).CONCLUSIONSThe Simpson resection grading scale continues to hold substantial prognostic value in the modern neurosurgical era. When feasible, Simpson grade I resection should remain the goal of intracranial meningioma surgery. Simpson grade IV resection with adjuvant radiosurgery resulted in similar RFS compared with Simpson grade II and III resections.


Author(s):  
Narindra Njarasoa Mihaja Razafimanjato ◽  
◽  
Manjakaniaina Ravoatrarilandy ◽  
Herilala Ralijaona ◽  
Andriarimanana Hery Nirina Rakotoarisoa ◽  
...  

Objectif : Déterminer les aspects chirurgicaux et la prise en charge des goitres plongeants au CHU de Tananarive, Madagascar. Matériels et méthode : Etude rétrospective étalée sur une durée de 5 ans, sur des patients ayant bénéficié d’une thyroïdectomie totale (geste radical en un temps) ou une totalisation pour goitre plongeant. Les données étaient obtenues à partir de dossiers cliniques (observation, résultats d’examens complémentaires), de comptes rendus opératoires, et de résultats d’examen anatomopathologique. Résultats : Nous avons étudié 58 patients âgés de 20 à 80 ans avec un pic de 50 à 60 ans, une nette prédominance féminine avec un sex-ratio de 0,31. Les signes cliniques étaient surtout l’augmentation du volume cervical (37 cas), des signes respiratoires (27 cas), la dysphonie (18 cas), la dysphagie (12 cas). La radiographie du thorax mettait en évidence des signes indirects en faveur du diagnostic dans 55 cas (soit 94.83 %). L’échographie cervicale confirmait le caractère plongeant des goitres dans 42 cas (soit 72,41%). La TDM, l’examen de référence, apportait plus de précision à nos chirurgiens dans 16 cas (soit 27,58%). Les 81,03 % (soit n= 47) de nos patients étaient en euthyroïdie au moment du diagnostic. Dans 68,95% des cas, la cervicotomie large suffit à l’exérèse chirurgicale. L’indication de la sternotomie reste limitée aux complications hémor-ragiques peropératoires et les curages médiastinaux dans les cancers invasifs. Les morbidités récurrentielles transitoires et définitives sont de 20, 64 % et de 10,38 % respectivement. Les tumeurs malignes représentaient 16 cas soit 27,58 % des pièces opératoires. Nous déplorons 5 cas de décès post opératoire précoce dans notre étude. Conclusion : Evoquer et confirmer un diagnostic sur la clinique, aidé d’une simple radiographie standard, est un défi pour un praticien, mais reste un contexte réellement observé dans la majorité des cas de cette série. Nous démontrons à travers cette étude la réalité existante des chirurgiens thoraciques en milieu hostile dans la prise en charge de cette pathologie en comparant nos résultats à ceux de la littérature.


2019 ◽  
Vol 3 (1) ◽  
Author(s):  
Nadia LAREDJ ◽  
Farouk BOUKERCHE ◽  
Lilia ZOULI ◽  
Leila HAMMOU

Introduction - Les cardiopathies valvulaires demeurent fréquentes malgré l’améliorationdes conditions sanitaires qui ont permis la réduction de l’incidence du rhumatismearticulaire aigu (RAA). Les indications chirurgicales et interventionnellesse sont élargies et nous opérons aujourd’hui à des stades précoces voire asymptomatiques.Une réintervention chirurgicale valvulaire est nécessaire dans environ15% des cas au cours de l’évolution d’une valvulopathie opérée. L’objectif de notreétude est de déterminer la fréquence des réinterventions valvulaires et d’identifierles principales indications de ces réinterventions.Méthodes - Il s’agit d’une étude rétrospective descriptive, portant sur 45 patients,admis au service de cardiologie du Centre Hospitalo-Universitaire (CHU) d’Oran, dejanvier 2011 à juillet 2013, et présentant une valvulopathie déjà opérée nécessitantune autre réintervention chirurgicale valvulaire.Résultats - La moyenne d’âge est de 41 ans, 73% des patients sont des femmes et27% des hommes (Sex ratio de 0,37). La plupart de nos patients sont symptomatiques(dyspnée stade II de la NYHA). Les réinterventions intéressent la valve mitraledans 69% des cas, la valve aortique dans 37% des cas et la valve tricuspide dans35%. Nous avons constaté l’importance des insuffisances aortiques et tricuspidesnégligées lors de la première intervention (31% et 62% respectivement). Le délaimoyen entre les deux interventions, tout type confondu, est de 21 ans.Conclusion - Les réinterventions cardiaques peuvent survenir au cours de l’évolutiond’une valvulopathie. Une bonne évaluation cardiaque initiale des valvulopathieslors d’une chirurgie portant sur la valve mitrale ou aortique est indispensablepour pallier au problème d’une réintervention pour des valvulopathies négligées.


2017 ◽  
Vol 78 (04) ◽  
pp. 308-314 ◽  
Author(s):  
Masaya Nagaishi ◽  
Yoshiyuki Matsumoto ◽  
Yoshiko Fujii ◽  
Yuki Inoue ◽  
Yoshiki Sugiura ◽  
...  

AbstractThe results of preoperative embolization for skull base meningiomas were retrospectively evaluated to confirm the efficacy of this procedure. Skull base meningiomas that were treated with preoperative embolization were evaluated in 20 patients. The occluded arteries, embolic materials, treatment time, excision rate, neurologic manifestations, and complications were analyzed. The embolic material was 80% liquid, 30% coils, and 15% particles. The surgery was normally completed within 3 to 5 hours. Blood loss was normally approximately 250 mL, excluding four patients having the following conditions: malignant meningioma, a large tumor located on the medial side of the sphenoidal ridge, the petroclival tumor, and infiltrated tumor into the sigmoid sinus. The mean excision rate was 90%, achieving a Simpson grade III, but 10% were graded as Simpson grade IV. No permanent complications due to the preoperative embolization occurred. No neurologic symptoms occurred after excision. Current cerebral endovascular treatment is sophisticated, and the complication rate has markedly decreased. Although it was impossible to compare directly with or without operative embolization, preoperative embolization should be actively used as part of the treatment for this benign tumor, with better understanding of dangerous anastomosis.


2019 ◽  
Vol 9 (1) ◽  
pp. 106
Author(s):  
Yuki Kuranari ◽  
Ryota Tamura ◽  
Noboru Tsuda ◽  
Kenzo Kosugi ◽  
Yukina Morimoto ◽  
...  

Skull base meningiomas (SBMs) are considered to be less aggressive and have a slower growth rate than non-SBMs. However, SBMs often develop local recurrences after surgical resection. Gross total removal is difficult because SBMs are deep-seated tumors and involve critical neurovascular structures. The treatment strategy for recurrent SBMs remains controversial. The present study aimed to evaluate the long-term clinical course and prognostic factors associated with shorter progression-free survival (PFS) of recurrent SBMs. This retrospective study included 85 recurrent SBMs from 65 patients who underwent surgery from January 2005 to September 2018. Overall survival (OS) and PFS were evaluated, and the associations among shorter PFS and age, sex, tumor size, lesions, World Health Organization (WHO) grading, removal rate, and time since prior surgery were analyzed. The median follow-up period for PFS was 68 months. The 2-, 5-, and 10-year PFS rates were 68.0%, 52.8%, and 22.7%, respectively. WHO grade II or III, multiple lesions, and tumor size were significantly associated with shorter PFS (p < 0.0001, p = 0.030, and p = 0.173, respectively). Although, radiotherapy did not improve PFS and OS for overall patients, PFS of the patients with subtotal and partial removal for WHO grade II SBMs was significantly improved by the radiotherapy. Multivariate analysis identified WHO grade II or III and multiple lesions as independent prognostic factors for shorter PFS (p < 0.0001 and p = 0.040, respectively). It is essential to estimate the risks associated with shorter PFS for patients with recurrent SBMs to aid in the development of appropriate postoperative strategies.


Sign in / Sign up

Export Citation Format

Share Document