Stylistique et sémiotique tensive : Convergences et divergences

Semiotica ◽  
2017 ◽  
Vol 2017 (219) ◽  
pp. 239-256
Author(s):  
Raul Dorra ◽  
Blanca Alberta Rodriguez
Keyword(s):  

RésuméÀ partir de De l’imperfection et deSémiotique des passions (1991), la sémiotique a opéré un tournant vers la reconnaissance du sensible comme fondement de la signification. Suivant cette voie, la sémiotique tensive s’est développée en enrichissant la théorie générale. De leur côté, en étudiant il y a plus d’un siècle la qualité expressive de l’œuvre littéraire, les philologues Amado Alonso et Dámaso Alonso – représentants de la stylistique espagnole – ont posé tôt pour la tradition hispanique le problème de l’affectivité dans le langage. Leurs travaux reprennent l’interprétation par l’école allemande de la stylistique de Bally. Notre article propose de faire un contrepoint entre la perspective de la sémiotique tensive et celle de la stylistique espagnole. Cette entreprise exige de reconnaître les divergences épistémologiques, mais surtout – suivant notre propos – de suggérer des points de rencontre et des visions complémentaires. Tandis que pour la sémiotique tensive l’affectivité est prise en charge par le plan du contenu, pour la stylistique elle se manifeste dans ce qui pour Dámaso Alonso serait – en élargissant la définition de Saussure – le signifiant à proprement parler: l’image acoustique réalisée dans sa matérialité sonore. De sorte que, dans l’échange entre ces deux perspectives disciplinaires, les trouvailles méthodologiques de l’une pourraient être utiles à l’autre, dans la mesure où toutes deux ont en partage l’intérêt pour la manière dont l’affectivité s’exprime.

2019 ◽  
Vol 3 (3) ◽  
pp. 136
Author(s):  
Francielli Cristina Giacomini

Lorsqu'on parle de l'autisme on est vite confronté à la question du langage et de l'absence de la parole. Comment peut-on s'en passer sans la voie traditionnel du symbolique ? L'abord plus raisonnable serait d'effectuer une recherche à ce propos étudiant les raisons de cette absence, de ce « déficit » qui cause de différents dysfonctionnements à niveau social, de l'apprentissage, etc. réfléchissant sur des méthodes de la prise en charge de l'autiste qui donneraient de réponses à ce vide. Toutefois, nous avons pris le contresens de direction. Notre abord théorique est justement étudier deux méthodes clinique et clinic-éducationnelle de prise en charge de l'autiste développé par Lacan et Deligny qui ne travaillent pas sur le manque ou sur le défaut du langage mais ils prennent la réponse donné par le corps lui-même comme façon d'établir un bord qui permet un certain équilibre dans le monde chaotique de l'autiste. Pourquoi le corps est-il en premier plan dans notre recherche ? Par absence de parole et non du langage, c'est le corps de l'autiste qui permet d'établir un lien avec le monde extérieur. Notre recherche a pour objectif mener une étude sur le corps dans l'autisme dans l'approche clinique en sciences de l'éducation à partir des théories de Jacques Lacan et de Fernand Deligny. Cette démarche est donc d'examiner un sujet qui a été très peu exploité et qui n'a jamais été affronté directement ni systématisé, rendant notre recherche inédite. Cette recherche, qui s'inscrit dans une démarche qualitative, est organisée selon un double enjeu : d'un côté l'enjeu théorique développant les concepts apportés par la DSM et les lois concernant la prise en charge de l'autisme dans la sphère médicale et éducationnelle ; et également l'apport psychanalytique de Jacques Lacan concernant la constitution du corps chez l'autiste et ses modes de traitements aussi bien que les méthodes innovatrices de prise en charge clinic-éducationnelle de Fernand Deligny. De l'autre côté l'enjeu empirique : en France, nous nous proposons d'accompagner le travail clinique d'orientation lacanienne fait avec les autistes dans l'Association Main à l'Oreille tandis qu'au Brésil au sein d'une institution éducationnelle nous allons réfléchir à l'application des méthodes de la cartographie et lignes d'erre proposées par Deligny. Notre objectif est de réfléchir la prise en charge de l'autisme comme un moyen de révéler un langage là où il y a vacance de la parole. Les résultats partiels qui nous avons pu repérer c'est qu'il n'y a pas de méthode unique d'apprentissage, ni de recette, ni de routine possibles appliquée à l'autisme parce que dans le monde auquel il vit, le symbolique est réel et l'imaginaire ne trouve pas forme dans la relation spéculaire. Par conséquent, les meilleures inventions qui se révèlent les plus solides pour (mieux) répondre à la souffrance de l'autiste sont celles du sujet lui-même.


2015 ◽  
Vol 30 (S2) ◽  
pp. S74-S74 ◽  
Author(s):  
Y. Bubien

L’hôpital de demain sera 2,0 ou ne sera pas. Derrière ce constat prospectif et déterminé, il y a une réalité indéniable prenant ses racines dès à présent : la santé est déjà connectée et elle le restera. À l’heure des objets connectés, des patients connectés, des prémices de la médecine 2,0 et du big data, il faut dès aujourd’hui nous préparer à repenser nos façons de « panser ». Montres, bracelets, smartphones, balances, fourchettes, piluliers, vêtements ou même brosses à dents, pour chaque instant de votre journée, il y a un objet de santé connecté. Les objets de santé connectés sont en passe de révolutionner le quotidien mais aussi bientôt la conception du soin. Ainsi, d’après un sondage publié par l’institut Odoxa, 81 % des médecins estiment que « la santé connectée est une opportunité pour la qualité des soins » et 91 % jugent qu’elle est « une opportunité pour améliorer la prévention » des maladies. L’enjeu pour l’hôpital de demain est de s’adapter aux changements sociologiques de notre époque. La révolution numérique qui « digitalise » les modes d’interaction entre les patients et les établissements de santé (facebook, twitter, les objets connectés…) ne doit pas faire peur. Bien au contraire, elle doit être une opportunité pour adopter de nouveaux modèles de prise en charge sans doute moins unilatéraux et plus coopératifs. Ces nouvelles organisations devront être capables de mettre à profit les informations recueillies pour le médecin, mais aussi de pouvoir réceptionner de façon sécurisée et adaptée les données d’objets de santé connectés, en dehors de son enceinte. Le marché des big data est aujourd’hui dominé par les grands groupes américains comme google, par les mathématiciens, les informaticiens, les financiers. C’est aux hospitaliers et surtout aux médecins de reprendre la main pour façonner l’hôpital de demain à leur image, au service des patients et des citoyens.


Author(s):  
Martine Bungener

L’hospitalisation à domicile des malades souffrant du sida avéré révèle les capacités extrêmes des soins profanes (par opposition aux soins professionnels) que peuvent produire les malades et leurs proches. Ils tentent ainsi de repousser les limites économiques et médicales de ce mode de prise en charge afin de réduire leur recours à l’hospitalisation traditionnelle. Alors que la prise en charge profane, familiale et extra-familiale de la maladie préexistait il y a encore un demi-siècle à l’offre de services collectifs financés par l’assurance-maladie, elle est aujourd’hui réhabilitée. La structure hospitalière dans sa forme actuelle n’est en effet plus adaptée aux prises en charge de longue durée.


2019 ◽  
Vol 65 (2) ◽  
pp. 136-141
Author(s):  
Mélanie Lapalme ◽  
Karine Forget ◽  
Yann Le Corff ◽  
Gilles Côté

Objectif: Il y a des différences importantes quant à la fréquence et au type de délit commis par les personnes atteintes de troubles mentaux graves (TMG), selon que leurs comportements antisociaux ont débuté en bas âge ou à l’âge adulte. Cependant, les personnes ayant manifesté des comportements antisociaux précoces ne forment pas un groupe homogène. La présente étude a pour objectif de vérifier si la précocité des comportements antisociaux peut expliquer cette hétérogénéité. Méthode: 137 hommes atteints d’un TMG sous trois statuts légaux distincts ont été recrutés. Ils ont été séparés en 3 groupes selon la précocité des comportements antisociaux. Résultats: Les participants du groupe enfance commettent plus de délits violents et sont plus nombreux à présenter un trouble de l’usage de drogues que ceux du groupe adulte. Le groupe adolescence se distingue du groupe adulte par une fréquence plus élevée de trouble de l’usage d’alcool. Aucune différence ne s’avère significative entre les groupes enfance et adolescence, mais la plupart des délits rapportés sont plus nombreux dans le groupe enfance. Conclusions: Les résultats suggèrent que l’âge d’apparition des comportements antisociaux devrait être pris en compte dans l’évaluation du risque et la prise en charge des personnes atteintes d’un TMG.


2021 ◽  
Author(s):  
N. Kerckhove ◽  
A. Corteval ◽  
A. Eschalier

Cet article est un état des lieux des publications ayant évalué l’utilisation et l’impact de la e-santé chez des patients souffrant de douleur chronique. Nous avons évalué les text-message, les carnets électroniques et les applications mobiles. Enfin, les limites et défis futurs de l’intégration de la e-santé dans la prise en charge des douleurs chroniques sont discutés. En conclusion, l’intégration de la e-santé est prometteuse pour la prise en charge des patients, mais il y a une nécessité d’effectuer des études rigoureuses pour valider le réel bénéfice apporté.


2021 ◽  
Vol 15 (3) ◽  
pp. 81-84
Author(s):  
J. Le Fel ◽  
J. Perret ◽  
C. Thery

La prise en charge du cancer et sa perspective potentiellement palliative modifient profondément l’état psychique du patient, dans son rapport au temps, son adaptation, ses défenses et dans son rapport à la réalité de la mort et ses bouleversements. Dans cette période de turbulence, il n’est pas rare que le patient, les proches et les soignants ne se retrouvent pas sur le même temps d’élaboration autour de la mort à venir et des changements physiques et/ou psychiques qui accompagnent cette période de vie. La situation de notre patiente est l’illustration des fluctuations de la vie psychique et des mécanismes de défense patient/soignant/proche vers l’acheminement de la fin de vie et de la mort.


2013 ◽  
Vol 28 (S2) ◽  
pp. 104-104
Author(s):  
C. Lameira ◽  
H. Javelot

Mme S. est traitée depuis quatre ans pour un trouble anxiodépressif. La prise en charge médicamenteuse dans notre établissement, débutée il y a presque deux ans, intègre la mirtazapine (15 mg/j) et le prazépam (20 mg/j). La patiente ne présente aucune allergie connue dans ses antécédents. Il y a un an et demi, une première prescription d’agomélatine (25 mg/j) est faite par un médecin généraliste. Mme S. émet régulièrement des plaintes somatiques et psychologiques multiples. Cependant, elle décrit la majoration de douleurs diffuses suite à l’introduction de ce nouvel antidépresseur. La patiente se voit alors de nouveau prescrire son traitement antérieur, à savoir la mirtazapine, toujours associée au prazépam, aux mêmes posologies. Il y a environ six mois, Mme S. présente une recrudescence anxieuse qui amène son médecin traitant à lui prescrire de l’étifoxine (150 mg/j), puis dix jours plus tard de l’agomélatine (25 mg/j) en complément de son traitement antérieur. La patiente décrit a posteriori une insomnie totale suite à la première prise d’agomélatine. Mme S. présente également quatre jours après l’introduction de l’antidépresseur une éruption cutanée hautement prurigineuse, touchant le visage, les bras, les genoux et les pieds. L’étifoxine et l’agomélatine sont alors stoppés immédiatement, tandis que la mirtazapine et le prazépam sont maintenus. La valeur des transaminases (gamma-GT) a été multipliée par 1,5 entre le contrôle à l’introduction de l’agomélatine et après cinq jours de traitement ; cette valeur se normalisant progressivement sur les semaines suivantes. L’apparition de l’effet indésirable décrit peut plaider en faveur soit d’une imputabilité exclusive de l’agomélatine, soit d’une imputabilité conjointe de l’antidépresseur et de l’étifoxine. La première hypothèse pourrait être favorisée par l’intolérance initiale à l’antidépresseur, le décours temporel entre l’introduction du traitement et l’apparition de l’effet indésirable, et la plus haute fréquence d’effets indésirables cutanés et hépatiques sous agomélatine [1,2].


2021 ◽  
Vol 8 (2) ◽  
pp. 115-118
Author(s):  
Rohimpitiavana HA ◽  
◽  
Rova Rabariarison ◽  
Boudom Youmbi EJ ◽  
Razafimahandry HJC ◽  
...  

La prise en charge d’une fracture de jambe est fonction de la classification de la lésion, du plateau technique et de l’expérience du chirurgien. Le but de notre travail est de déterminer les aspects thérapeutique et évolutif des fractures diaphysaires de la jambe prises en charge au Service de Traumatologie du Centre Hospitalier Universitaire Joseph Ravoahangy Andrianavalona (CHU-JRA) Madagascar. Il s’agissait d’une étude descriptive de 74 patients hospitalisés dans le Service en 2017. Il y a une discrète prédominance des fractures ouvertes (52,7%) dont 41,01% étaient classés type II selon Gustilo Anderson. Les fractures concernaient les deux os dans 79,7%. Le traitement était orthopédique dans 74,7 % par un appareil plâtré cruro-pedieux précédé ou non d’une traction trans-calcanéenne. Parmi ceux qui ont été opérés, 47,4% ont bénéficié d’un enclouage centromédullaire type Kuntcher, 31,58% d’un fixateur externe et 21,02% d’une amputation transtibiale. L’évolution a été favorable dans 87,7%. Les complications étaient dominées par les infections (5,46%), lésions vasculo-nerveuses (4,09%) et les cals vicieux (1,36%). Le séjour hospitalier moyen étaient de 14 jours (1-86 jours). La prise en charge des fractures de jambe reste un challenge pour les chirurgiens dans les pays en voie de développement. L’optimisation de cette prise en charge passe par l’amélioration de l’accès aux soins et l’ajustement de la logistique hospitalière.


2014 ◽  
Vol 29 (S3) ◽  
pp. 537-538 ◽  
Author(s):  
L. Karila ◽  
A. Wery

L’addiction sexuelle débute à l’âge adulte jeune avec un ratio hommes/femmes variant de 2 à 5/1. Le nombre de consultation pour ce motif a augmenté en France mais à ce jour, aucune étude épidémiologique n’a été menée. Différents facteurs déclenchent le comportement addictif sexuel (émotions positives, négatives, circonstances environnementales). La consommation sexuelle est excessive et concerne différents supports sexuels. Il y a au moins un orgasme quotidien pendant au moins 6 mois mais celui-ci s’accompagne toujours d’une perte contrôle, d’une perte de temps à préparer le comportement, le réaliser ou à récupérer de ses effets. Les patients dépendants au sexe se construisent une deuxième vie et sont dans la crainte permanente que cette vie, toujours dissociée de l’amour, soit découverte. La réalisation fréquente du comportement sexuel addictif altère les obligations professionnelles, familiales ou sociales. La notion de trouble hypersexualité repose sur des critères cliniques suffisamment fréquents et intenses pour entraîner des altérations du fonctionnement personnel et social sur une période d’au moins 6 mois : perte de temps ; comportements répétitifs, réalisés en réponse à un état dépressif, anxieux, à un ennui, à des événements de vie stressants ; difficultés répétées pour contrôler ou réduire de manière significative des fantasmes/envies/activités sexuelles ; engagement répétitif dans des activités sexuelles en dépit du risque de conséquences physiques ou émotionnelles pour soi ou pour les autres ; fréquence et intensité importantes des comportements sexuels. Il existe différentes formes cliniques qui sont la masturbation compulsive, la consommation compulsive de pornographie, le cybersexe, les conversations érotiques au téléphone, la fréquentation compulsive de clubs, et la séduction compulsive. Les complications de cette pathologie peuvent être d’ordre somatique, psychologique et social. La prise en charge doit être intégrée et multimodale en combinant thérapie cognitive et comportementale, soutien, approche pharmacologique, thérapie de couple et groupes d’auto-support.


2008 ◽  
Vol 21 (2) ◽  
pp. 173-197 ◽  
Author(s):  
Émilien Pelletier ◽  
Peter G.C. Campbell

Résumé Nous explorons dans cette synthèse les forces et les faiblesses de l’écotoxicologie, en nous limitant aux milieux aquatiques. Notre approche consiste à comparer et contraster le comportement des contaminants organiques et inorganiques (métalliques) et à identifier quelques défis pour l’avenir. La prise en charge des contaminants organiques de synthèse se produit le plus souvent par simple diffusion passive au travers d’une membrane cellulaire. Vu la nature lipidique des membranes biologiques, le coefficient de partage octanol-eau (Kow) du contaminant s’avère souvent un bon prédicteur de sa tendance à se bioaccumuler. Par contre, les métaux présents dans le milieu aquatique se trouvent surtout sous des formes hydrophiles et hydratées qui ne peuvent traverser les membranes biologiques par simple diffusion. Leur prise en charge fait alors appel à un transport facilité qui implique des transporteurs protéiques ou canaux transmembranaires. Le coefficient de partage octanol-eau de ces espèces métalliques se révèle inutile comme prédicteur de leur bioaccumulation. Les approches et les modèles prédictifs diffèrent donc grandement entre contaminants métalliques et organiques. Pour les métaux, deux types de modèles sont couramment employés : des modèles d’équilibre (ex. : le « Modèle du Ligand Biotique » ou BLM) et des modèles cinétiques d’accumulation et d’élimination. Dans les deux cas, les paramètres biologiques des modèles sont considérés comme des « constantes » qui ne sont affectées, ni par la qualité de l’eau ambiante (ex. : pH, dureté), ni par une pré-exposition au métal. Or, il y a maintenant dans la littérature scientifique de plus en plus d’indices que les propriétés clés de la surface épithéliale des organismes aquatiques, qui contrôlent l’accumulation et la toxicité des métaux, ne sont pas constantes, ce qui compromet l’application des modèles dans des cas réels d’exposition chronique sur le terrain. Contrairement aux métaux, l’essentiel du comportement environnemental des composés organiques de synthèse est lié à leur capacité de résister à divers mécanismes de dégradation et à leur biodisponibilité pour les organismes aquatiques. Le modèle de la « fugacité » permet de prédire la distribution de composés organiques entre divers compartiments pour un système considéré à l’équilibre mais de nombreuses contraintes chimiques et biologiques interfèrent avec l’utilisation de ce type de modèle. Les cas des hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP) et des organométaux sont utilisés pour illustrer ces contraintes. Parmi les tout nouveaux défis de l’écotoxicologie, nous abordons brièvement le développement de la génomique fonctionnelle et de l’approche écosystémique ainsi que la toute nouvelle problématique environnementale posée par les nanoparticules industrielles. L’avenir de l’écotoxicologie aquatique passe nécessairement par : (1) l’obtention de données de terrain et de laboratoire d’excellente qualité; (2) une compréhension approfondie des mécanismes de toxicité aux niveaux moléculaire et cellulaire; (3) le développement de modèles théoriques et empiriques qui intègrent mieux la réalité physiologique et écologique; (4) le développement d’indicateurs écosystémiques capables de fournir une image globale de la qualité d’un environnement aquatique, quelle que soit sa complexité inhérente.


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