Apport du numérique dans la prise en charge médicale des patients souffrant de douleurs chroniques

2021 ◽  
Author(s):  
N. Kerckhove ◽  
A. Corteval ◽  
A. Eschalier

Cet article est un état des lieux des publications ayant évalué l’utilisation et l’impact de la e-santé chez des patients souffrant de douleur chronique. Nous avons évalué les text-message, les carnets électroniques et les applications mobiles. Enfin, les limites et défis futurs de l’intégration de la e-santé dans la prise en charge des douleurs chroniques sont discutés. En conclusion, l’intégration de la e-santé est prometteuse pour la prise en charge des patients, mais il y a une nécessité d’effectuer des études rigoureuses pour valider le réel bénéfice apporté.

2013 ◽  
Vol 28 (S2) ◽  
pp. 2-3
Author(s):  
E. Peyron

La prise en charge du sujet alcoolodépendant, utilisant les techniques de thérapie cognitivo-comportementales (TCC) a suivi l’évolution de ces techniques. Historiquement, les TCC ont évolué selon trois vagues. La première vague est comportementale et s’inspire directement des théories de l’apprentissage. On cherche dans ce cas à aider le patient à modifier son comportement. La deuxième vague des TCC a été centrée sur les cognitions. Le but du travail psychothérapique était d’aider le patient à favoriser des pensées alternatives lors d’une situation à risque. Depuis les années 2000, est née une troisième vague. Celle-ci se centre sur les relations entre la cognition et l’émotion [4]. L’hypothèse est que les troubles psychiques résulteraient d’une suppression erronée d’information émotionnelle. Par conséquent, la thérapie de la mindfulness – de la pleine conscience –, c’est à dire de l’expérience vécue pleinement de l’ici et maintenant, s’intéresse au contexte des expériences psychologiques. Les premiers programmes de thérapie de la pleine conscience ont été développés pour le sujet souffrant de maladies ou de douleurs chroniques pour améliorer leur qualité de vie [5]. Pour le sujet alcoolodépendant, un programme intégrant la pratique de la mindfulness à la prévention de la rechute (Mindfulness-Based Relapse Therapy: MBRT) [3,6,7]. Ce programme thérapeutique, que nous décrirons, s’appuie sur huit séances hebdomadaires. Nous avons aussi utilisé le programme classique de la mindfulness chez le sujet alcoolodépendant. La thérapie de la pleine conscience nous paraît intéressante à la fois dans la gestion du craving, mais aussi dans la gestion des émotions. Enfin, nous chercherons aussi, à partir des lectures des Stoïciens, d’Augustin (De Trinitate) [2], et d’Arendt (La vie de l’esprit) [1] à expliquer comment la pleine conscience est acceptation, acceptation d’un ordre qui ne dépend pas de nous, mais acceptation constitutive de notre liberté. L’acceptation est donc éthique.


2019 ◽  
Vol 3 (3) ◽  
pp. 136
Author(s):  
Francielli Cristina Giacomini

Lorsqu'on parle de l'autisme on est vite confronté à la question du langage et de l'absence de la parole. Comment peut-on s'en passer sans la voie traditionnel du symbolique ? L'abord plus raisonnable serait d'effectuer une recherche à ce propos étudiant les raisons de cette absence, de ce « déficit » qui cause de différents dysfonctionnements à niveau social, de l'apprentissage, etc. réfléchissant sur des méthodes de la prise en charge de l'autiste qui donneraient de réponses à ce vide. Toutefois, nous avons pris le contresens de direction. Notre abord théorique est justement étudier deux méthodes clinique et clinic-éducationnelle de prise en charge de l'autiste développé par Lacan et Deligny qui ne travaillent pas sur le manque ou sur le défaut du langage mais ils prennent la réponse donné par le corps lui-même comme façon d'établir un bord qui permet un certain équilibre dans le monde chaotique de l'autiste. Pourquoi le corps est-il en premier plan dans notre recherche ? Par absence de parole et non du langage, c'est le corps de l'autiste qui permet d'établir un lien avec le monde extérieur. Notre recherche a pour objectif mener une étude sur le corps dans l'autisme dans l'approche clinique en sciences de l'éducation à partir des théories de Jacques Lacan et de Fernand Deligny. Cette démarche est donc d'examiner un sujet qui a été très peu exploité et qui n'a jamais été affronté directement ni systématisé, rendant notre recherche inédite. Cette recherche, qui s'inscrit dans une démarche qualitative, est organisée selon un double enjeu : d'un côté l'enjeu théorique développant les concepts apportés par la DSM et les lois concernant la prise en charge de l'autisme dans la sphère médicale et éducationnelle ; et également l'apport psychanalytique de Jacques Lacan concernant la constitution du corps chez l'autiste et ses modes de traitements aussi bien que les méthodes innovatrices de prise en charge clinic-éducationnelle de Fernand Deligny. De l'autre côté l'enjeu empirique : en France, nous nous proposons d'accompagner le travail clinique d'orientation lacanienne fait avec les autistes dans l'Association Main à l'Oreille tandis qu'au Brésil au sein d'une institution éducationnelle nous allons réfléchir à l'application des méthodes de la cartographie et lignes d'erre proposées par Deligny. Notre objectif est de réfléchir la prise en charge de l'autisme comme un moyen de révéler un langage là où il y a vacance de la parole. Les résultats partiels qui nous avons pu repérer c'est qu'il n'y a pas de méthode unique d'apprentissage, ni de recette, ni de routine possibles appliquée à l'autisme parce que dans le monde auquel il vit, le symbolique est réel et l'imaginaire ne trouve pas forme dans la relation spéculaire. Par conséquent, les meilleures inventions qui se révèlent les plus solides pour (mieux) répondre à la souffrance de l'autiste sont celles du sujet lui-même.


2021 ◽  
Author(s):  
V. Barfety-Servignat ◽  
A. Sallet

Comme tout médicament, la kétamine a une action sur les plans sensoriel et psychique chez tout sujet. Que vivent et que nous rapportent les patients sous kétamine de leurs sensations et plus généralement de la sensorialité sous kétamine ? Il s’agit dans cet article de questionner ce qui se passe pour nos patients qui font l’expérience de la kétamine dans la prise en charge des douleurs chroniques et de le mettre en perspective avec la clinique psychopathologique du trauma et de la douleur chronique. Il convient de nous interroger sur la fonction que vient tenir, pour le patient, la demande de kétamine et celle que tient, pour le prescripteur, la proposition d’un tel traitement quand cela fait courir le risque de venir geler un travail d’appropriation d’un corps vécu et capable d’agir sur le monde.


2019 ◽  
Vol 32 (3) ◽  
pp. 147-154
Author(s):  
P. Queneau ◽  
A. Serrie ◽  
R. Trèves ◽  
D. Bontoux

Environ 22 millions de Français (environ 30 % de la population adulte) souffrent de douleurs chroniques rebelles aux traitements antalgiques conventionnels. La France a été l’un des premiers pays déterminés à lutter contre la douleur chronique, en mettant en place plusieurs plans gouvernementaux. Toutefois, l’état actuel fait apparaître de réelles menaces sur la prise en charge des malades douloureux chroniques, en raison : 1) de départs prochains à la retraite de nombreux médecins spécialisés, qui avaient créé les « structures spécialisées douleur chronique » (SDC) ; 2) et de grandes difficultés de recrutement de leurs successeurs. L’Académie nationale de médecine émet les recommandations suivantes : 1) consolider l’existence des 273 SDC pour les années à venir ; 2) désigner au sein de chaque faculté de médecine un « coordinateur universitaire douleur » rattaché à la sous-section « Thérapeutique médecine de la douleur » du Conseil national des universités ou à une des grandes disciplines universitaires concernant la douleur ; 3) veiller au renouvellement des équipes des SDC par : des médecins ayant reçu une formation spécialisée transversale « Médecine de la douleur », en plus de leur diplôme d’études spécialisées d’origine ; d’autres soignants (infirmières, physiothérapeutes, psychologues…) ayant bénéficié d’une formation « douleur » ; 4) en plus de l’indispensable formation initiale de tous les médecins et soignants à la spécificité de la douleur chronique, faciliter l’accès à des formations complémentaires sur les nouvelles approches non médicamenteuses, technologiques et psychosociales ; 5) développer la recherche clinique et fondamentale translationnelle par la mise en place de choix stratégiques, politiques et organisationnels.


2021 ◽  
Author(s):  
D. Annequin

Les médicaments de la douleur font l’objet de craintes souvent majeures. Le protoxyde d’azote associé à 50 % d’oxygène (MEOPA) est le produit de référence pour la douleur provoquée par les soins en pédiatrie. Le mésusage des cartouches de protoxyde d’azote pur à visée récréative peut avoir des effets indésirables majeurs lors d’expositions très prolongées ; il ne doit pas être confondu avec le MEOPA à usage médical dont le rapport bénéfice/risque est très rassurant. L’usage massif des opiacés essentiellement aux États-Unis pour des douleurs chroniques a donné lieu à une catastrophe sanitaire. Ces produits demeurent les produits de référence pour traiter les douleurs aiguës et intenses, et le risque de mésusage y est exceptionnel quand ils sont utilisés sur des durées courtes avec un suivi clinique. En revanche, un risque réel existe lors de l’utilisation prolongée de ces médicaments dans la douleur chronique non cancéreuse ; cette dernière nécessite une véritable prise en charge pluridisciplinaire permettant d’éviter au maximum les médicaments antalgiques. En France, la peur de l’utilisation des AINS est ancienne et en grande partie infondée. Elle s’est exprimée récemment par des avis officiels erronés recommandant d’éviter l’ibuprofène lors de la première vague de la SARS-CoV-2. Le paracétamol a au contraire en France une image de sécurité surévaluée auprès des médecins et du public. Nos connaissances sur les risques liés aux médicaments de la douleur se sont enrichies ces dernières années. Si la vigilance des professionnels doit être continue, elle ne doit pas se transformer en suspicion. Les bonnes pratiques doivent être mieux diffusées notamment sur la prise en charge de la douleur chronique. L’amplification par les médias et les réseaux sociaux qui ne soulignent que les effets indésirables, voire les décès, occultent tous les bénéfices majeurs apportés par ces produits qui restent dans la grande majorité des cas des produits de référence. À l’inverse, les conséquences dramatiques (sanitaires et humaines) peuvent encore s’observer massivement dans les pays pauvres qui n’ont quasiment aucun accès aux médicaments de la douleur.


2021 ◽  
Vol 60 (2) ◽  
pp. 148-154
Author(s):  
Sophie Dugué ◽  
Barbara Tourniaire

Lorsque la douleur persiste ou se répète, elle impacte tous les domaines de vie de l’enfant ou de l’adolescent, entraînant des retentissements sur les capacités fonctionnelles et relationnelles de l’enfant que ce soit dans la vie familiale ou sociale. Elle s’accompagne souvent de troubles du sommeil, de troubles anxieux, dépressifs ou de manifestations psychopathologiques induites ou associées pouvant renforcer l’expérience douloureuse. Dans ces situations, mais aussi lorsque la douleur résiste aux traitements habituels, cela renforce le cercle vicieux de la douleur chronique. Alors une évaluation globale de la situation, selon le modèle biopsychosocial est indispensable, afin de proposer un projet thérapeutique personnalisé et adapté. Lorsque les impacts de cette douleur qui persiste, se répète ou résiste aux traitements, sont trop importants, l’enfant doit être adressé en consultation dans une Structure Douleur Chronique (SDC) pour bénéficier d’une prise en charge par une équipe multiprofessionnelle et multidisciplinaire qui sera en lien avec les professionnels de santé de proximité (médecin ou pédiatre traitant, psychologue, kinésithérapeute, médecine scolaire...). Après une synthèse des principales caractéristiques disponibles dans la littérature concernant les douleurs chroniques de l’enfant, nous verrons comment s’est développée depuis les années 1990 la prise en charge des douleurs chroniques de l’enfant en France et comment s’organise le parcours de soin à l’heure actuelle.


2021 ◽  
Author(s):  
S. Salas ◽  
M. Bruge-Ansel

Introduction : La douleur est un symptôme commun chez 30 à 40 % des patients atteints d’un cancer, tous stades confondus de la maladie ; 15 à 30 % d’entre eux souffrent d’une douleur dite réfractaire aux opioïdes. La littérature de ces dernières années a décrit la kétamine, à dose subanesthésique, comme un intéressant adjuvant aux opioïdes, pour la prise en charge des douleurs cancéreuses réfractaires. L’objectif de cette revue de la littérature est d’évaluer l’état actuel des connaissances sur l’efficacité et la tolérance de la kétamine dans la gestion de la douleur chronique liée au cancer. Méthode : Nous avons analysé 12 articles publiés entre 1999 et 2019, traitant de l’utilisation de la kétamine pour la gestion des douleurs cancéreuses. Résultats : Parmi les articles sélectionnés, quatre remplissaient des critères méthodologiques scientifiquement validés. Trois de ces essais cliniques randomisés, en double insu, contrôlés par placebo, concluaient à une absence d’efficacité de la kétamine. Les populations analysées et les protocoles d’administration de la kétamine étaient très hétérogènes. Les bénéfices suggérés concerneraient principalement l’épargne morphinique, dans une certaine population de patients, apparaissant comme bons répondeurs, mais dont les caractéristiques semblent imprécises. La kétamine paraît plutôt bien tolérée dans la plupart de ces études, avec des effets secondaires légers, réversibles à l’arrêt du traitement. Conclusion : Il subsiste de nombreuses questions sans réponse, quant à l’efficacité de la kétamine dans la gestion de la douleur cancéreuse. Des études supplémentaires doivent être menées dans les prochaines années afin d’y répondre et d’apporter un bénéfice en pratique clinique.


2013 ◽  
Vol 28 (S2) ◽  
pp. 104-104
Author(s):  
N. Ahouzi ◽  
M. Garo ◽  
F. Gaillard ◽  
H. Benmerdia ◽  
W. Cabaret

Contexte et objectifLe recueil d’information jusqu’à la mise en place d’une contraception suivie par les patientes en santé mentale est un problème complexe. La mise en place d’une EPP sur la contraception et le diagnostic d’une grossesse au moment de l’admission nous a paru pertinente afin d’améliorer la prise en charge de ces patientes et prendre en compte les recommandations en vigueur. L’objectif principal était d’améliorer le repérage d’une grossesse au moment de l’admission. Les objectifs secondaires étaient :– améliorer la mise en place d’une contraception ;– prendre en compte les modalités de contraception en tenant compte des recommandations de la HAS ;– sensibiliser les soignants aux risques tératogènes de certains médicaments.Matériel et méthodePour mener notre EPP nous avons réalisé un audit clinique sur 80 dossiers de patientes âgées de 15 à 50 ans hospitalisées depuis au moins sept jours.Résultats/Discussion : Dans :– 65 % des dossiers, il y a un résultat de ΔHCG ;– 37 % des dossiers, il y a une information sur les antécédents gynécologiques ;– 27 % des dossiers, il y a une information sur la contraception.Cette EPP a souligné la nécessité d’un meilleur recueil d’information autour de la contraception et du diagnostic d’une grossesse éventuelle. Elle a permis l’élaboration d’un plan d’action visant à sensibiliser les équipes soignantes, à systématiser le recueil d’information sur la contraception en cours, à prendre en compte les recommandations de la HAS sur la contraception, à mieux connaître les risques tératogènes de certains médicaments.ConclusionLa prescription d’une contraception doit comprendre l’ensemble de ces aspects d’autant plus que les données récentes soulignent les risques tératogènes de certains médicaments : acide valproïque, paroxétine, lithium, carbamazépine, etc. Des fiches de bon usage vont être élaborées par la PUI et diffusées aux soignants.


2018 ◽  
Vol 2 (2) ◽  
Author(s):  
Amel Zennaki ◽  
Mahmoud TOUHAMI ◽  
Charef LATROCH ◽  
Asma AOUI ◽  
Mounia GHARNOUTI ◽  
...  

Introduction - L’objectif de cette étude est d’évaluer l’apport d’un accompagnementinfirmier codifié dans l’amélioration du contrôle du diabète chez des adolescentsen déséquilibre métabolique persistant.Patients et méthodes - Cette étude randomisée contrôlée a comparé 2 groupesd’adolescents âgés de 12 à 17 ans, atteints de DT1, ayant un taux d’HbA1c ? 9% et< 15%. Le groupe « A » a bénéficié des appels téléphoniques, toutes les 4 semainespar une infirmière, en alternance avec des visites mensuelles supervisées médicalement.Le groupe « B » a bénéficié des consultations toutes les 4 semaines.Résultats - Nous avons étudié 58 adolescents. A la fin de l’intervention de 5 mois,il y a eu une baisse de 3,41 points d’HbA1c pour le groupe A, de 2,96 points pour legroupe B (p=0,32) ; le pourcentage de patient avec un taux d’HbA1c au-dessous de7,5% était de 62,07% dans le groupe A et de 37,93% dans le groupe B (p=0,06). Aprèsl’intervention, il y a ré-ascension de l’HbA1c pour les 2 groupes.Conclusion - La prise en charge intensive à forte implication paramédicale faited’entretiens éducatifs et téléphoniques en complément des visites médicales habituelleschez des adolescents en déséquilibre persistant a entraîné l’amélioration del’équilibre glycémique à moyen terme.


Swiss Surgery ◽  
2003 ◽  
Vol 9 (6) ◽  
pp. 315-319 ◽  
Author(s):  
Peloponissios ◽  
Gillet ◽  
Halkic

L'agénésie isolée de la vésicule biliaire (AVB) est une anomalie rare. Vingt-trois pour cents des porteurs de cette malformation présentent des douleurs de l'hypochondre droit accompagnées de nausées et d'intolérance aux graisses dont l'étiologie reste souvent inexpliquée. Que la méthode d'investigation initiale soit un ultrason ou une cholangiographie intraveineuse, le diagnostic retenu à tort est dans la grande majorité des cas celui d'une vésicule exclue ou scléro-atrophique. Il résulte de cette erreur une indication chirurgicale inutile avec un risque accru de lésion des voies biliaires. Le but de ce travail et de déterminer s'il est possible, malgré les pièges de l'imagerie radiologique, d'obtenir un diagnostic préopératoire et de préciser la marche à suivre en cas de découverte pré ou peropératoire d'une AVB. A partir de deux cas isolés que nous présentons dans ce travail, nous avons effectué une revue de la littérature. C'est en fait la méconnaissance de cette pathologie et sa non-évocation dans le diagnostic différentiel qui conduit à une prise en charge chirurgicale inutile et dangereuse. L'absence de structures anatomiques normales et l'impossibilité de réaliser une traction sur l'infundibulum afin de mener la dissection du triangle de Calot représente un risque accru de lésion des voies biliaires. L'évocation de ce diagnostique par le radiologue ou le chirurgien est essentielle lors de l'interprétation de l'imagerie radiologic. En cas de doute on réalisera une cholangiographie-IRM. Une transmission héréditaire de l'AVB a été observée. Les membres d'une même famille doivent être investigués.


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