scholarly journals Do enunciável ao visível: as condições de possibilidade do videopoema Vida em Branco

Author(s):  
Amanda Soares Mantovani ◽  
Antônio Fernandes Júnior
Keyword(s):  

Com o objetivo de discorrer e refletir sobre os procedimentos de análise advindos da filosofia de Michel Foucault, especialmente esses que estão contemplados em sua obra A Arqueologia do Saber (1969), este trabalho abrange uma discussão voltada para as contribuições do pensamento foucaultiano aos estudos da linguagem, diante da necessidade de se mobilizar uma atitude histórico-crítica sob o objeto em análise. Para tanto, o percurso aqui adotado desenvolve-se sob a perspectiva arqueogenealógica, apoiando-se em estudos desenvolvidos pelo próprio Foucault (1999, 2005a, 2005b, 2014, 2016, 2017) e em obras de Deleuze (2017, 2019), Veyne (2009), Gregolin (2004, 2006), entre outros autores. Ao explanar sobre a noção de discurso e enunciado, o discursivo e não discursivo, tentamos descrever, ao fim, como pensar sobre uma história crítica do pensamento proporciona vislumbrar as condições de emergência que possibilitam determinados acontecimentos discursivos, a exemplo, o videopoema de Zélia Duncan, Vida em Branco (2020).

Barbarói ◽  
2018 ◽  
Vol 2 (52) ◽  
pp. 22-47
Author(s):  
Rafaela Sousa Caldas ◽  
Tiago Cassoli
Keyword(s):  

Inicialmente destinada como saber auxiliar à prática da justiça, a psicologia jurídica estruturou-se no Brasil a partir do jogo de dupla qualificação médica e judiciária no qual a figura do criminoso passou a prevalecer sobre a apreciação do delito, movimento que uniu práticas disciplinares e jurídicas aos discursos médicos, psiquiátricos e psicológicos. O presente trabalho busca demarcar no percurso histórico de desenvolvimento da psicologia jurídica brasileira suas articulações junto a saberes como a psiquiatria e a criminologia ao longo de um projeto societário disciplinar e normalizador que refletiu no aumento das atividades diagnósticas e avaliativas, ainda hoje as principais atividades endereçadas aos psicólogos jurídicos. Na tentativa de promover reflexões e possibilitar novas análises sobre o tema, são problematizadas neste trabalho as relações entre saber-poder no processo de emergência e estruturação da Psicologia Jurídica no Brasil a partir de certas análises produzidas por Michel Foucault. Trata-se, principalmente, de uma tentativa de se valer de alguns dos elementos conceituais construídos pelo autor como dispositivos para uma análise crítica das relações entre práticas de conhecimento e práticas de poder assumidas pela psicologia jurídica brasileira, problematizando suas regulamentações sociais e urgências políticas enquanto saber e nova tecnologia de poder produzida na modernidade.


Author(s):  
Alex Villas Boas ◽  
Jefferson Zeferino ◽  
Andreia Cristina Serrato

O campo de estudos em Teologia e Literatura está consolidado no contexto brasileiro. A proposta do grupo teopatodiceia visa situar este diálogo da teologia como pergunta pelo sentido de Deus na busca de sentido humana e oferta de uma racionalidade crítica a um sistema de crença tendo a literatura como interlocutora privilegiada, mas também outras formas de narrativas e expressões artísticas da condição humana. Nesse sentido, o elemento antropológico visa não somente o diálogo com a antropologia literária mas considera também, desde um projeto de arqueologia do saber teológico, a produção de subjetividades implicadas (pathos) nos saberes em diálogo e nos modelos epistemológicos que melhor favorecem a elaboração de uma teologia pública, plural e contrahegemônica a fim de discernir modos de se responsabilizar por uma agenda pública desde uma sensibilidade ética (diké) comum aos dilemas contemporâneos. A literatura ocupa um papel importante de heterologia no diálogo com a teologia. Como uma abordagem interdisciplinar, o projeto arqueológico se nutre dos percursos teóricos de autores como Antonio Manzatto, Paul Ricoeur, Michel Foucault, Michel de Certeau e David Tracy. Numa crítica à autorreferencialidade teológica, a via dialógica, interdisciplinar e intercultural da perspectiva teológica do grupo se aloca no conjunto das ciências humanas.


2017 ◽  
Author(s):  
Truchon Karoline
Keyword(s):  
De Se ◽  

Au sein de nos sociétés contemporaines, le duo conceptuel de visibilité et d’invisibilité s’inscrit dans le lexique quotidien autant des individus, des organismes à but non lucratif que des organisations publiques et privées pour qui être visibles dans l’espace public et médiatique témoigneraient d’une acceptation sociale pour laquelle tout.e.s luttent (Aubert et Haroche 2011 ; Voirol 2005a ; Voirol 2005b). Peu théorisés, c’est comme si ces concepts « allaient de soi ». Or, comme le précisent Olivier Voirol (2005a, 2005b) et Andrea Brighenti (2010, 2007), la visibilité est une catégorie sociale qui permet de mieux comprendre les codes régissant les normes sociales et l’invisibilité sociale provoque, tel que le proposent Guillaume le Blanc (2009) et Axel Honneth (2005), une déshumanisation, voire un mépris social des personnes effacées par les regards de certains qui s’octroient, ou à qui on octroie, ce pouvoir de relégation sociale. Par ailleurs, la visibilité – et l’invisibilité – sont des résultats qui découlent de la visibilisation – de l’invisibilisation – qui constituent à leur tour des phénomènes également peu théorisés, mais pourtant féconds par leur opérationnalité et potentiellement générateurs de reconnaissance (Truchon 2016). La visibilité n’est pas synonyme de visualité ou de visible et ne peut être utilisée comme un concept descriptif qui tente uniquement d’expliquer ce qui serait perçu comme des pratiques défaillantes de différentes personnes ou divers groupes sociaux (Voirol 2009). D’emblée, la visibilité articule plutôt les relations de perception (aspect esthétique) et de pouvoir (aspect politique) (Brighenti 2007), relations qui forment des phénomènes ambigus car la production et la compréhension de la visibilité dépendent de contextes sociaux, techniques et politiques complexes parmi lesquels elle opère (Brighenti 2010). La visibilité, contrairement à une vision simpliste de celle-ci, n’est donc pas que composée d’éléments visibles : elle est également constituée par un amalgame subtil de relations qui mobilisent l’information, l’imagination et les intuitions des personnes et groupes présents pour lui donner chair autant dans un espace physique que psychique (Mirzoeff 2011). Ainsi, la visibilité est intrinsèquement une catégorie sociale car elle permet de mieux appréhender le social comme un phénomène autant matériel qu’immatériel (Brighenti 2010), catégorie sociale qui amène un défi théorique précisément parce que la visibilité (et l’invisibilité) sont utilisées comme des termes génériques pour rendre compte d’une multitude de situations (Voirol 2009). Cependant, quand la visibilité est théorisée, une des manières les plus courantes est de se saisir de celle-ci comme d’une exigence, voire d’une injonction, qui constituerait une nouvelle forme de pouvoir disciplinaire caractérisant la modernité. Si le modèle panoptique impliquant le regard du surveillant de prison qu’a popularisé Michel Foucault avec son ouvrage-phare Surveiller et punir (1975) est souvent évoqué pour marquer ce contrôle, le regard panoptique ne proviendrait plus que des personnes en pouvoir : il proviendrait également des personnes qui se soumettraient elles-mêmes à cette injonction de la visibilité, faisant de ces dernières des parties prenantes actives dans la construction de leur propose prison panoptique en permettant à cet impératif du voir/être vu de régir leur quotidien (Birman 2011). L’invisibilité sociale est un processus qui empêche de participer pleinement à la vie publique. Elle s’appuie sur une impression d’être relégué socialement et elle découle d’un sentiment d’inutilité et de la honte de se sentir ainsi (le Blanc 2009). Ultimement, la source de l’invisibilité sociale comme figure de désoeuvrement est l’exclusion, « car être exclus, c’est cesser de participer, ne plus avoir part à la multitude » (le Blanc 2009 : 186). Guillaume le Blanc décrit trois types de régimes d’invisibilité : 1) l’invisibilité de la mort par l’effacement définitif d’une vie souvent causée par des génocides ou meurtres ; 2) l’invisibilité par l’appropriation et la réification ou l’instrumentalisation en maintenant sciemment dans l’ombre des populations qui devraient être visibles afin d’exprimer leur désaccord avec le traitement qu’il leur est réservé ; et 3) l’invisibilité qui est un défaut de perception au sein duquel des personnes n’existent pas car jugés indignes d’être inclues dans le cadre de la perception. Chacun de ces trois régimes d’invisibilité possède ses logiques internes, mais celles-ci ne sont pas forcément inséparables l’une de l’autre (le Blanc 2009). S’inscrivant dans cette logique, Axel Honneth (2005) résume l’invisibilité par une propension à regarder « à travers » une personne, donc sans la voir, sans la reconnaître. Honneth distingue la connaissance (une identification cognitive) de la reconnaissance (une perception évaluative d’une personne, c’est à dire la représentation que l’on se fait de la valeur de cette personne). L’absence de gestes de reconnaissance suite à l’acte de connaissance résulte en une forme de mépris moral envers les personnes qui sont effacées du cadre perceptuel et relationnel. Bref, l’invisibilité se produit quand il y a absence de gestes qui « renvoient à un ensemble d’attentes normatives, dont dépend l’existence sociale des personnes dans des situations d’interaction. [Et] [c]ette absence signifie un déni de reconnaissance ou un mépris puisqu’elle nie aux sujets concernés toute affirmation de leurs qualités positives » (Voirol 2009 : 125). Plus précisément, « [ê]tre, c’est être perçu. Je ne suis rien si l’autre ne me perçoit pas. C’est l’autre qui, en me percevant, en me reconnaissant, me confère une existence » (Aubert et Haroche 2011 : 335). Au final, la visibilisation/l’invisibilisation sont des processus qui génèrent des résultats, la visibilité/l’invisibilité (Truchon 2016). Pour être efficace, la visibilité a donc besoin d’être elle-même visibilisée en imbriquant des aspects relationnels (entre individus, groupes et États), des aspects stratégiques (actions mises en place) et des aspects procéduraux (manières de concrétiser des actions tels que décidés par des individus, des groupes ou des États). La visibilité devient de ce fait même une catégorie « opérationnalisable » car la pratique de la visibilité est de facto un processus de visibilisation : la visibilité est le résultat de la visibilisation (Truchon 2014).


2021 ◽  
Vol 3 (11) ◽  
pp. 260
Author(s):  
Leonardo Tajes Tajes Ferreira

Tendo como base a Teoria Crítica de Jürgen Habermas e a visão de Michel Foucault sobre a dominação de caráter microssocial, este trabalho visa debater o papel do Direito na democracia brasileira e seu impacto como garantidor do respeito à pluralidade de vivências, uma vez que a moral ética pautada no  diálogo não vem se mostrando um modo efetivo de se garantir a harmonia na convivência social. 


2021 ◽  
Vol 7 (29) ◽  
Author(s):  
Thainan Piuco ◽  
Roberta de Pinho Silveira ◽  
Cristian Poletti Mossi ◽  
Cristianne Maria Famer Rocha
Keyword(s):  

O artigo apresenta diferentes modos (ou possibilidades) de se produzir pesquisas no campo da saúde e da educação, a partir de autores do campo da filosofia francesa contemporânea, em particular Michel Foucault, Gilles Deleuze e Étienne Souriau. Nossa intenção foi, ao relatar as experiências de pesquisa vividas (e em processo), apontar para a multiplicidade como potência de novas práticas de cuidado, seja na saúde ou na educação (focos desse texto), assim como novos modos de existência, pautados por assujeitamentos e desassujeitamentos contínuos. Os trabalhos de investigação aqui apresentados estão sendo desenvolvidos no âmbito de dois programas de pós-graduação de uma universidade pública brasileira e buscam ressoar para (nos fazer) pensar e lançar algumas proposições possíveis através de um traçado de linhas que, de algum modo, podem atravessar as duas investigações naquilo que chamaremos de economia do cuidado. As indagações aqui apresentadas buscam, por fim, instigar que outras produções sejam possíveis nas intersecções – nada triviais – entre diferentes áreas do conhecimento.Palavras-chave: Práticas de cuidado. Modos de existência. Saúde. Educação.


2015 ◽  
Vol 40 (3) ◽  
pp. 573
Author(s):  
Ingrid Ertel Stürmer ◽  
Adriana Da Silva Thoma
Keyword(s):  

Que discursos vêm produzindo a educação bilíngue para surdos no cenário educacional brasileiro na atualidade? Para problematizar essa questão, olhamos para documentos produzidos pelo Ministério da Educação (MEC) e pela Federação Nacional de Educação e Integração dos Surdos (FENEIS) que tratam da educação bilíngue para surdos, tendo como ferramenta teórico-metodológica a noção de discurso de Michel Foucault (2013), para quem os discursos produzem práticas. Em nossas análises, buscamos dar visibilidade para as relações de saber-poder que estão imbricadas nos discursos que constituem os documentos analisados e os modos específicos de se pensar a escolarização para surdos que vêm sendo produzidos a partir dos significados de educação bilíngue que circulam em tais documentos.


2019 ◽  
Vol 7 (2) ◽  
pp. 271-292
Author(s):  
Jean Dyêgo Gomes Soares
Keyword(s):  

Esse artigo visa desembaraçar constrangimentos acerca da afirmação de Michel Foucault de que a Antiguidade seria “um erro profundo”. Para compreendê-la, retomamos os críticos  que sugerem haver uma recusa por sua parte de se posicionar. O desembaraço proposto passa também por formular uma saída a tais críticas. Quando Foucault fala do poder ou de suas relações com a filosofia, ele se desloca da pretensão ontológica tradicional para uma prática: ao invés de se perguntar “o que” seriam o poder e a filosofia, ele busca compreender “como” funcionam, qual o papel desse problema para o presente que o formula. Tendo em mente esse deslocamento teórico em torno das “problematizações”, toma-se como exemplo uma específica: a problematização do sujeito. Ao destacar as descontinuidades desde a Antiguidade até a Modernidade entre estilísticas de si e teorias do sujeito, ele permite vislumbrar uma resposta à questão do título de nosso trabalho. Enfatiza-se que graças à análise de tal problematização surgem diferentes perspectivas sobre as atitudes nos casos por ele estudados. Torna-se mais evidente como seria possível pensar a Antiguidade como um erro profundo, sem, como isso, desconsiderar a atitude também errático do homem moderno. Tal atitude é destacada aqui em uma breve remissão de Foucault à Baudelaire em busca do “poético no histórico”, atitude decisiva para compreender o elo entre ambas as figuras, mas não só.


Kalagatos ◽  
2017 ◽  
Vol 14 (2) ◽  
pp. 59
Author(s):  
Joel Decothé Junior

A proposta deste artigo é a de se aproximar da questão que envolve a noção de método, nas propostas genealógicas das filosofias de Giorgio Agamben e Michel Foucault. Para tanto, propomos um itinerário epistemológico que percorre os pontos que julgamos ser nucleares, no que tange ao problema da continuidade e descontinuidade presente na dinâmica relacional, em termos de influência, que o filósofo francês tem exercido sobre o pensamento em curso do filósofo italiano. Tudo isso acaba sendo considerado, fundamentalmente, desde a perspectiva de suas reconstruções genealógicas do poder. O ponto nodal, conforme a nossa leitura, está posto substancialmente na questão da genealogia teológica da economia e do governo no que diz respeito ao pensamento de Agamben. No caso de Foucault, é na questão do biopoder que se mostra o ponto nuclear de nossa leitura. Em razão disto, matizamos o texto em três momentos centrais e que são respectivamente descritos: (i) da premissa investigativa genealógica de Agamben rumo à genealogia de Foucault; (ii) da genealogia de Foucault para releitura genealógica de Agamben; (iii) sobre o método em Agamben: as assinaturas como signos ocultos de uma realidade operativa. Por fim, fechamos o texto considerando que tanto em Agamben como em Foucault a questão do método de investigação filosófica, é de fundamental importância para que possamos compreender a construção de ambas as genealogias filosoficamente. O destaque fica posto no fato de que Agamben é um herdeiro intelectual confesso da senda aberta por Foucault, no que tange as investigações empreendidas ao logo de sua vida intelectual, no que diz respeito à questão das relações de poder que tem como objeto central de seu trabalho filosófico a categoria axiomática de vida. 


Author(s):  
Catarina de Cassia Moreira ◽  
Marcia Serra Ferreira
Keyword(s):  

O artigo investiga como as identidades dissidentes (Paul B. Preciado) tem sido subjetivadas nos (e pelos) currículos de Ciências e Biologia. No diálogo com Michel Foucault, Judith Butler e Thomas Popkewitz, analisa produções acadêmicas nos anais do ENEBIO (2016 e 2018), problematizando como os discursos acadêmicos participam dos processos de tornar-se sujeito, produzindo pesquisas e relatos que nos informam quem devemos ser em termos de gêneros e sexualidades e, simultaneamente, que conhecimentos devemos ensinar e aprender sobre essas temáticas. Em meio aos jogos de saber e poder, assume a produtividade de se pensar genealogias outras, assim como construir espaços-tempos para possibilitar discursivamente outros modos de ser e estar no mundo, que não só aquelas cisgêneras e heterossexuais.


2019 ◽  
Vol 44 ◽  
pp. 52
Author(s):  
Daiane Martins Bocasanta ◽  
Fernanda Wanderer ◽  
Gelsa Knijnik
Keyword(s):  

O artigo apresenta resultados de uma pesquisa cujo objetivo consistiu em analisar como opera o dispositivo da tecnocientificidade na produção de subjetividades de alunos adultos, em processo de alfabetização. O referencial teórico utilizado situa-se nas formulações de Michel Foucault sobre noções tais como as de dispositivo e subjetivação. O material de pesquisa foi organizado em duas instâncias: a) livros didáticos endereçados à Educação de Jovens e Adultos (EJA) e b) narrativas geradas em um trabalho pedagógico com uma classe de alfabetização e pós-alfabetização da EJA sobre o uso de tecnologias na contemporaneidade. A análise do material de pesquisa possibilitou inferir que os estudantes desejam se apropriar dos conhecimentos relativos à tecnologia para melhor realizar suas atividades laborais e educacionais, assim como para facilitar a comunicação entre familiares e amigos. Também se posicionam como retardatários em relação à aquisição desses conhecimentos, referenciando os jovens como aqueles que dominam e conseguem lidar com a tecnologia. Isso nos leva a pensar que entre as diferentes estratégicas que conformam o dispositivo da tecnocientificidade está a captura do interesse dos sujeitos escolares para assuntos de ordem tecnocientífica, conduzindo suas condutas e criando o desejo de se sentirem incluídos em nosso mundo maquinocêntrico.


Sign in / Sign up

Export Citation Format

Share Document