scholarly journals Traduction des Recommandations de l'ISPD pour l'évaluation du dysfonctionnement de la membrane péritonéale chez l'adulte

2021 ◽  
Vol 4 (3) ◽  
pp. 193-226
Author(s):  
Christian Verger ◽  
Max Dratwa

Informations concernant cette traductionDans le cadre d’un accord de partenariat entre l’ISPD et le RDPLF, le RDPLF est le traducteur français officiel des recommandations de l’ISPD. La traduction ne donne lieu à aucune compensation financière de la part de chaque société et le RDPLF s’est engagé à traduire fidèlement le texte original sous la responsabilité de deux néphrologues connus pour leur expertise dans le domaine. Avant publication le texte a été soumis à l’accord de l’ISPD. La traduction est disponible sur le site de l’ISPD et dans le Bulletin de la Dialyse à Domicile.Le texte est, comme l’original, libremement téléchargeable sous licence copyright CC By 4.0https://creativecommons.org/licenses/by/4.0/Cette traduction est destinée à aider les professionnels de la communauté francophone à prendre connaissance des recommandations de l’ISPD dans leur langue maternelle. Toute référence dans un article doit se faire au texte original en accès libre :Peritoneal Dialysis International https://doi.org/10.1177/0896860820982218 Dans les articles rédigés pour des revues françaises, conserver la référence à la version originale anglaise ci dessus, mais ajouter «version française  https://doi.org/10.25796/bdd.v4i3.62673"»TraducteursDr Christian Verger, néphrologue, président du RDPLFRDPLF, 30 rue Sere Depoin, 95300 Pontoise – FranceProfesseur Max Dratwa, néphrologueHôpital Universitaire Brugmann – Bruxelles – Belgique

2003 ◽  
Vol 30 (1-2) ◽  
pp. 45-98
Author(s):  
Manuel Bruña Cuevas

SUMMARY During the 19th century the old palatallof French (in, e.g.,travailler,travail,fille) definitively gave way to /j/. During about the same period Spanish underwent a similar evolution, but the process of substitution of /j/ for /ʎ/ found itself in a less advanced stage than in French; indeed, certain varieties of present-day Spanish still maintain these two phonemes. Taking all the works together which during the 19th and the first half of the 20th century were addressed to the teaching of French to speakers of Spanish, the author concentrates his attention on the difficulties that the authors encountered when presenting this dying or already deceased phoneme (namely, the palatallof French) to an audience which, although it still possessed this phoneme in their own language, had begun to find it difficult to distinguish the diverse phonetic realizations that the Spanish /j/ was acquiring. As is shown in this study, the time difference in the evolution of this phenomenon of dephonologization in French and, with some delay, also in Spanish led the authors of these textbooks to misunderstandings and errors in the treatment of the disappearing or vanished former palatallof French.RÉSUMÉ Au XIXe siècle, l’ancienlpalatal du français (travailler,travail,fille) laissait définitivement sa place à /j/. L’espagnol subissait, vers la même époque, une évolution similaire, mais le processus de substitution de /j/ à /ʎ/ se trouvait dans cette langue bien moins avancé qu’en français; de fait, certaines variétés de l’espagnol actuel possèdent encore les deux phonèmes. En prenant comme corpus l’ensemble des ouvrages destinés à l’apprentissage du français par les hispanophones au XIXe siècle et dans la première moitié du XXe siècle, nous centrons fondamentalement notre attention sur les difficultés qu’ont éprouvées leurs auteurs à présenter un phonème moribond ou déjà mort (lpalatal français) à un public qui, quoique le possédant encore dans sa langue maternelle, avait lui aussi de plus en plus de mal à le distinguer des diverses réalisations phoniques qu’adopte le /j/ espagnol. Le décalage temporel entre l’évolution de ce phénomène de déphonologisation en français et en espagnol donne lieu chez nos auteurs à des malentendus et à des erreurs d’appréciation que nous passons en revue dans cet article.ZUSAMMENFASSUNG Im 19. Jahrhundert überläßt der alte Palatalldes Französischen (travailler,travail,fille) definitiv seinen Platz dem Phonem /j/. Im Spanischen erfolgt um die gleiche Zeit eine ähnliche Entwicklung, wobei allerdings der Wandel von /j/ zu /ʎ/ nicht so weit fortgeschritten ist. Daher haben einige Varietäten des Spanischen heute noch beide Varianten des Phonems. Bei einem Corpus, das die Gesamtheit der Französischlehrbücher für Spanier des 19. Jahrunderts umfaßt, konzentrieren wir uns auf die Schwierigkeiten, welche ihre Autoren bei der Präsentation eines untergehenden (bzw. bereits untergegangenen) Phonems für ein Publikum hatten, welches ebenfalls immer größere Schwierigkeiten hatte, die unterschiedlichen Realisierungen des Phonems /j/ in seiner eigenen Sprache getrennt wahrzunehmen. Die Phasenverschiebung bei der Entphonologisierung im Französischen und im Spanischen führt bei den Verfassern zu Mißverständnissen und Irrtümern, welche in dem Beitrag analysiert werden.


2019 ◽  
Vol 2 (2) ◽  
pp. 93-116
Author(s):  
Max Dratwa ◽  
Christian Verger

En avril 2019 la Société Internationale de Dialyse Péritonéale a publié en "open access" ses dernières recommandations pour créer et maintenir un abord péritonéal optimal chez les patients adultes. Ces recommandations sont un guide important pour les équipes médicales, infirmières et chirurgicales de tous les pays. Afin d'assurer la meilleure diffusion possible auprès des francophones qui se sentent plus à l'aise avec un texte dans leur langue maternelle, le Registre de Dialyse Péritonéale de Langue Française a assuré la traduction de ce texte. Pour toute référence dans une publication, il est indispensable que seul le texte original qui soit cité :ISPD Guidelines/recommendationsCreating and maintaining optimal peritoneal dialysis access in the adult patient : 2019 update.John H. Crabtree et al. Peritoneal Dialysis International. https://doi.org/10.3747/pdi.2018.00232Au nom de la communauté néphrologique francophone nous remercions chaleureusement l'ISPD de nous avoir accordé l'autorisation de réaliser cette traduction. Cette traduction adhère au copyright de la version originale anglaise. Ce(tte) œuvre est mise à disposition selon les termes de la Licence Creative Commons Attribution - Pas d'Utilisation Commerciale - Pas de Modification 4.0 International.


Author(s):  
William J. Lamoreaux ◽  
David L. Smalley ◽  
Larry M. Baddour ◽  
Alfred P. Kraus

Infections associated with the use of intravascular devices have been documented and have been reported to be related to duration of catheter usage. Recently, Eaton et al. reported that Staphylococcus epidermidis may attach to silastic catheters used in continuous ambulatory peritoneal dialysis (CAPD) treatment. The following study presents findings using scanning electron microscopy (SEM) of S. epidermidis adherence to silastic catheters in an in vitro model. In addition, sections of polyvinyl chloride (PVC) dialysis bags were also evaluated by SEM.The S. epidermidis strain RP62A which had been obtained in a previous outbreak of coagulase-negative staphylococcal sepsis at local hospitals was used in these experiments. The strain produced surface slime on exposure to glucose, whereas a nonadherent variant RP62A-NA, which was also used in these studies, failed to produce slime. Strains were grown overnight on blood agar plates at 37°C, harvested from the surface and resuspended in sterile saline (0.85%), centrifuged (3,000 rpm for 10 minutes) and then washed twice in 0.1 M phosphate-buffered saline at pH 7.0. Organisms were resuspended at a concentration of ca. 106 CFU/ml in: a) sterile unused dianeal at 4.25% dextrose, b) sterile unused dianeal at 1.5% dextrose, c) sterile used dialysate previously containing 4.25% dextrose taken from a CAPD patient, and d) sterile used dialysate previously containing 1.5% dextrose taken from a CAPD patient.


Mycoses ◽  
2002 ◽  
Vol 45 (3-4) ◽  
pp. 120-122 ◽  
Author(s):  
S. Cinar ◽  
A. Nedret Koc ◽  
H. Taskapan ◽  
A. Dogukan ◽  
B. Tokgoz ◽  
...  

Author(s):  
Outi Kalla ◽  
Jarl Wahlström ◽  
Jukka Aaltonen ◽  
Juha Holma ◽  
Pentti Tuimala ◽  
...  

Identifier avec précision les troubles schizophréniques a toujours été un problème complexe et controversé. Les caractéristiques psychologiques de la schizophrénie ont donné lieu à un volume considérable de travaux et de débats. Ces dernières années sont apparus un nombre croissant d'articles portant sur les différences et similitudes des manifestations de la psychose selon les cultures, partant de l'idée que les caractéristiques de personnalité nationales pourraient contribuer aux tableaux psychopathologiques. Le but premier de cette étude est de mieux comprendre les troubles psychotiques par l'investigation de la structure de personnalité et du fonctionnement de patients faisant un premier épisode psychotique. Le second objectif est de décrire les différences et similitudes observées dans les réponses au Rorschach de patients finlandais et espagnols afin de mettre en évidence des caractéristiques nationales et de contribuer ainsi à la recherche Rorschach interculturelle. Ont été inclus 41 protocoles de patients finlandais hospitalisés de manière consécutive pour premier épisode psychotique, et 32 en Espagne. Le travail a porté sur un certain nombre d'indicateurs de difficultés d'ajustement tirés du résumé formel du Rorschach en Système intégré ( Weiner & Exner, 1991 ). Tous les patients avaient été diagnostiqués comme schizophrènes ou souffrant d'autres troubles fonctionnels psychotiques non affectifs selon le DSM-IV. Les Rorschach ont été administrés en Système intégré aussitôt que possible après leur admission mais après la phase aiguë. La comparaison des groupes finlandais et espagnol, loin de montrer des différences significatives, étaient similaires sur beaucoup de points. Ces résultats confirment des données déjà bien établies sur les structures et mécanismes des patients psychotiques, mais ils en interrogent d'autres. Les patients obtiennent plus de styles ambiéquaux et moins d'introversifs que prévu. Beaucoup d'entre eux manquent de compétences sociales, d'intérêt pour les relations interpersonnelles et semblent avoir une vie sociale insatisfaisante. On observe des signes de difficultés dans le contrôle émotionnel et de modulation des affects, des traits dépressifs, une détresse émotionnelle, et peu de capacités de coping. Les résultats soulignent la notion que les problèmes affectifs et les traits dépressifs devraient être considérés comme un élément important dans un premier épisode psychotique, et ils confirment la présence de déficits cognitifs survenants tôt dans l'histoire d'un trouble psychotique. On a rencontré moins de dysfonctionnements idéationnels que prévu. Les deux groupes de patients se différenciaient sur certaines variables Rorschach, en particulier celles qui concernent la perception de soi. Les patients finlandais sont plus souvent centrés sur eux-mêmes de faç on excessive, plus préoccupés d'eux-mêmes et plus enclins M l'introspection. La majorité des patients espagnols manifestent un sentiment de valeur de soi négatif. Ils disposent de moins de ressources et ont plus souvent des déficits en capacité de coping. En admettant que ces résultats sont dus à des différences dans les caractéristiques de personnalité des patients psychotiques en Finlande et en Espagne, plutôt que des différences nationales dans la manifestation au Rorschach de structures de personnalité en fait identiques, alors ces données pourraient bien nous permettre de repérer des différences interculturelles de personnalité. Toutefois, l'impact des facteurs culturels est difficile M évaluer, surtout s'agissant d'une psychopathologie aussi sévère que la psychose, et la seule faç on d'avancer dans la compréhension de cette question serait de recueillir plus de données Rorschach interculturelles sur des patients psychotiques.


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