scholarly journals Etude épidémiologique et clinique sur les encéphalites aigües chez les enfants âgés de 0 à 15 ans dans le Département de pédiatrie CHU Gabriel Toure.

Author(s):  
O Coulibaly ◽  
F Dicko Traore ◽  
AK Doumbia ◽  
HG Diall ◽  
AA Diakité ◽  
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Introduction : Les encéphalites aigües sont une cause majeure de morbidité et de mortalité en pédiatrie ; le but   de notre étude était d'étudier les aspects épidémiologiques et cliniques des encéphalites aigües chez les enfants âgés de 0 à 15 ans dans le département de pédiatrie du CHU Gabriel Toure. Méthodologie : Il s'est agi d'une étude descriptive sur 12 mois du 1er Janvier au 31 Décembre 2015 au département de pédiatrie du CHU Gabriel Toure Bamako Mali. Tous les dossiers présentant une  encéphalite aigüe ont été inclus. Résultats : Ainsi 34 dossiers d'enfants présentant une encéphalite aigüe sur un total de 4727 hospitalisés en pédiatrie ont été analysés soit une fréquence de 0,72%. Environ Quarante sept pour cent (47,1%) des enfants avaient un âge compris entre 12 et 59 mois. Le sex- ratio était de 1,8 en faveur des garçons ; la fièvre plus la convulsion étaient présente dans 70,6%, suivie du coma 41,2%. Le taux de mortalité était 6%, et 64,7% ont gardés des séquelles neurologiques. Conclusion : Les encéphalites aigües constituent une cause importante  de séquelles neurologiques chez l'enfant  à cause des difficultés diagnostiques et de prise en charge

Author(s):  
AK Doumbia ◽  
B Togo ◽  
P Togo ◽  
F Traore ◽  
O Coulibaly ◽  
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Objectif : Ce travail visait à étudier la morbidité et la mortalité chez les enfants âgés de 01 à 59 mois hospitalisés dans le service de pédiatrie générale du CHU Gabriel Touré.Matériels et Méthodes : Il s'agissait d'une étude rétrospective, descriptive, sur une période de 12 mois allant du 1er  janvier au 31 décembre 2013.Résultats : Nous avons inclus 1625 enfants âgés de 01 à 59 mois soit 58% des patients hospitalisés. Le tiers des patients avait moins d'un an. Les garçons représentaient 57 % de notre échantillon avec un sex ratio de 1,33. La majorité des patients (83%) était issu de milieu social défavorisé. Les principaux diagnostics retrouvés étaient le paludisme (45%), les infections respiratoires aiguës (20,30%), et la malnutrition aiguë sévère (20,06%). Les patients guéris représentaient 82,3% et le taux de mortalité était estimé à 3,3%. La majorité des patients décédés était des filles (51%). Les décès étaient plus fréquents en juillet et aout. Les trois principales causes de décès étaient la malnutrition (47%), le paludisme (32%) et les infections respiratoires aigües (19%). Nous avons enregistré 48 sorties contre avis médical (3%) et 81 cas d'évasion (5%).Conclusion : La morbidité et la mortalité en pédiatrie restent préoccupantes dans notre pratique. Elles sont liées à des affections pour la plupart évitables par l'information, l'éducation et la communication.Mots clés : morbidité, mortalité, enfants, pédiatrie, Bamako.


2021 ◽  
Vol 16 (2) ◽  
pp. 32-35
Author(s):  
M Savadogo ◽  
I Diallo ◽  
AE Diendéré ◽  
KA Sondo ◽  
A Sawadogo

Les sepsis constituent un problème de santé publique dans le monde, particulièrement dans les pays en développement. Cette étude a pour objectif de décrire les caractéristiques épidémiologiques, cliniques, et évolutives des sepsis observés au service des maladies infectieuses du CHU Yalgado Ouédraogo. Patients et méthode : il s’agit d’une étude transversale descriptive à collecte rétrospective portant sur les patients souffrant de sepsis hospitalisés dans le service des maladies infectieuses du CHU Yalgado Ouédraogo de Ouagadougou du 1er janvier 2015 à 31 décembre 2019. Résultats : Un total de 81 dossiers a été colligé. Les patients provenaient majoritairement de la ville de Ouagadougou (96%). L’âge moyen était de 32 ans±9. Quarante-sept patients étaient de sexe masculin contre 34 de sexe féminin soit un sex ratio =1,4. Douze pour cent des patients étaient infectés par le VIH. Sur le plan clinique, la fièvre était retrouvée chez 63% de nos patients. La fréquence cardiaque était supérieure à 90 cycles/mn chez 73% des patients ; la fréquence respiratoire était supérieure à 20 cycles/mn chez 80% des patients ; une leucopénie (300 à 3 300/mm3) a été retrouvée chez 17%. L’hyperleucocytose (12 000 à 31 480/mm3) a été retrouvée chez 10%. Les signes de sévérité du sepsis étaient retrouvés chez 29,6% des patients. Les signes de gravité étaient dominés par les défaillances des fonctions supérieures (obnubilation ou coma) et les défaillances de la coagulation (thrombopénie inférieure à 100 000/mm3). Les causes de sepsis étaient dominées par la dengue (42%), le paludisme (23%), et les infections bactériennes (14%). Les bactéries isolées à l’hémoculture étaient dominées par les entérobactéries (41,6%) dont la moitié était productrice de Bétalactamase à spectre élargi (BLSE). Une souche productrice de carbapénèmase a été observée parmi les souches d’Escherichia coli. Seize pour cent des souches bactériennes étaient des souches de Staphylococcus aureus dont une souche méticillinorésistante (SARM). Vingt-deux décès ont été enregistrés soit une létalité de 27%.  Conclusion : la dengue, le paludisme et les infections bactériennes étaient les causes les plus fréquentes de sepsis dans le service des maladies infectieuses. La prévalence élevée de souches productrices BLSE, et l’émergence de souche résistantes aux carbapénèmes sont préoccupantes et imposent la prise de mesure visant à améliorer l’hygiène hospitalière et la prescription des antibiotiques. Aussi la gravité des sepsis commande la mise en place d’unités de soins intensifs dans les services de maladies infectieuses pour leur prise en charge.


2020 ◽  
Vol 15 (1) ◽  
pp. 10-17
Author(s):  
M Diallo ◽  
D Kourouma ◽  
Y Sogoba ◽  
D Kanikomo

Introduction : Les abcès cérébraux  peuvent devenir graves s'ils sont non ou insuffisamment traités. La prise en charge inclue le traitement correct de la porte d'entrée. Celle-ci n'est pas toujours retrouvée. Nous rapportons notre expérience sur la prise en charge des abcès cérébraux à porte d'entrée non retrouvée à l'issue duquel nous proposerons un algorithme décisionnel de traitement. Patients et méthode : Il s'agit d'une étude retrospective et descriptive allant de novembre 2014 à décembre 2016. Elle a concerné les patients de tous âges traités dans le service de neurochirurgie du CHU Gabriel Touré pour un abcès cérébral chez qui le foyer initial n'a pas été retrouvé. Les paramètres cliniques, radiologiques et thérapeutiques ont été étudiés.  Résultats :Durant notre période d'étude, les abcès cérébraux à point de départ non trouvé ont représenté 33,3% de tous les abcès cérébraux et 63,6% des abcès cérébraux opérés. L'âge moyen des patients était de 45 ans avec un sex ratio de 0,7. Tous nos patients étaient immunocompétents. La fièvre et l'hypertension intracranienne étaient les principaux signes. La lésion était de siège frontal et temporal principalement. Tous les patients ont bénéficié d'une ponction chirurgicale avec drainage d'abcès associé à une triantibiothérapie. L'évolution était défavorable dans 28,6% des cas (recollection d'abcès) et satisfaisante dans 71,4% des cas. La mortalité était nulle. Conclusion : La très bonne évolution clinique et radiologique après le traitement n'est une gage de la guérison d'un abcès du cerveau tant que le foyer infectieux initial n'est retrouvé et convenablement traité


2021 ◽  
Vol 10 (02) ◽  
Author(s):  
Doumbia Abdoul Karim

Introduction: La malnutrition, complication fréquente de l'évolution des cancers est à la fois un problème médical et un problème social. L'objectif était de déterminer les aspects épidémiologiques, cliniques et évolutifs des enfants atteints de malnutrition à l'unité d'oncologie pédiatrique. Méthodologie: Il s'agissait d'une étude rétro-prospective sur des patients âgés de moins de 5 ans atteints de malnutrition et suivis dans l'unité d'oncologie pédiatrique (UOP) du 1er janvier au 30 juin 2019. Les données anthropométriques (rapport poids/taille, périmètre brachial) ont été évaluées au moment du diagnostic. La malnutrition était définie par une émaciation accompagnée ou non d'œdème. Résultats : La prévalence de la malnutrition en oncologie pédiatrique était de 34%. L'âge moyen était de 30 mois avec un sex-ratio de 1. La majorité (94%) des patients provenaient de milieu socio-économique défavorisé. Le délai moyen de consultation était de 10 semaines. Sur la base de l'indice poids/taille, 63% des patients avaient une malnutrition sévère et 37% une malnutrition modérée. Le périmètre brachial était inférieur à la normale dans 81% des cas. Les cancers les plus fréquents étaient le rétinoblastome, la leucémie et le néphroblastome. Le taux de mortalité était de 44%. Conclusion: Les enfants atteints de cancer sont à haut risque de dénutrition, d'où l'importance de déterminer les différents facteurs de risque et d'élaborer un protocole de prise en charge nutritionnelle dans leurs protocoles thérapeutiques.


2019 ◽  
pp. 7-13
Author(s):  
H Diall ◽  
A Dembélé ◽  
YI Touré ◽  
B Maïga ◽  
ME Cissé ◽  
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Introduction : Au Mali, les unités de récupération et d'éducation nutritionnelle intensive ont été créées partout sur le territoire et celle de la pédiatrie du CHU Gabriel TOURE a commencé ses activités en Mai 2010. L'objectif de notre étude était d'analyser les facteurs influençant les indicateurs de performance chez les enfants de moins de 5 ans à l'URENI de la Pédiatrie du CHU Gabriel TOURE. Matériel et Méthodes : Etude transversale, descriptive et analytique, elle s'est déroulée sur une période de 6 mois (du 01 juin au 30 novembre 2016). Tous les enfants malnutris sévères de moins de 5 ans hospitalisés ont été inclus. Résultats : Pendant la période d'étude, 4724 enfants ont été hospitalisés dans le service, 259 cas de malnutrition aigüe sévère soit 5,5%. La tranche d'âge 12-23 mois était la plus représentée avec 44,79%. Le sex-ratio était de 0,90. Les patients étaient exclusivement allaités au sein (76,06 %) avant l'âge de 6 mois et 36,68% n'avaient pas bénéficié d'aliments de supplément après 6 mois. Le motif de consultation le plus fréquent était l'anorexie (66,79%). Le marasme était la forme de malnutrition la plus représentée (87,65 %). L'échec au test de l'appétit était la principale complication de la prise en charge avec 42,86 % des cas Les traités avec succès étaient de 54,83%. Nous avons enregistré 18,53% d'abandon de traitement. Il y'avait une association statistiquement significative entre les traités avec succès et la profession du père (OR = 2,7 ; p = 0,028). L'association entre le décès et les complications était statistiquement significative (OR = 21,345 ; p = 0,001). Il y'avait une association statistiquement significative entre l'abandon du traitement et les problèmes financiers (OR = 3,037 ; p = 0,005). Le taux de décès était de 23,55%. Conclusion : Les problèmes financiers des parents et l'association des complications (pathologies graves) constituent des facteurs qui influencent considérablement sur les indicateurs de performance.


Author(s):  
B MAIGA ◽  
B Togo ◽  
H Diall ◽  
P TOGO ◽  
AK Doumbia ◽  
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Introduction : Les détresses respiratoires sont une cause majeure de morbidité et de mortalité en pédiatrie ; l'objectif de notre étude était d'étudier les aspects épidemiocliniques des détresses respiratoires chez les enfants âgés de 1 à 59 mois dans le service de pédiatrie de CHU. Gabriel Toure.Méthodologie : Il s'agit d'une étude transversale descriptive sur douze mois du 1er au 31 décembre 2012 au service de pédiatrie du CHU Gabriel Touré Bamako Mali. Tous les enfants de 1 à 59 mois présentant une détresse respiratoire ont été inclus.Résultats : Ainsi 678 dossiers d'enfants en détresse respiratoire sur un total de 2241 hospitalisés en pédiatrie ont été analysés soit un taux d'admission de 30,25%. 64,75% des enfants avaient un âge compris entre 1 et 11 mois. Le sex-ratio était de 1,38 en faveur des garçons; les signes de lutte respiratoire (battement des ailes du nez, tirage intercostal et le geignement) étaient présents dans 96,22%. La pathologie pulmonaire la plus fréquente était la pneumonie (68,36%) celle extra-pulmonaire était le paludisme grave (11,80%). Le taux de mortalité était de 20,65%.Conclusion : les détresses respiratoires restent une importante cause de mortalité du nourrisson dans notre contexte avec des problèmes majeurs de prise en chargeMots clés : Détresse respiratoire, Santé publique, Pédiatrie


Author(s):  
Gilbert Fabrice Otiobanda ◽  
Christ Mayick Mpoy Emy Monkessa ◽  
Marie Elombila ◽  
Hugues Brieux Ekouele Mbaki ◽  
Gilles Niengo Outsouta ◽  
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Contexte : Le traumatisé grave (TG) est un patient ayant subi un traumatisme violent quelles que soient les lésions apparentes. Aucune donnée épidémiologique n’a été retrouvée au Congo-Brazzaville. L’objectif était de décrire les aspects épidémiologiques, cliniques et évolutifs des TG au CHU de Brazzaville (CHU-B). Matériels et méthodes : L’étude était rétrospective en 30 mois sur 82 TG en réanimation. Les variables épidémiologiques, cliniques et évolutives étaient analysées sur Excel 2016. Résultats : L’âge moyen était de 37,2 ± 16,4 ans (sex-ratio : 4,1). Les patients étaient transférés des urgences dans 48,8 %. Les accidents de la voie publique (82,9 %) constituaient la circonstance traumatique la plus fréquente. Le Glasgow moyen était de 10,1 ± 4,1. La détresse respiratoire et l’état de choc étaient respectivement observés dans 35,4 % et 17,1 %. La tête (76,8 %) et le thorax (41,5 %) étaient les régions les plus touchées. Les complications étaient retrouvées dans 34,1 %. Le taux de mortalité était de 42,7 %. La détresse neurologique (62,9 %) était la principale cause de décès. La durée médiane d’hospitalisation était de 5 jours. Conclusion : Le TG occupe 5,7 % des admissions en réanimation. Il touche une population juvénile masculine victime d’AVP. La tête et le thorax étaient les plus touchés. La mortalité est très élevée.


2021 ◽  
Vol 10 (02) ◽  
pp. 12-16
Author(s):  
Doumbia Abdoul Karim

Introduction : Les convulsions sont le trouble neurologique pédiatrique le plus courant. L'objectif de ce travail était de décrire les aspects sociodémographiques, cliniques, thérapeutiques, et évolutifs. Méthodologie : Il s'agissait d'une étude transversale réalisée dans le service de pédiatrie générale du CHU-Gabriel Touré. Elle s'est déroulée sur une période de 02 ans allant de janvier 2017 à décembre 2018. Nous avons inclus tous les enfants âgés de 1 à 59 mois hospitalisés dans le service pour convulsion. Résultats : les convulsions représentaient 11% des hospitalisations. L'âge moyen était de 29 +/- 17 mois. La fièvre était présente chez 86% des patients. La ponction lombaire avait été réalisée chez 65% des patients. Elle avait révélé un liquide céphalorachidien (LCR) trouble chez 2% des patients. Le taux leucocytes dans le LCR était anormalement élevé chez 20% des patients. L'hypoglycémie était présente chez 14 patients. La calcémie était basse chez 3 patients. Les principales étiologies étaient le paludisme 70%, la méningite 20%, et la déshydratation 13%. Conclusion : les convulsions aiguës sont des affections très courantes en pédiatrie qui nécessitent une prise en charge précoce et adaptée. Les étiologies sont dominées par le paludisme et la méningite.


Author(s):  
MB Boushab ◽  
FZ Fall-Malick ◽  
M Savadogo ◽  
MS Sow ◽  
L Basco

En Mauritanie, comme dans de nombreux pays africains, le paludisme reste la première cause d'hospitalisation en pratique pédiatrique courante.Objectif : Analyser les aspects épidémiologiques, cliniques, évolutifs et les facteurs de mauvais pronostic liés au paludisme grave des enfants hospitalisés dans le service de pédiatrie du centre hospitalier régional d'Aïoun.Patients et méthodes : Il s'agissait d'une étude rétrospective portant sur les dossiers des enfants hospitalisés dans le service de pédiatrie du centre hospitalier régional d'Aïoun du 1er janvier au 31 décembre 2013.Résultats : Au total, 64 enfants étaient hospitalisés pour un paludisme grave (46,3%). Le sex ratio était de 2,07 en faveur des garçons. La tranche d'âge 6 mois – 5 ans était la plus touchée (60,9%). L'automédication était retrouvée dans 29,7% des cas. Les formes neurologiques (60,9%) et les formes anémiques (42,2%) représentaient les premières manifestations cliniques. La létalité globale était de 12,5%. Les facteurs de  mauvais  pronostic étaient : l'âge, inférieur à cinq ans et l'existence de crises convulsives, d'un coma, d'un syndrome de détresse respiratoire ou de la prostration.Conclusion : L'amélioration du pronostic du paludisme grave repose sur une amélioration d'équipement de salle de réanimation, mais aussi sur un diagnostic et une prise en charge thérapeutique précoces et adéquates. Mots Clés : Paludisme grave – Automédication - Enfants – Pronostic – Mauritanie


1997 ◽  
Vol 50 (4) ◽  
pp. 343-349
Author(s):  
M. Mourad ◽  
A.S. Bah ◽  
G. Gbanamou

Cet article traite de la productivité et de la mortalité de la poule de race locale en milieu villageois (plateau du Sankaran). La productivité de cette poule était très modeste, caractérisée par le nombre d'œufs par couvée (10,05 + ou - 0,15) et le nombre de couvées par an (3,8 + ou - 0,07). Le taux d'éclosion des œufs a varié de 42 à 100 %. Le poids moyen des œufs était de 30,7 + ou - 0,03 g. Le poids moyen des poussins éclos était de 22,8 + ou - 0,23 g. Le taux de fertilité s'est élevé à 87,5 % et le taux de viabilité des poussins d'un jour était de 89,31 %. La maladie de Newcastle et la typhose pullorose étaient les principales causes de mortalité chez les poules et les poussins (plus de 60 % des pertes). Le taux de mortalité brut annuel s'est élevé à 80 % chez les poules et à 73,16 % chez les poussins. Le taux de mortalité brut saisonnier s'est élevé notamment pendant les saisons humide et froide. L'effet de la saison sur la mortalité des poules et des poussins observé au moyen du test du chi2 était très significatif (P < 0,005). Les coefficients de corrélation et la détermination entre ces deux variables n'étaient pas significatifs (P > 0,05) et étaient respectivement de -0,639 et 0,4081. L'intervalle de confiance du coefficient de corrélation était de -0,639 + ou - 1,7384. L'effet des saisons sur le taux d'éclosion n'était pas significatif (P > 0,05). Les effets des saisons, des maladies et leur interaction étaient très significatifs (P < 0,005) sur le taux de mortalité des poussins. Le sex-ratio coq/poule était de 38 %. Les éleveurs ont gardé 28 % des volailles pour le renouvellement du cheptel.


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