scholarly journals Exploring the Interdisciplinary Roles of Dermatologists and Psychiatrists in the Management of Excoriation (Skin-picking) Disorder

2015 ◽  
Vol 5 (2) ◽  
pp. 50-54
Author(s):  
Danielle Mintsoulis
Keyword(s):  
Treatment Options ◽  
Mental Health Disorder ◽  
Santé Mentale ◽  
Statistical Manual ◽  
Diagnostic And Statistical Manual ◽  
Dsm 5 ◽  
Troubles Mentaux ◽  
Clinically Significant ◽  
Skin Picking Disorder ◽  
Sante Mentale

ABSTRACT:Excoriation disorder is a mental health disorder characterized by excessive picking of one’s skin resulting in clinically significant functional impairment. Diagnosing this condition has been historically challenging due to the varied associated behaviours and lack of inclusion in the Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders (DSM). As dermatologists and psychiatrists are the specialists most likely to encounter these individuals, this article discusses the new DSM-5 criteria and outlines the approaches and treatment options for these specialists to optimally manage patients with excoriation disorder.RÉSUMÉ:L’acné excoriée est un trouble de santé mentale caractérisé par le grattage et l’arrachage excessif de la peau qui mènent à une dysfonction clinique significative. Le diagnostic précis de cette condition demeure un défi lorsqu’on tient compte de la variété des comportements qui y sont associés et le manque d’inclusion des caractéristiques de ce problème de santé dans le DSM(Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux). Étant donné que les dermatologues et les psychiatres sont les spécialistes les plus susceptibles de traiter ces problèmes de santé mentale, cet article présente les nouveaux critères du DSM-5 et décrit les grandes lignes cliniques, les approches nécessaires et les options de traitement afin que ces spécialistes puissent intervenir auprès des patients avec l’acné excoriée de façon optimale.

scholarly journals La démarche et les outils d’évaluation clinique du trouble du spectre de l’autisme à l’ère du DSM-5

2017 ◽  
Vol 46 (1) ◽  
pp. 73-97
Author(s):  
Mélanie Bolduc ◽  
Nathalie Poirier
Keyword(s):  
American Psychiatric Association ◽  
Santé Mentale ◽  
Dsm 5 ◽  
Troubles Mentaux ◽  
Diagnostic Clinique ◽  
Outils D’Évaluation ◽  
Critères Diagnostiques ◽  
Sante Mentale

Le trouble du spectre de l’autisme (TSA) est un trouble complexe caractérisé par des difficultés sociales et communicationnelles et par des comportements ou intérêts restreints ou répétitifs (American Psychiatric Association [APA], 2013). Le profil clinique des enfants touchés par le TSA varie tout au long de leur développement en fonction de la présentation des symptômes, de même que par la manifestation de troubles associés, complexifiant ainsi la démarche d’évaluation diagnostique. Pour émettre un diagnostic en santé mentale, les spécialistes s’appuient majoritairement sur le Manuel Statistique et Diagnostique des Troubles Mentaux, dont la plus récente version comporte d’importants changements quant à la définition et nomenclature du TSA ([DSM-5]; APA, 2013). En dépit du DSM-5, plusieurs outils d’évaluation s’offrent aux cliniciens pour appuyer leur démarche évaluative et améliorer la précision de leur diagnostic clinique. Parmi la grande variété disponible, il peut s’avérer difficile de choisir des outils d’évaluation adaptés à la situation du jeune évalué (p.ex., âge, intensité des symptômes, langue parlée, etc.), possédant des qualités psychométriques satisfaisantes et s’arrimant avec les critères diagnostiques de la dernière version du DSM. L’objectif de cet article est de présenter la démarche d’évaluation du TSA, ainsi que de décrire et d’analyser les outils d’évaluation du TSA recommandés par les meilleures pratiques et couramment employés par les cliniciens exerçant auprès d’une population à risque de présenter ce trouble. Spécifiquement, il vise à faire une revue critique s’articulant autour des caractéristiques (objectif poursuivi, population ciblée, validations et langues offertes), des propriétés psychométriques et de la pertinence de ces outils d’évaluation en regard aux critères du TSA conformément au DSM-5. Enfin, la démarche, les outils d’évaluation à privilégier et certaines considérations cliniques sont proposés en conclusion.

Dominique Interactif pour Adolescents-Révisé, dépression, comorbidité et suicidalité

2020 ◽  
Vol 59 (2) ◽  
pp. 148-155
Author(s):  
Lise Bergeron ◽  
Elissa Zavaglia ◽  
Claude Berthiaume ◽  
Réal Labelle
Keyword(s):  
Santé Mentale ◽  
Dsm 5 ◽  
Troubles Mentaux ◽  
Problemes Interiorises ◽  
Sante Mentale

Le Dominique Interactif pour Adolescents-Révisé (DIA-R) est un instrument multimédia et auto-administré par les adolescents. Le DIA-R a été conçu pour dépister la dépression, plusieurs autres problèmes intériorisés ou extériorisés, les traits de la personnalité limite et la suicidalité. Cet instrument permet aussi d’évaluer la comorbidité entre différents problèmes de santé mentale. Le DIA-R mesure des symptômes ou des critères définis selon la cinquième édition du Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM-5). Cet article porte sur le contenu, la fidélité, la validité et l’utilité du DIA-R dans une perspective de prévention. Les qualités psychométriques de l’instrument ont été vérifiées dans une étude réalisée auprès de 447 adolescents francophones et anglophones âgés de 12 à 15 ans recrutés dans des écoles et des établissements cliniques de Montréal (Québec, Canada). Les coefficients de fidélité (cohérence interne, fidélité par test-retest) étaient excellents ou modérés. L’analyse de la validité de critère a clairement démontrée la capacité du DIA-R à prédire la dépression, la suicidalité ou d’autres conditions psychopathologiques évaluées par des mesures utilisées comme critères externes de validation. L’identification de la dépression, de la suicidalité ou d’autres formes de psychopathologie, au début de l’adolescence, demeure un enjeu majeur pour les cliniciens et les chercheurs. Le DIA-R pourrait être utile à tous les niveaux du continuum des services en santé mentale des adolescents (écoles, Centres jeunesse, cliniques de psychiatrie), dans le but de proposer des interventions appropriées contribuant ainsi à prévenir l’aggravation des problèmes de santé mentale et ultimement le suicide complété.

scholarly journals A case of clozapine-induced skin picking behaviour

2018 ◽  
Vol 31 (2) ◽  
pp. e000012
Author(s):  
Balaswamy Reddy ◽  
Soumitra Das ◽  
Srinivas Guruprasad
Keyword(s):  
American Psychiatric Association ◽  
De Novo ◽  
Dose Titration ◽  
Obsessive Compulsive ◽  
Skin Picking ◽  
Statistical Manual ◽  
Compulsive Disorder ◽  
Diagnostic And Statistical Manual ◽  
Dsm 5 ◽  
Skin Picking Disorder

There is some evidence consistently linking the occurrence of de novo obsessive-compulsive disorder (OCD) with clozapine. This skin-picking disorder is also known as impulsive-compulsive disorder-unspecified which with an increasing convergence with OCD has been placed in the current Diagnostic and statistical manual of mental disorders-fifth edition by American Psychiatric Association (DSM-5), in the category of the obsessive-compulsive and related disorders. To the best of our knowledge, there is no literature relating antipsychotics like clozapine with the occurrence of skin-picking behaviour. In this article, we present a case in whom skin-picking behaviour emerged during the upward dose titration of clozapine and was successfully treated with escitalopram.

Comparison of Alcohol Use Disorders in DSM and ICD

2020 ◽  
Vol 66 (3) ◽  
pp. 143-153
Author(s):  
Jessica W. M. Wong ◽  
Friedrich M. Wurst ◽  
Ulrich W. Preuss
Keyword(s):  
Alcohol Use Disorders ◽  
International Classification Of Diseases ◽  
Clinical Use ◽  
Diagnostic Systems ◽  
Statistical Manual ◽  
Diagnostic And Statistical Manual ◽  
Dsm 5 ◽  
Classification Of Diseases ◽  
Historical Developments

Abstract. Introduction: With advances in medicine, our understanding of diseases has deepened and diagnostic criteria have evolved. Currently, the most frequently used diagnostic systems are the ICD (International Classification of Diseases) and the DSM (Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders) to diagnose alcohol-related disorders. Results: In this narrative review, we follow the historical developments in ICD and DSM with their corresponding milestones reflecting the scientific research and medical considerations of their time. The current diagnostic concepts of DSM-5 and ICD-11 and their development are presented. Lastly, we compare these two diagnostic systems and evaluate their practicability in clinical use.

Angststörungen – von der ICD-10 zur ICD-11

2020 ◽  
pp. 1-5
Author(s):  
Timo D. Vloet ◽  
Marcel Romanos
Keyword(s):  
Mental Disorders ◽  
International Classification Of Diseases ◽  
International Classification ◽  
Statistical Manual ◽  
Diagnostic And Statistical Manual ◽  
Dsm 5 ◽  
Classification Of Diseases ◽  
Icd 10

Zusammenfassung. Hintergrund: Nach 12 Jahren Entwicklung wird die 11. Version der International Classification of Diseases (ICD-11) von der Weltgesundheitsorganisation (WHO) im Januar 2022 in Kraft treten. Methodik: Im Rahmen eines selektiven Übersichtsartikels werden die Veränderungen im Hinblick auf die Klassifikation von Angststörungen von der ICD-10 zur ICD-11 zusammenfassend dargestellt. Ergebnis: Die diagnostischen Kriterien der generalisierten Angststörung, Agoraphobie und spezifischen Phobien werden angepasst. Die ICD-11 wird auf Basis einer Lebenszeitachse neu organisiert, sodass die kindesaltersspezifischen Kategorien der ICD-10 aufgelöst werden. Die Trennungsangststörung und der selektive Mutismus werden damit den „regulären“ Angststörungen zugeordnet und können zukünftig auch im Erwachsenenalter diagnostiziert werden. Neu ist ebenso, dass verschiedene Symptomdimensionen der Angst ohne kategoriale Diagnose verschlüsselt werden können. Diskussion: Die Veränderungen im Bereich der Angsterkrankungen umfassen verschiedene Aspekte und sind in der Gesamtschau nicht unerheblich. Positiv zu bewerten ist die Einführung einer Lebenszeitachse und Parallelisierung mit dem Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders (DSM-5). Schlussfolgerungen: Die entwicklungsbezogene Neuorganisation in der ICD-11 wird auch eine verstärkte längsschnittliche Betrachtung von Angststörungen in der Klinik sowie Forschung zur Folge haben. Damit rückt insbesondere die Präventionsforschung weiter in den Fokus.

PsyCoLaus: une étude prospective des liens entre la santé mentale et les maladies cardiovasculaires

Praxis ◽  
2020 ◽  
Vol 109 (1) ◽  
pp. 9-12
Author(s):  
Martin Preisig ◽  
Marie-Pierre F. Strippoli ◽  
Caroline L. Vandeleur
Keyword(s):  
Nous Avons ◽  
Facteurs De Risque ◽  
Santé Mentale ◽  
Syndrome Métabolique ◽  
Maladies Cardiovasculaires ◽  
Étude Prospective ◽  
Troubles Mentaux ◽  
Sante Mentale

Résumé. PsyCoLaus, comportant une investigation de la santé mentale et du fonctionnement cognitif, vise à déterminer la prévalence et l’évolution des troubles mentaux et à étudier les mécanismes qui sous-tendent l’association entre ces troubles et les maladies cardiovasculaires. Cette investigation a mis en évidence un taux de prévalence vie-entière très élevé de 43,6 % pour les troubles dépressifs majeurs à Lausanne. Nous avons également observé que l’association entre la dépression et les facteurs de risque cardio-métaboliques est essentiellement attribuable au sous-type de dépression atypique, caractérisé par une augmentation de l’appétit, une lourdeur dans les membres, une hypersomnie et une réactivité affective conservée. Les patients présentant ce type de dépression ont un risque élevé de développer du surpoids, du diabète et un syndrome métabolique et méritent une attention particulière au niveau métabolique.

Diagnoses, Dimensions, and DSM-5

2010 ◽  
pp. 254-279
Author(s):  
Thomas A. Widiger ◽  
Maryanne Edmundson
Keyword(s):  
Substance Use ◽  
Mental Disorders ◽  
Paradigm Shift ◽  
Empirical Support ◽  
Statistical Manual ◽  
Diagnostic And Statistical Manual ◽  
Dsm 5 ◽  
Dimensional Classification ◽  
Diagnosis And Classification

The Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders, Third Edition (DSM-III) is often said to have provided a significant paradigm shift in how psychopathology is diagnosed. The authors of DSM-5 have the empirical support and the opportunity to lead the field of psychiatry to a comparably bold new future in diagnosis and classification. The purpose of this chapter is to address the validity of the categorical and dimensional models for the classification and diagnosis of psychopathology. Considered in particular will be research concerning substance use disorders, mood disorders, and personality disorders. Limitations and concerns with respect to a dimensional classification of psychopathology are also considered. The chapter concludes with a recommendation for a conversion to a more quantitative, dimensional classification of psychopathology.

scholarly journals Un cadre de référence pour soutenir l’action en santé mentale des populations

2017 ◽  
Vol 42 (1) ◽  
pp. 105-123 ◽  
Author(s):  
Pascale Mantoura ◽  
Marie-Claude Roberge ◽  
Louise Fournier
Keyword(s):  
Santé Publique ◽  
Promotion De La Santé ◽  
Santé Mentale ◽  
Troubles Mentaux ◽  
Inégalités De Santé ◽  
Services Sociaux ◽  
Sante Mentale ◽  
Sante Publique

Au Québec et ailleurs dans le monde, la préoccupation s’accentue en regard de la santé mentale de l’ensemble de la population et de la nécessité de concentrer plus d’énergie sur les interventions préventives et de promotion. Il est alors recommandé que les acteurs de santé publique agissent en tant que chef de file de l’action de promotion de la santé mentale et de prévention des troubles mentaux et établissent les partenariats nécessaires avec les acteurs des secteurs de la santé, des services sociaux et des autres secteurs indispensables à l’action en santé mentale. Les acteurs de santé publique au Canada ne sont toutefois pas encore suffisamment soutenus dans ce rôle. Ils expriment, entre autres besoins, celui d’avoir accès à des cadres structurants qui clarifient leur action en santé mentale. Cet article propose un cadre de référence pour soutenir l’action en santé mentale des populations. Ce cadre identifie les différentes dimensions propres à l’intervention en faveur de l’amélioration de la santé mentale de la population et de la réduction des inégalités de santé mentale. L’article illustre enfin comment l’application de la responsabilité populationnelle au niveau local permet de mettre en pratique les différentes dimensions de ce cadre de référence. Ultimement il permet aux acteurs de santé publique de mieux cerner leur action en faveur de la santé mentale des populations.

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