scholarly journals Association des troubles de l’humeur concomitants et des maladies chroniques avec l’incapacité et la qualité de vie en Ontario, Canada

2008 ◽  
Vol 28 (4) ◽  
pp. 166-173
Author(s):  
T. Gadalla

La prévalence des troubles de l’humeur est plus élevée chez les personnes atteintes d’une maladie physique chronique comparativement aux personnes ne souffrant pas d’une telle maladie. Ces troubles augmentent le degré d’incapacité associé à l’affection physique et exercent un effet défavorable sur l’évolution de cette dernière, contribuant ainsi aux difficultés professionnelles, à une perturbation des relations familiales et interpersonnelles, à un mauvais état de santé et au suicide. La présente étude est fondée sur les données recueillies dans l’Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes, cycle 3.1 (2005); elle vise à examiner les facteurs associés aux troubles de l’humeur concomitants et à évaluer leur association avec la qualité de vie des personnes vivant en Ontario. Les résultats ont indiqué que les sujets atteints du syndrome de fatigue chronique, de fibromyalgie, d’un trouble intestinal ou d’ulcères gastriques ou intestinaux présentaient les taux les plus élevés de troubles de l’humeur. La probabilité de présenter un trouble de l’humeur concomitant était plus élevée chez les femmes, les célibataires, les démunis, les personnes nées au Canada et les personnes âgées de 30 à 69 ans. La présence de troubles de l’humeur concomitants était associée de manière significative à l’incapacité de courte durée, au besoin d’aide pour exécuter les activités instrumentales de la vie quotidienne et à l’idéation suicidaire. Il convient d’encourager les dispensateurs de soins à dépister de façon proactive les troubles de l’humeur chez les patients atteints d’une maladie chronique, particulièrement dans les sous-groupes considérés comme étant à risque élevé de présenter de tels troubles.

Author(s):  
C Rusu ◽  
ME Gee ◽  
C Lagacé ◽  
M Parlor

Introduction Peu d’études ont traité, à l’aide de données populationnelles, des facteurs associés de façon indépendante au syndrome de fatigue chronique (SFC) et à la fibromyalgie (FM) ou des répercussions de ces affections sur l’état de santé. Méthodologie Nous avons utilisé les données de l’Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes de 2010 (n = 59 101), représentative de la population à l’échelle nationale, pour décrire les cas autodéclarés de SFC et de FM diagnostiqués par un professionnel de la santé et pour déterminer les associations de ces affections avec six indicateurs de l’état de santé. Résultats En 2010, 1,4 % (intervalle de confiance [IC] à 95 % : 1,3 % à 1,6 %) des Canadiens de 12 ans ou plus vivant à domicile ont déclaré avoir reçu un diagnostic de SFC, 1,5 % (IC à 95 %: 1,4 % à 1,7 %) de FM, et 0,3 % (IC à 95 %: 0,3 % à 0,4 %) a déclaré être atteinte à la fois de SFC et de FM. Les cas de SFC comme ceux de FM étaient plus fréquents chez les femmes, les adultes de 40 ans ou plus, les personnes à faible revenu et les personnes présentant certains facteurs de risque de maladie chronique (obésité, sédentarité et tabagisme). Après ajustement en fonction des différences existant entre les groupes, les personnes ayant déclaré être atteintes du SFC ou de FM ou des deux avaient un moins bon état de santé que les personnes atteintes d’aucune de ces affections pour cinq indicateurs de l’état de santé, mais aucune différence n'a été trouvée entre ces groupes par rapport à l’indicateur de santé mentale. Le fait d’être atteint à la fois du SFC et de FM et de présenter de multiples affections comorbides était associé à un moins bon état de santé. Conclusion La présence concomitante du SFC, de la FM et d’autres affections chroniques était étroitement associée au fait d’avoir un moins bon état de santé, et les différences relatives à l’état de santé étaient dues en bonne partie à la présence concomitante de ces affections. La compréhension des facteurs qui contribuent à l’amélioration de la qualité de vie des personnes atteintes du SFC ou de FM, et en particulier des personnes qui présentent ces deux affections ainsi que diverses affections comorbides, serait un champ important à explorer dans le cadre de travaux de recherche ultérieurs.


Author(s):  
Philippe Landreville ◽  
Jean Vézina

RÉSUMÉL'objectif principal de cette recherche était de déterminer si les embêtements de la vie quotidienne sont plus fortement reliés au bien-être physique et psychologique chez les personnes âgées que les événements majeurs. Les modèles de prédiction du bien-être physique et psychologique ont été déterminés en fonction de la contribution des embêtements et des événements majeurs ainsi que d'autres variables incluant l'évaluation subjective de la santé. Deux cents personnes âgées ont rapporté les événements majeurs des trois dernières années et les embêtements survenus au cours du dernier mois. Les sujets ont également évalué leur état de santé et le degré d'incapacité dans les activités quotidiennes conséquente à chacune de leurs maladies chroniques. Des analyses de régression multiple par étapes ont montré que (1) l'évaluation subjective de la santé, l'incapacité dans les activités quotidiennes et la fréquence des embêtements sont reliées au bien-être physique et que (2) le bien-être psychologique est associé à la fréquence des embêtements, l'âge et l'incapacité dans les activités de la vie quotidienne. La fréquence des événements majeurs récents ne contribue pas significativement à l'un ou l'autre des modèles. Des résultats similaires ont été obtenus selon que l'Échelle des Embêtements ou seulement les items de cette échelle qui ne correspondent pas à des symptômes étaient utilisés dans les analyses de régression. Les résultats suggèrent que la fréquence des embêtements est plus fortement reliée au bien-être chez les personnes âgées que la fréquence des événements majeurs.


2014 ◽  
Vol 34 (4) ◽  
pp. 229-237
Author(s):  
SG Bruce ◽  
ND Riediger ◽  
LM Lix

Introduction Les populations autochtones du Nord canadien subissent des changements rapides dans leur environnement, ce qui peut avoir des effets nuisibles sur leur état de santé. Nous avons voulu comparer les maladies chroniques et les facteurs de risque des populations autochtones du Nord canadien, à savoir les Premières nations, les Inuits et les Métis, avec les populations non autochtones de la même zone. Méthodologie Les données sont tirées de l'Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes de 2005 à 2008. Des modèles de régression logistique multiple pondérée ont servi à analyser l'association entre les groupes ethniques et les résultats de santé. Les covariables du modèle étaient l'âge, le sexe, le territoire de résidence, le niveau de scolarité et le revenu. Nous présentons les rapports de cotes (RC) et nous avons utilisé la méthode d'échantillonnage bootstrap pour calculer les intervalles de confiance (IC) à 95% et les valeurs p. Résultats La probabilité d'avoir au moins une maladie chronique était significativement plus faible chez les Inuits (RC = 0,59; IC à 95 % : 0,43 à 0,81) que chez les non-Autochtones, mais elle était similaire chez les Premières nations, les Métis et les non-Autochtones. La prévalence de nombreux facteurs de risque était significativement différente chez les Inuits, les membres des Premières nations et les Métis. Conclusion Les Autochtones du Nord canadien ont des états de santé hétérogènes. Le maintien d'une surveillance continue des maladies chroniques et des facteurs de risque va jouer un rôle important dans la mesure des évolutions et dans l'évaluation de l'impact des interventions en santé publique les concernant.


Praxis ◽  
2002 ◽  
Vol 91 (38) ◽  
pp. 1531-1539
Author(s):  
Meyer ◽  
Suter ◽  
Laederach-Hofmann

L'insuffisance cardiaque chronique (ICC) limite la qualité de vie (QV) beaucoup plus que d'autres maladies chroniques. Le but de cette évaluation était d'analyser l'influence d'un nouveau programme de rééducation globale ambulatoire en fonction des paramètres somatiques et de la QV chez 51 patients atteints d'ICC. Après la rééducation, la fraction d'éjection ventriculaire gauche ainsi que la classification NYHA et les paramètres de l'endurance submaximale et maximale indiquaient une amélioration significative de 11 et 20%. De plus la distance de marche en six minutes présentait une amélioration d'en moyenne 58% (p<0.0001). La QV (questionnaire Short Form 36) non spécifique à une maladie chronique n'indiquait des améliorations que dans deux de huit échelles subdivisées (capacité de fonction corporelle [valeur d'effet 0.38, p<0.001], fonction liée au rôle [valeur d'effet 0.17, p<0.05]), et le score de la composante psychique [valeur d'effet 0.47, p<0.0001]. La QV spécifique à la ICC (questionnaire Minnesota Living with Heart Failure) indiquait une amélioration du score de la somme (valeur d'effet 0.24, p<0.0001), et la composante physique du score (valeur d'effet 0.35, p<0.0001). Les améliorations de l'endurance sont corrélées avec les améliorations de la QV spécifique à l'ICC.


Author(s):  
Deepa P. Rao ◽  
Parth Patel ◽  
Karen C. Roberts ◽  
Wendy Thompson

Introduction Si les Canadiens vivent plus longtemps qu’avant, bon nombre d’entre eux souffrent cependant d’obésité. Cette étude vise à décrire, par un examen de mesures du bien-être social, fonctionnel et mental, le vieillissement des personnes âgées souffrant d’obésité ayant participé à l’Étude longitudinale canadienne sur le vieillissement (ELCV). Méthodologie Nous avons extrait des données du premier cycle de l’ELCV portant sur les personnes de 55 à 85 ans. Nous avons utilisé des statistiques descriptives pour caractériser cette population et ajusté des modèles logistiques généralisés pour comparer les mesures du bien-être social, fonctionnel et mental chez les participants souffrant d'obésité (indice de masse corporelle de 30 kg/m2 et plus) et chez les participants n'en souffrant pas. Nos résultats sont présentés en fonction du sexe. Résultats Plus de la moitié des participants ont déclaré avoir un revenu personnel relativement faible (moins de 50 000 $), les femmes étant particulièrement affectées. Moins de la moitié des participants souffraient d'obésité et la multimorbidité était plus fréquente parmi ceux souffrant d'obésité que parmi ceux n'en souffrant pas (participants de 55 à 64 ans; rapport de cotes [RC] : 2,7; intervalle de confiance [IC] à 95 % : 2,0 à 3,5 chez les hommes; RC : 2,8; IC à 95 % : 2,2 à 2,5 chez les femmes). La faible participation sociale était associée à l’obésité chez les femmes plus âgées mais pas chez les hommes plus âgés. La présence de problèmes de fonctionnement physique et de limitations dans la vie quotidienne était fortement associée à l’obésité tant chez les femmes que chez les hommes. Bien que le bonheur et la satisfaction à l’égard de la vie ne soient pas associés à l'obésité, les femmes âgées souffrant d’obésité ont déclaré avoir une perception défavorable de leur état de santé. Conclusion La multimorbidité était plus fréquente chez les participants souffrant d'obésité que chez ceux n'en souffrant pas. Les femmes souffrant d'obésité étaient plus nombreuses que les hommes à avoir une perception défavorable de leur état de santé et à ne pas prendre part à des activités sociales. Les participants des deux sexes ont fait état de problèmes de santé fonctionnelle. Les associations observées, qui sont indépendantes de la multimorbidité chez les personnes âgées, mettent en relief les secteurs où des actions en faveur d'un vieillissement en santé pourraient être bénéfiques.


Author(s):  
Lidia Loukine ◽  
Siobhan O’Donnell ◽  
E. M. Goldner ◽  
Louise McRae ◽  
H. Allen

Introduction Cette étude fournit, au moyen d’un échantillon de ménages fondé sur la population, le premier aperçu, chez des Canadiens adultes atteints de troubles de l’humeur ou d'anxiété, de leur état de santé globale et de santé mentale perçu, de leurs limitations fonctionnelles, de leurs restrictions professionnelles et de leur degré d’invalidité, ainsi que des facteurs associés à une invalidité grave. Méthodologie Nous avons utilisé les données de l’Enquête sur les personnes ayant une maladie chronique au Canada – Composante des troubles de l’humeur et d'anxiété. L’échantillon est composé de Canadiens âgés de 18 ans et plus, atteints d’un trouble de l’humeur ou d’anxiété autodéclaré et habitant l'une des 10 provinces (n = 3 361; taux de réponse 68,9 %). Nous avons mené des analyses de régression logistiques multidimensionnelles multinomiales et descriptives. Résultats Parmi les Canadiens adultes atteints d’un trouble de l’humeur ou d’anxiété, plus d’un quart ont rapporté un état de santé globale (25,3 %) et de santé mentale (26,1 %) « passable ou médiocre », plus du tiers (36,4 %) ont mentionné avoir une ou plusieurs limitations fonctionnelles, la moitié (50,3 %) ont déclaré qu’une modification de leur emploi a été nécessaire pour continuer à travailler et plus du tiers (36,5 %) souffrait d'une invalidité grave. Les personnes avec troubles de l’humeur et d'anxiété concomitants ont mentionné de moins bons résultats : 56,4 % avaient une ou plusieurs limitations fonctionnelles, 65,8 % ont mentionné qu’une modification de leur emploi a été nécessaire et 49,6 % souffraient d'une invalidité grave. Après ajustement pour les caractéristiques individuelles, les personnes atteintes d’un trouble de l’humeur ou d’anxiété qui étaient plus âgées, dont le revenu familial était situé dans le quintile du plus faible revenu ou du revenu faible à moyen ou qui avaient des troubles concomitants étaient plus susceptibles d’avoir une invalidité grave. Conclusion Les résultats de cette étude confirment que les troubles de l’humeur ou d’anxiété, surtout dans le cas de troubles concomitants, sont associés à des résultats en santé physique et mentale négatifs. Ces constats soutiennent les actions en politique et programmes de santé publique qui visent à améliorer la vie des personnes atteintes de ces troubles, surtout celles qui sont atteintes de troubles concomitants.


2010 ◽  
Vol 39 (1-2) ◽  
pp. 41-67
Author(s):  
Marie-Chantal Loiselle ◽  
Cécile Michaud

Résumé La maladie chronique fait partie de la vie de nombreux Canadiens. Ceux-ci doivent composer avec les exigences que comporte la gestion de leurs problèmes de santé tout en pratiquant leurs activités de la vie quotidienne. Plus particulièrement, la personne qui souffre d’insuffisance rénale terminale doit s’astreindre à un régime thérapeutique exigeant à cause de la capacité limitée de l’hémodialyse à remplacer le rein. Elle doit prendre des décisions et poser des actions en lien avec son alimentation, sa médication, ses activités sociales ou familiales ainsi que sur la surveillance de son état de santé. Pour intervenir auprès de cette clientèle, nous proposons de délaisser les perspectives d’observance ou d’adhésion aux traitements ainsi que d’autogestion de la maladie chronique pour adopter une perspective d’autogestion de la santé qui est plus cohérente avec une vision humaniste des soins. Cette proposition s’appuie sur des bases philosophique, empirique et clinique, en prenant des exemples tirés des soins des personnes souffrant d’insuffisance rénale chronique terminale. Elle aura pour conséquence le mieux-être des personnes soignées et des personnes soignantes.


Author(s):  
Francois Béland ◽  
Howard Bergman ◽  
Paule Lebel ◽  
Luc Dallaire ◽  
John Fletcher ◽  
...  

ABSTRACTLe complexe formé par les maladies chroniques, les épisodes de maladies aiguës, les déficiences physiologiques, les incapacités fonctionnelles et les problèmes cognitifs dominent les personnes âgées fragiles. Elles comptent sur l'aide des programmes sociaux et de Santé qui, au Canada, sont encore fragmentés. Le SIPA (Services intégrés pour les personnes âgées fragiles) est un modèle de services intégrés basé sur des services de proximité, une équipe multidisciplinaire et un gestionnaire de cas qui détiennent la responsabilité clinique de l'ensemble des services sociaux et de Santé requis, la capacité de mobiliser des ressources en fonction des besoins et l'application de protocole de soins. Le projet de démonstration SIPA a utilisé un devis expérimental avec assignation aléatoire de 1230 participants, de deux quartiers de Montréal, dans un groupe expérimental et un groupe témoin. Les coûts des services institutionnels ont été de 4270$; inférieur dans le SIPA comparés au groupe témoin, les coûts des services de proximité ont été supérieurs de 3394$;. La proportion des personnes en attente d'hébergement en hôpitaux de courte durée a été deux fois plus élevée dans le groupe témoin que dans le groupe SIPA. Les coûts des hospitalisations de courte durée des personnes du SIPA avec incapacité dans les activités de la vie quotidienne ont été inférieurs d'au moins 4000$; à ceux des personnes du groupe témoin. En conclusion, l'expérimentation SIPA démontre qu'il est possible de s'engager dans des projets de démonstration ambitieux et rigoureux au Canada. Ces résultats ont été obtenus sans augmentation des coûts globaux des services sociaux et de santé, sans diminution de la Qualité des soins et sans augmentation du fardeau des personnes âgées et de leurs proches.


Author(s):  
Liza J. Turpin ◽  
Carol L. McWilliam ◽  
Catherine Ward-Griffin

RÉSUMÉCette étude a exploré la signification d’une relation positive client-infirmière pour les personnes âgées atteintes de maladies chroniques qui reçoivent les soins à domicile. Pour les besoins de cette étude phénoménologique, huit participants âgés de 65 à 86 ont été sélectionnés à partir du Sud-Ouest Centre communautaire d’accès aux soins [or retain as Southwest Community Care Access Centre (SW-CCAC)]? à London, Ontario. Des données narratives ont été recueillies par des entrevues en profondeur capturé sur cassette audio, tout en utilisant un guide d’entretien semi-structuré. L’analyse et l’interprétation des entrevues ont révélé que le sens d’une relation client-infirmière positive de ces personnes âgées englobait deux tendances de sens: avoir de confort, et étant relié au sein de cette relation. Ces deux modèles ont été contextualisés par être une personne âgée avec une maladie chronique et ont été socialement construits à travers l’expérience d’avoir créé un rapport positif. Bien que des recherches supplémentaires sont nécessaires, les connaissances acquises ajouter à ce que l’on sait déjà au sujet de la théorie et la pratique de la promotion de la santé relationnelle pour les personnes âgées vivant avec des maladies chroniques et recevant les soins à domicile.


Author(s):  
Siobhan O’Donnell

C’est avec plaisir que nous vous présentons le second de nos deux numéros spéciaux sur les troubles de l’humeur et d’anxiété, fondés sur les résultats de l’Enquête sur les personnes ayant une maladie chronique au Canada − Composante des troubles de l’humeur et d’anxiété (EPMCC-THA). Le premier numéro, publié en décembre 2016, contenait trois articles brossant un portrait des adultes canadiens ayant déclaré avoir reçu un diagnostic de troubles de l’humeur ou d’anxiété, à savoir leurs caractéristiques sociodémographiques, leur état de santé, les limitations dans leurs activités ainsi que leur degré d’invalidité et enfin les facteurs associés à leur bien-être. Les trois articles publiés ici portent quant à eux sur des thèmes liés à la prise en charge de ces troubles. Globalement, ces articles explorent les facteurs sociodémographiques clés dont on sait qu’ils ont un impact sur les résultats de santé, et ils traitent également des stratégies visant à favoriser la guérison et le mieux-être des adultes canadiens ayant déclaré avoir reçu un diagnostic de troubles de l’humeur ou d’anxiété.


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