Background: As an exercise in decolonizing infrastructural approaches to communications, this article applies the framework of “Two-Eyed Seeing” to the example of Kwawaka'wakw social media communications related to the occupation of fish farms in the Broughton Archipelago in 2017.
Analysis: Kwawaka'wakw social media communications worked to enact a “living infrastructure,” upholding reciprocal relations with salmon and ocean waters, in support of the mutual flourishing of the waters, salmon, and people.
Conclusions and implications: Kwawaka'wakw nations and their allies drew on social media to shift communicational channels beyond mainstream media. This supported Kwawaka'wakw in building relationships with broader publics, who helped pressure government to make change.
Contexte : Dans le but de décoloniser les perspectives infrastructurelles sur la communication, cet article emploie une approche à double perspective (« Two-Eyed Seeing ») afin d’examiner l’usage des médias sociaux fait par les Kwawaka'wakw pour communiquer sur l’occupation d’installations piscicoles dans l’archipel de Broughton en 2017.
Analyse : En communiquant par médias sociaux, les Kwawaka'wakw ont cherché à mettre en place une « infrastructure vivante » qui maintiendrait des relations de réciprocité avec les saumons et l’océan dans le but de favoriser l’épanouissement collectif du saumon, des eaux et des humains.
Conclusions et implications : Les nations Kwawaka'wakw et leurs alliés ont recouru aux médias sociaux afin de contourner les médias traditionnels. Leur approche leur a permis de rejoindre des publics plus larges qui ont aidé à mettre de la pression sur le gouvernement pour qu’il effectue des changements.
Contexte : Dans le but de décoloniser les perspectives infrastructurelles sur la communication, cet article emploie une approche à double perspective (« Two-Eyed Seeing ») afin d’examiner l’usage des médias sociaux fait par les Kwawaka'wakw pour communiquer sur l’occupation d’installations piscicoles dans l’archipel de Broughton en 2017.
Analyse : En communiquant par médias sociaux, les Kwawaka'wakw ont cherché à mettre en place une « infrastructure vivante » qui maintiendrait des relations de réciprocité avec les saumons et l’océan dans le but de favoriser l’épanouissement collectif du saumon, des eaux et des humains.
Conclusions et implications : Les nations Kwawaka'wakw et leurs alliés ont recouru aux médias sociaux afin de contourner les médias traditionnels. Leur approche leur a permis de rejoindre des publics plus larges qui ont aidé à mettre de la pression sur le gouvernement pour qu’il effectue des changements.
Contexte : Dans le but de décoloniser les perspectives infrastructurelles sur la communication, cet article emploie une approche à double perspective (« Two-Eyed Seeing ») afin d’examiner l’usage des médias sociaux fait par les Kwawaka'wakw pour communiquer sur l’occupation d’installations piscicoles dans l’archipel de Broughton en 2017.
Analyse : En communiquant par médias sociaux, les Kwawaka'wakw ont cherché à mettre en place une « infrastructure vivante » qui maintiendrait des relations de réciprocité avec les saumons et l’océan dans le but de favoriser l’épanouissement collectif du saumon, des eaux et des humains.
Conclusions et implications : Les nations Kwawaka'wakw et leurs alliés ont recouru aux médias sociaux afin de contourner les médias traditionnels. Leur approche leur a permis de rejoindre des publics plus larges qui ont aidé à mettre de la pression sur le gouvernement pour qu’il effectue des changements.