Sheep play significant role in the socio-economic life of the large human population. Improving the productivity of sheep through selection and breeding would require understanding of their growth characteristics. This study was conducted to assess the pre- and post-weaning daily weight gains (ADG) of four Nigerian sheep breeds and some non- genetic factors affecting them. Pre- and post-ADG were measured in 33, 34, 43 and 47 lambs of Balami, Uda, WAD and Yankasa ewes respectively, and analyzed to determine the effect of breed, sex, year, season, parity, and birth type. At the pre-weaning stage, Balami and Uda had similar gains (91.89g vs. 92.44g) which were higher than that of Yankasa (74.22g) which was in turn higher than that of WAD (62.44g). During the post weaning stage, Balami gained most (77.19g), followed by Uda (71.12g), and Yankasa (59.37g) while WAD still maintained the lowest rate of gain (55.15g). Male sheep had higher ADG than females, 100.7g vs. 87.8g at pre-; and 65.67 vs. 58.15g at post weaning. However, sex within breed analysis revealed non- significant influence of sex in all breeds except WAD at pre-weaning stage but males maintained better (p<0.01) rates of gain post-weaning. Pre-ADG decreased with increased litter size. Lambs born at first parity gained more (85.00g) than subsequent parity lambs. Season and year had no significant effect on both pre- and post-weaning gains. It is concluded that breed, sex, birth type and parity influenced average daily gain in sheep.
Les moutons jouent un rôle important dans la vie socio-économique de la population humaine. Pour améliorer la productivité des moutons grâce à la sélection et à l'élevage, il faudrait comprendre leurs caractéristiques de croissance. Cette étude a été menée pour évaluer les gains de poids quotidiens avant et après le sevrage (le 'ADG') de quatre races de moutons nigérians et certains facteurs non génétiques qui les affectent. Le Pré- et le post- 'ADG' ont été mesurés dans 33, 34, 43 et 47 agneaux de Balami, Uda, WAD et Yankasa brebis respectivement, et analysés pour déterminer l'effet de la race, sexe, année, saison, parité, et le type de naissance. Au stage de pré-sevrage, Balami et Uda ont connu des gains similaires (91.89 g contre 92.44 g) supérieurs à ceux de Yankasa (74.22 g), ce qui est à son tour supérieur à celui de WAD (62.44 g). Au cours de l'étape post-sevrage, Balami a gagné le plus (77.19 g), suivi par Uda (71.12 g) et Yankasa (59.37 g) tandis que WAD a maintenu le taux de gain le plus bas (55.15 g). Les moutons mâles avaient un ADG plus élevé que les femelles, 100.7 g contre 87.8 g à l'avant; et 65.67 contre 58.15 g au sevrage après le sevrage. Cependant, le sexe dans l'analyse de race a indiqué l'influence non significative du sexe dans toutes les races excepté WAD au stade de pré-sevrage mais les mâles ont maintenu de meilleurs taux (p<0.01) de gain après le sevrage. Le pré-ADG a diminué avec l'augmentation de la taille des portées. Les agneaux nés à la première parité ont gagné plus (85.00 g) que les agneaux parité subséquents. La saison et l'année n'ont eu aucun effet significatif sur les gains avant et après le sevrage. On conclut que la race, le sexe, le type de naissance et la parité influençait le gain quotidien moyen chez les moutons.