The Australian Nons-Profit Sector, Knowledge Management and Social Media

Author(s):  
Dinesh Rathi ◽  
Lisa M. Given

This poster presents key emerging findings from theonline survey which was conducted with a largenumber of Australian non-profit sector units to getinsight into the use of knowledge management (KM)practices as well as the use of social media such asFacebook, YouTube and Twitter, particularly in KMpractices. The findings from the data collected duringthe first month of opening of survey will be presentedin the poster. These findings will provide us withbetter understanding KM, NPO and social medialandscape which will have implications and learningfor NPOs operating in Canada and other countries.Cette affiche présente les principaux résultats issusde l’enquête en ligne qui a été menée auprès d’ungrand nombre d’unités australiennes du secteur à butnon lucratif afin d’obtenir une perspective surl’utilisation et les pratiques en gestion desconnaissances (GC) ainsi que l’utilisation des médiassociaux tels que Facebook, YouTube et Twitter, enparticulier dans les pratiques de gestion desconnaissances. Les résultats des données recueilliespendant le premier mois de l’ouverture de l’enquêteseront présentés sur cette affiche. Ces résultats nousfourniront une meilleure compréhension du paysagede la GC, des OSBL et des médias sociaux, ce quiaura des répercussions et un apprentissage pour lesOSBL en exploitation au Canada et dans d’autrespays.

Author(s):  
Dinesh Rathi ◽  
Lisa Given ◽  
Eric Forcier ◽  
Sarah Vela

This paper presents emerging results of a national online survey of Canadian Non-Profit Organizations (NPOs) on their perception and use of social media, and their role for the purpose of Knowledge Management (KM). Based on results from the first 320 respondents spanning across local and provincial boundaries, these findings provide insight into what social media platforms are preferred by these organizations, what tasks they are used for and the tasks for which these tools are considered most effective.Cet article présente les résultats d’une enquête nationale effectuée en ligne auprès des organismes canadiens sans but lucratif (OSBL), les interrogeant sur leur compréhension et leur utilisation des médias sociaux, et le rôle de ceux-ci dans la gestion des connaissances. Sur la base des données obtenues auprès des 320 premiers répondants, se situant par-delà les frontières locales et provinciales, ces résultats permettent de comprendre quelles sont les plates-formes de médias sociaux préférées par ces OSBL, pour quelles tâches elles sont utilisées et pour quelles tâches ces outils sont considérés comme les plus efficaces.


Author(s):  
Eric Forcier ◽  
Dinesh Rathi ◽  
Lisa Given

Presents results from qualitative interviews with individuals working in non-profit organizations near Edmonton, Alberta. The findings point to the importance of stories as information sources used within the organizations, with social media playing a key role in capturing those stories and engaging with the community.Seront présentés les derniers résultats d'entrevues qualitatives auprès d'individus travaillant pour une organisation à but non lucratif près d'Edmonton, en Alberta. Les résultats démontrent l'importance de l'histoire comme source d'information importante au sein des organisations et les médias sociaux jouent un rôle clé dans la capture de ces histoires et l'engagement avec la communauté.


Author(s):  
Shannon Lucky ◽  
Dinesh Rathi

Social media technologies have the potential to be powerful knowledge sharing and community building tools for both corporate and non-profit interests. This pilot study explores the social media presence of a group of forty-six Alberta-based non-profit organizations (NPOs) in this information rich space. In this paper we look at the pattern of presence of NPOs using social media and relationships with staffing structures.Les médias sociaux ont la capacité d’être de puissants outils de partage de la connaissance et de rassemblement communautaire pour les organisations à but lucratif et sans but lucratif. Cette étude pilote explore la présence dans les médias sociaux d’un groupe de quarante-six organisations sans but lucratif (OSBL) albertaines dans cet environnement riche en information. La communication portera sur les modèles de présence des OSBL dans les médias sociaux et les liens avec les structures organisationnelles.


Author(s):  
Nasser Saleh ◽  
Nouf Khashman ◽  
Ahmad Kamal

Panel: There has been a great attention towards the use of social media in/and revolutionary movements (more recently in the Arab world). This panel introduces some different frameworks that can be used in information science to study these phenomena along with a discussion with CAIS/ACSI members about possible research areas.Panel: Une grande attention a été portée à l’utilisation des médias sociaux dans/et les mouvements révolutionnaires (plus récemment dans le monde arabe). Ce panel introduit quelques différences dans les cadres pouvant être utilisés en sciences de l’information science pour étudier ces phénomènes. Suivra une discussion avec les membres de CAIS/ACSI des possibilités de recherches sur le sujet.


Author(s):  
Gary Collins ◽  
Anabel Quan-Haase

The application of social media by academic libraries is re-shaping traditional ideas of library services. The use of social media in Ontario’s university libraries demonstrates the divergent modes by which information technologies are utilized, as well as the challenges facing libraries in both adopting and using these tools.L’application des médias sociaux par les bibliothèques universitaires transforme les idées traditionnelles des services en bibliothèque. L’utilisation des médias sociaux dans les bibliothèques universitaires de l’Ontario démontre des modes divergents d’utilisation des technologies de l’information, ainsi que les défis auxquels font faces les bibliothécaires en termes d’adoption et d’utilisation de ces outils.


Author(s):  
Sarah Vela ◽  
Eric Forcier ◽  
Dinesh Rathi ◽  
Lisa Given

This research paper explores how ‘social knowledge’, as an emergent category of organizational knowledge, flows through non-profit organizations (NPOs). Examining findings from qualitative interviews with 16 individual from Canadian NPOs on their use of social media for Knowledge Management (KM), the paper builds on KM theories and epistemologies to propose a model for the assimilation, dissemination and creation of ‘social knowledge’ in NPOs.Ce rapport de recherche examine comment la «connaissance sociale», en tant que catégorie émergente de la connaissance organisationnelle, circule dans les organisations sans but lucratif (OSBL). Nous avons examiné les résultats d’entretiens qualitatifs avec seize personnes provenant d'OSBL canadiennes sur leur utilisation des médias sociaux aux fins de la gestion des connaissances. Notre rapport s'appuie sur les théories et l’épistémologie de la gestion des connaissances pour proposer un modèle de l'assimilation, de la diffusion et de la création de «connaissance sociale» dans les OSBL.


Author(s):  
Dinesh Rathi ◽  
Lisa Given ◽  
Eric Forcier

This poster presents key outcomes and emerging findings from ongoing research examining the role of social technologies such as blogs, wikis, and social networks (e.g., Twitter, Facebook, LinkedIn) for creating, sharing, gathering and managing knowledge in non-profit organizations (NPOs). Mixed methods research including qualitative interviews with 16 Canadian NPOs and a national online survey of NPOs have generated a number of key findings on the role of social media as KM tools in the not-for-profit sector. These findings help us understand the implications of global connectedness, as manifested in social media, on the KM practices of these organizations.Cette affiche présente les principaux résultats et conclusions issues d’une recherche en cours qui examine le rôle des technologies sociales comme les blogues, les wikis et les réseaux sociaux (par ex., Twitter, Facebook, LinkedIn) pour la création, le partage, la collecte et la gestion des connaissances dans les organisations à but non lucratif (OSBL). La recherche, effectuée en utilisant un mélange de méthodes, y compris des entretiens qualitatifs avec seize OSBL canadiennes et un sondage national en ligne, a généré un certain nombre de conclusions-clés sur le rôle des médias sociaux comme outils de gestion des connaissances dans le secteur des organisations sans-but-lucratif. Ces conclusions nous permettent de comprendre les implications de l’interconnexion au niveau mondial, telle qu'elle se manifeste dans les médias sociaux, par les pratiques de gestion des connaissances dans ces organisations. 


Author(s):  
Sylvie Jochems ◽  
Melanie Millette ◽  
Josianne Millette

Since the 1990s, engagement practices have been transforming, becoming more diverse (Ion 1997; Sommier 2003; Bobineau 2010), especially with the growing use of new communication technologies (Blondeau 2007; Cardon and Granjon 2010). In the wake of these changes, discourses insisting on a loss of community and collective action have surfaced that encourage scepticism about the potential of these technologies to support political and social engagement, arguing that communication technologies were the cause of social fragmentation and of growing individualism (Putnam 2000; Bauman 2006). Recent social movements, such as the Arab Spring, the Indignados, Occupy and the ‘carrés rouges’ (red square) movement in Quebec are now casting doubt on this discourse. While many researchers have set out to examine how social movements under authoritarian regimes use social media and mobile technologies to organize, gain visibility and disseminate images of their actions around the world, the reconfiguration of collective action associated with the use of social media, and the relationship between social engagement and the use of technology in contemporary liberal democracies have been largely neglected. Technology is used in complex social, political and technological contexts that generate cultural interpretations and frameworks of practice in response to which individuals and groups stake out a space of freedom to practise resistance and appropriation (Jouët 2000; Jauréguiberry and Proulx 2011). How ICT and mobile communication uses contributed to and were embedded in the transformation of engagement practices during the carrés rouges and what it reveals about the transformations engagement practices, is the focus of the present paper. The red square movement, launched by student strikers in Quebec in spring 2012, provides a rich opportunity to study how social movements with historical roots can embrace mobile and participatory technologies, and evolve along with their communicational environment. Based on a study of mobile and participatory technology practices used by the red squares, and using an approach midway between communications, sociology and social work research, we argue that by encouraging mobilization and coordination (Millette, Millette and Proulx 2012) and citizen expression (Monnoyer-Smith 2011), the use of social media and mobile technologies contributes to the hybridization (Bennett and Segerberg 2012; Canclini 2010) of political and social engagement practices.  RÉSUMÉ EN FRANÇAIS Depuis la fin des années 1990, les pratiques d'engagement se diversifient et se transforment (Ion, 1997; Sommier, 2003; Lamoureux, 2008; Bobineau, 2010), notamment en lien avec les technologies de communication (Blondeau, 2007; Cardon et Granjon, 2010 ). Or, une perspective déplorant le déclin de la vie communautaire et associative a nourri une méfiance face aux usages de ces technologies comme pratiques d’engagement social et politique, celles-ci étant considérées comme favorisant l’individualisme et la fragmentation de l’action collective (Putnam, 2000 ; Bauman, 2006). Or, de récentes mobilisations, dont les mouvements du printemps arabe (2010), des indignés (2011) et des carrés rouges au Québec (2012) remettent en cause ces discours. Depuis la fin des années 1990, les pratiques d'engagement se sont diversifiées et transformées (Ion, 1997; Sommier 2003; Bobineau 2010), notamment en lien avec les technologies de communication (Blondeau 2007; Cardon et Granjon 2010). Une perspective déplorant le déclin de la vie communautaire et associative a nourri une méfiance face aux usages de ces technologies comme pratiques d’engagement social et politique, celles-ci étant considérées comme favorisant l’individualisme et la fragmentation de l’action collective (Putnam 2000; Bauman 2006). Or, les récentes mobilisations du Printemps Arabe, du mouvement des Indignados, d’Occupy et des carrés rouges au Québec, remettent en cause de tels discours. Si plusieurs travaux se sont penchés sur les mobilisations citoyennes dans des contextes politiques autoritaires, pour décrire comment les médias sociaux ont notamment servi à rendre visible l’indignation et l’action citoyennes, peu de chercheurs ont abordé les reconfigurations de l’action collective associées aux usages des médias sociaux, de même que les relations entre engagement et usages des technologies dans le contexte des démocraties libérales contemporaines. Or, au-delà de la stricte manipulation des technologies, un usage s’inscrit dans un contexte social, politique et technologique d’où émergent des interprétations culturelles et des cadres de pratiques, face auxquels les individus et les collectifs conservent toutefois un espace de liberté pour pratiquer résistances et détournements (Jouët 2000; Jauréguiberry et Proulx 2011). Comment les usages des TIC mobiles ont-ils contribué et comment ont-ils été enchassés dans les transformations des pratiques d’engagement sociales et politiques pendant le mouvement québécois des carrés rouges québécois, et que cela révèle-t-il des transformations des pratiques d’engagement? Initié par la grève des étudiant.es du Québec en 2012, le cas des carrés rouges offre l'occasion d'observer comment des mouvements s'inscrivant en continuité avec des formes de mobilisation « historiques » peuvent intégrer les technologies mobiles et participatives et se transformer avec leur environnement communicationnel. À partir d’une description des pratiques liées aux technologies mobiles et participatives déployées dans le cadre du mouvement des carrés rouges et d’une approche à l’intersection des études en communication, de la sociologie de la communication et du travail social, nous proposons ainsi de considérer que les usages de ces technologies de communication, à travers des pratiques de mobilisation, de coordination (Millette, Millette et Proulx 2012) et d'expression citoyenne (Monnoyer-Smith 2011), contribuent à une hybridation (Bennett et Segerberg 2012; Canclini 2010) des pratiques d’engagement sociales et politiques.


2017 ◽  
Vol 32 (2) ◽  
pp. 194-209 ◽  
Author(s):  
Daniel Schlagwein ◽  
Monica Hu

In this paper, we examine the relation between social media use and the absorptive capacity of organisations. Over the past 10 years, many organisations have systematically adopted social media. Trade press and consulting companies often claim that the systematic use of social media increases the performance of organisations. However, such claims are typically neither empirically grounded nor theoretically examined. In this paper, based on key informant interviews at 20 organisations, we examine these claims empirically and theoretically. Firstly, we examine the ways in which social media are used by organisations. We identify five different social media use types that support different organisational purposes (broadcast, dialogue, collaboration, knowledge management and sociability). Secondly, we analyse how these five social media use types relate to organisations' absorptive capacity. We find that particular social media use types (e.g., dialogue) support organisations' absorptive capacity and, ultimately, their performance although others (e.g., sociability) do not.


Author(s):  
Murray E. Jennex

Social media is being used by individuals during a crisis to alert rescuers to their location, status others on their condition or on environmental conditions, warn of issues, and so forth. However, organizations have been slower to adopt social media for crisis response. This paper explores issues affecting social media adoption by organizations for crisis response and proposes the use of knowledge management strategy as a process for mitigating these issues and guiding organizations in adopting social media into their crisis response plans.


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